mirage au dessus des nuages sages n 3
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sont proche pour notre village. Comme vous le
savez toute notre réussite est dut à notre
patience . Mais faite bien attention car le vent ne
réjouissance. La venue du ferry est une raisons de
ce bien être.
Avec le débâcle les journées augments et la lumière
du ciel transforme notre entourage. La mer redevient
verdâtre et navigable dans le fjords. Les maisons
d'habitation sont de nouveau occupées.
Pour le repas de midi je présente a mes convives les
pommes de terre et explique une manière de les faire.
Je les jette dans la marmite rempli d'eau avec une
pincé de sel et les met sur le feux. Je les épluche puis
les coupe en morceau.Je les écrase avec un peu de
lait en poudre, puis les écrase pour en faire de la
purée.
Une hésitation se remarque sur leur comportement.
Mika et Solaya très confiant, demande d'être servi en
premier. Je fais une prière de remerciement, puis laisse
Mika plonger son couteau dans la purée. Solaya en
fait autant et ensemble ils y goûtent . Tous les autres
suivent l'exemple. Moaki s'écrit;
La méfiance est levée, tous le monde en mange. Je
crois que ma cuisine a trouvé preneur. Maintenant
il faut que je leur apprend se servir dans des assiettes
des fourchettes et des cuillères.
La nuit venue demande du repos dans mes pensées.
Comme les représentante nuit, Mayka réchauffe mon
lit. J'ai perdu un peu de ma stupidité et conclu qu'il
n'y a que ma timidité qui gère mon état d'âme. malgré
cela je garde une petite partie de mes vêtements.
Que me réserve cette nouvelle journée, j'ai hâte de
savoir, je commence par faire mes besoins habituelles
avec une température de 5 degrés. Ce réchauffement
me donne un bien être. Je sens une transformation, un
bonheur révélateur. Tous les soucis se sont envolés. La
pêche est fructifiant, plus de clinquantes poissons de
bonne taille sont pêché.
17 heures, je contacte la station Alizé.
- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé ici
Station Sylvain, vous me recevez ?
sur 5. On est à 20 heures de navigation avec le
représentant de la station Alizé.
- Station Alizé, cette nouvelle nous encourage plus
que tout. La station Sylvain vous attend avec
impatience.
Cette nouvelle réconforte l'ensemble du village. Je ne
répète rien , le nouvelles vont vite. Le modernisme est
la clé de l'avenir. La venue du navire l'Alizé mérite
une grande fête. A la esse du soir je remarque que
des préparatifs sont en route. Les femmes se donnent
de la peine pour se rendre plus attirante et les
hommes se sont rasé de prêt.
Ce remue-ménage n'intrigue pas les enfants qui
trouvent dans ces préparatifs une raison d'en faire
autant. Les femmes enduisent leur corps d'une huile
qui provient de poisson ou peut être du phoque.
A 19 heures c'est le moment de la messe du soir. un
parfum inconnu me tourne vers les femmes qui le
portent. Comme elles sont habillé de vêtements de
sauvage. Le chef Moaki m'a expliqué qu'un vrai
chasseur doit garder cette odeur pour épouser la
nature. Le savon se dispatcher dans la nature et les
animaux en sont conscients qu'il représente un
danger.
Comme les autres nuit je retrouve mon lit et Mayka.
Je n'hésite pas à y pénétrer et trouve dans cette
présence un confort. Elle aussi à cette odeur attirante
qui me fait tourner la tête. Celle-ci ensorcelle mon
comportement, mais que ce passe-t-il donc ? Mayka
émet des petits rires en les accompagnent de mots
doux. Sa douce main entoure mon corps. Cette
douceur me bouleverse. Mon hésitation est dut
à une règle, la promesse que j'ai faite envers Dieu. Je
garde cette volonté de le servir, il ne faut pas me
laisser entraîner par la tentation de se mélanger c'est
un péché. Que se passe-t-il ? Je cherche à trouver une
solution pour m'y réfugier. Des mots en sourdine suivi
de rires silencieux m'entourent. La main douce de
sens le déplacement de sa main par la chaleur
qu'elle émet. Je tremble de froid ou peut-être de ma
peur ? Sens aucun détournement de ma part, je laisse
Mayka poursuivre ses intentions. Combien de temps
vient-il de s'écouler ? Je ne sais pas au juste. Même mon
esprit est tombé dans un engrenage incontrôlable. La
main glisse le long de ma jambe. Je mime de dormir et
garde ma position. Cette douceur féminine glisse sur
mes hanches puis mon ventre suivi de ma poitrine. Le
même mouvement revient au point départ. Comment
est-elle couchée ? Je me le demande, enfin mon
cerveau réagis. La main se trouve vers le bas de mon
corps. Sut que se passe-t-il ?
Me voilà entraîné par une visse sens fin. Je me laisse
séduire par la volonté d'une femme et ses désirs. Je ne
navigue pas à contresens et la laisse faire en restant
sur le dos, sans bouger, ni réagir. Je conclu de faire le
premier pêché de ma vie de Père.
Avec cet acte je rentre dans leur coutume, ce qui me
ma religion. J'expliquerai plus tard ma faute à
l’archevêque de mon diocèse.
Mayka exprime sa satisfaction par un gémissement en
m'enlaçant. Cette pureté de la nature des choses ma
plongé dans un sommeil réconfortant et profond. Dire
que je n'ai jamais goûté à ce passage là, mais pour
quelle raison ? Pour quoi ce comportement peut-il
être interdit par certains
Au matin Mayka rayonne de bonheur et moi de
satisfaction. Elle dore encore, je ne la dérange pas et
prépare le feu et les miches de pains a enfourner.
Les villageois sont tous au aguets, ils attendent que le
ferry Alizé accoste.
Dans l'apprêt midi a 15 heures, le ferry fait hurler sa
trompe pendant trois répliques devant l'entrée du fjords,
elle se répercutent entre les falaises qui se répondent.
l'ensemble des villageois se regroupent sur le proton
pour les accueillir. Les chasseurs ont huilé leurs
traîneaux pour les mettre en valeur. Lorsque le ferry
dans le village.
Le dirigeant de la station radio émetteur Alizé propose
de nous rencontrer dans l'église avec le chef du village
Moaki. Il est question de faire un inventaire de la
population et de leur nom et prénom ainsi que de leur
région d'où ils proviennent. Leur âge et leur dates de
naissance.
Un grand nombre est met dans le village mais pour
les parents et parfois les grand parents il est impossible
de connaître la naissance. La dernière famille, composé
de 7 personnes, deux grand parents et un couple et trois
enfants, avaient accouché leur enfants dans la toundra.
Ce remembrement permet a la nation du Groenland de
mettre en valeur le village Narsarmijit.
Puis il est question de l'aménagement du village et de
son amélioration. La construction d'un aéroports pour
hélicoptère est proposé. Cette proposition rendre plus
accessible cette région et évitera le manque de
contacte avec le restant du pays. Il est aussi question
d'avoir un confort supportable.
Je leur remet les relevés journaliers de température, du
vent et de la composition des déchets que nous rapporte
la mer. Je ne manque pas de préciser le nombre de
phoques tué ainsi que de la quantité de poissons péché.
Je lui fais part de l'ourse blanc au trois griffes qui fut
tué pas Moaki. l'envoyé de l'Alizé me demande,
- Père Sylvain avez-vous obtenue des indications
concernant la disparition de trois familles d'Inuits
composé de 15 personnes , trois mamans, trois pères
et neuf enfant, je n'oublie pas le Père Léon.
- Je n'ai pas plus de renseignement sur leur disparition
le mieux c'est de demander au chef du village, c'est
lui qui est le plus âge et le plus vieille habitant.
Moaki suivi notre conversation et ne tarde pas a répondre.
- Les trois familles ont décidé de faire l'école de chasse
dans la toundra avec leur enfants comme le font tous
les chasseurs. Il fut question de faire des réserves de
viandes pour l'hiver. Les trois familles sont partie
retour d'expédition n'a permis de ramener que deux
familles. Leurs explications sur la disparition des
manquants c'est qu'ils ont subit l'agression d'une
ourse blanche avec trois griffes qui a tué la famille
complète ainsi que leur chiens. L'ourse les a suivie
jusque ici et a continuer a prendre par surprise
plusieurs chasseurs. Les traces sont marqué par
cette patte a trois griffes sur l'avant droit. Pour ce
qui est de la disparition du Père Léon personne ne
sut où il a passé ? Ce que je sais c'est que le Père
Léon a toujours remplie un rapport journalier sur
les événements du village dans un livre rouge. Je
ne sais pas ce qu'est devenu le livre. Ne l'avez vous
pas trouvé Père Sylvain en faisan l'inventaire de
l'église ?
- Je n'ai trouvé aucun livre rouge dans l'église,
pourtant j'ai fait le ménage de fond en comble
Moaki (Martin)
Puis il me vient une idée, il reste une clé sous la statue
fermé avec un cadenas ? Cette possibilité pourrait
nous instruire. Je propose d'ouvrir le coffre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur. .
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Les romans sont des fictions
LA RENCONTRE
108
- Chère Frères et sœurs, de bonne nouvellessont proche pour notre village. Comme vous le
savez toute notre réussite est dut à notre
patience . Mais faite bien attention car le vent ne
c'est pas éloigné et le froid non plus.
Certainement que l'avion militaire vas nous largeur
des vivres et du bois de chauffage. Passez toutes et
tous une bonne nuit.
La fin du discours laisse libre cour au remue-ménage.
Toutes les personnes sont heureuses et s'expriment
à haute voix. Il ne reste que le jeune Mika prêt de
moi et qui suit mes pas. Il tire sur mon veston.
- Père Sylvain je ressens la même impression que
toi. Cette rumeur n'apporte pas la joie car les
grands hommes qui vont nous rendre visite ne
son pas racé et leur comportement est méchant.
Je regarde ce jeune garçon et n'arrive pas à définir ce
que ces mots signifient.
- Mais Mika ces gens viennent de l'endroit d'où je
suis venu, ils ont été à l'école et sont instruit.
raison dois on avoir peur ?
La nuit appelle notre sommeil. Comme le soir passée
Mayka se trouve sous ma couverture. Elle en a pris
une habitude, sa présence ne me fait pas outrage au
contraire. Mais un autre sentiment me prédit une
affection envers laquelle je n'ai pas droit avant le
mariage, pour le moment j'appartiens à mes sermons
envers Dieu.
La chaleur féminine enlace mes membres refroidis. Je
ne tremble pas de froid mais d'une chose étrange à
mes habitudes. Je pense que cette nuit j'arrive à
dormir ? Il n'est pas question que je commette un
péché. La puissance de la fatigue m’entraîne dans un
monde que je n'ai jamais connu auparavant, celui de
l'amour par contacte. Ces rêves ne figurent pas dans
mes croyances. Ils transforment les écrit du paradis.
Souvent dans mon enfance je rêvais d'une autre
relation, celle de l'amitié. L'amour que mes parents
m'avait donné. Au moment où je pense à ses mots
l'affection et du désire. Cette nuit-là ma volonté de
résister au sommeil ma plongé dans un repos mérité.
Comme tous les matins je me lève à l'heure habituelle
pour activer le feu et enfourner mes miches car les
amateurs de pains se sont multiplier. Les filles aiment
m'assister dans mes préparatifs pour la création de
mes miches et au petit matin, Solaya une fille de 10 ans
suit mes actions pour la cuisson. Une assistance qui
certainement trouvera dans cette réalisation un avenir.
Le vent a disparu comme prévu par la météo. Ce
manque de bisse repose nos écoutes. Dans les paroles
de ma messe matinal je remercie Dieu. Le froid n'a pas
baissé, il reste tenace et sec. Notre salive crachée gèle.
Uriner en plein air n'est pas possible cela demande un
emplacement protégé. Le nombre d'occupant de
l'église nous oblige de se soulager a l'extérieur entre
les murs d'une cabane de bois. J'ai du mal à ouvrir
mon pantalon avec mes moufles en peau . A ce moment
là ou j'urine sur de la neige, un souvenir me vient a
apparu. Ce passé est bien loin maintenant, en ce
moment la chaleur de ce liquide humain ne font la
moindre neige.
Aucune odeur ne vient a mes narines, car l'urine gèle.
Au loin le hurlement des chiens résonne entre les fjords.
Ce retour permet d'orienter les chasseurs. Je ne suis
pas seul à l'avoir entendu. Moaki, le fusil a la main, se
dirige vers ce bruit. Certainement que l'ourse est dans
les barges. Je me frappe les épaules pour réchauffer et
faire circuler mon sang. Un coup de feu claque, puis une
voix dit,
- Un avion militaire dans le ciel .
- Où ça, où ça ?
- Vers le sud au-dessus de la mer Père Sylvain.
Le jeune Mika en est enchantée, ses cries font sortir
l'ensemble des occupants de l'église. Cette venue nous
soulage tous. Promesse tenu par la Station Alizé, notre
avenir est assuré.
Nous attendons tous la venue de cette oiseau métallique.
contourne la crête du nez penché pour disparaître puis
réapparaître au-dessus du village. Il largue des sacs à
basse altitude sous l'attention de tous. Après plusieurs
passages l'avion disparaît vers le sud. Ensemble nous
le remercions par des signes de mains.
Au centre de l'église, l'inventaire de cette acquisition
venu du ciel nous permet d'obtenir le relevé suivant.
300 sacs de bois, 200 sacs de pâtes, 50 sacs de farines,
50 sac de riz, des sacs de saucisses séché, du poisson
séché, 20 kg de chocolats, du thé, du café, du sucre et
du lait en poudre. D'autres sacs renferment des pommes
de terre et des pommes, il n'ont pas oublié des bougies
et des allumettes.
toute cette récupération nous a occupé toute la journée.
Moaki ne rentre pas bredouille, il a abattu l'ourse a trois
griffes, celle qui fut responsable de la disparition d'un
grand nombres de chasseurs et de nos réserves.
Il est 17 heures, je prend les écoutes du poste pour
contacter l'Alizé. J'ai hâte de les remercier.
station Sylvain vous me recevez ?
- Station Sylvain la station Alizé vous reçois 5 sur 5.
- La station Sylvain est ravi de votre livraison, station
Alizé. J'ai une bonne nouvelle a vous annoncer, le
chef du village Moaki ( Martin) a tué l'ourse
responsable de
la disparition de chasseurs et de nos réserves.
- La station Alizé accepte vos remerciements nous
ferons part à l'armée qui ont mis a disposition
un de leurs avions. Dans les jours qui vont suivre
un ferry complétera le restant manquant.
- La station Sylvain vous envoie un grand merci
Station Alizé.
-
Certainement que l'avion militaire vas nous largeur
des vivres et du bois de chauffage. Passez toutes et
tous une bonne nuit.
La fin du discours laisse libre cour au remue-ménage.
Toutes les personnes sont heureuses et s'expriment
à haute voix. Il ne reste que le jeune Mika prêt de
moi et qui suit mes pas. Il tire sur mon veston.
- Père Sylvain je ressens la même impression que
toi. Cette rumeur n'apporte pas la joie car les
grands hommes qui vont nous rendre visite ne
son pas racé et leur comportement est méchant.
Je regarde ce jeune garçon et n'arrive pas à définir ce
que ces mots signifient.
- Mais Mika ces gens viennent de l'endroit d'où je
suis venu, ils ont été à l'école et sont instruit.
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Notre discours s'arrête là, finalement pour quelleraison dois on avoir peur ?
La nuit appelle notre sommeil. Comme le soir passée
Mayka se trouve sous ma couverture. Elle en a pris
une habitude, sa présence ne me fait pas outrage au
contraire. Mais un autre sentiment me prédit une
affection envers laquelle je n'ai pas droit avant le
mariage, pour le moment j'appartiens à mes sermons
envers Dieu.
La chaleur féminine enlace mes membres refroidis. Je
ne tremble pas de froid mais d'une chose étrange à
mes habitudes. Je pense que cette nuit j'arrive à
dormir ? Il n'est pas question que je commette un
péché. La puissance de la fatigue m’entraîne dans un
monde que je n'ai jamais connu auparavant, celui de
l'amour par contacte. Ces rêves ne figurent pas dans
mes croyances. Ils transforment les écrit du paradis.
Souvent dans mon enfance je rêvais d'une autre
relation, celle de l'amitié. L'amour que mes parents
m'avait donné. Au moment où je pense à ses mots
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un autre sentiment vient me guider, celui del'affection et du désire. Cette nuit-là ma volonté de
résister au sommeil ma plongé dans un repos mérité.
Comme tous les matins je me lève à l'heure habituelle
pour activer le feu et enfourner mes miches car les
amateurs de pains se sont multiplier. Les filles aiment
m'assister dans mes préparatifs pour la création de
mes miches et au petit matin, Solaya une fille de 10 ans
suit mes actions pour la cuisson. Une assistance qui
certainement trouvera dans cette réalisation un avenir.
Le vent a disparu comme prévu par la météo. Ce
manque de bisse repose nos écoutes. Dans les paroles
de ma messe matinal je remercie Dieu. Le froid n'a pas
baissé, il reste tenace et sec. Notre salive crachée gèle.
Uriner en plein air n'est pas possible cela demande un
emplacement protégé. Le nombre d'occupant de
l'église nous oblige de se soulager a l'extérieur entre
les murs d'une cabane de bois. J'ai du mal à ouvrir
mon pantalon avec mes moufles en peau . A ce moment
là ou j'urine sur de la neige, un souvenir me vient a
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l'esprit, celui où la dépouille de mon amie l’écureuilapparu. Ce passé est bien loin maintenant, en ce
moment la chaleur de ce liquide humain ne font la
moindre neige.
Aucune odeur ne vient a mes narines, car l'urine gèle.
Au loin le hurlement des chiens résonne entre les fjords.
Ce retour permet d'orienter les chasseurs. Je ne suis
pas seul à l'avoir entendu. Moaki, le fusil a la main, se
dirige vers ce bruit. Certainement que l'ourse est dans
les barges. Je me frappe les épaules pour réchauffer et
faire circuler mon sang. Un coup de feu claque, puis une
voix dit,
- Un avion militaire dans le ciel .
- Où ça, où ça ?
- Vers le sud au-dessus de la mer Père Sylvain.
Le jeune Mika en est enchantée, ses cries font sortir
l'ensemble des occupants de l'église. Cette venue nous
soulage tous. Promesse tenu par la Station Alizé, notre
avenir est assuré.
Nous attendons tous la venue de cette oiseau métallique.
112
Son vrombissements se rapproche, le voilà qu'ilcontourne la crête du nez penché pour disparaître puis
réapparaître au-dessus du village. Il largue des sacs à
basse altitude sous l'attention de tous. Après plusieurs
passages l'avion disparaît vers le sud. Ensemble nous
le remercions par des signes de mains.
Au centre de l'église, l'inventaire de cette acquisition
venu du ciel nous permet d'obtenir le relevé suivant.
300 sacs de bois, 200 sacs de pâtes, 50 sacs de farines,
50 sac de riz, des sacs de saucisses séché, du poisson
séché, 20 kg de chocolats, du thé, du café, du sucre et
du lait en poudre. D'autres sacs renferment des pommes
de terre et des pommes, il n'ont pas oublié des bougies
et des allumettes.
toute cette récupération nous a occupé toute la journée.
Moaki ne rentre pas bredouille, il a abattu l'ourse a trois
griffes, celle qui fut responsable de la disparition d'un
grand nombres de chasseurs et de nos réserves.
Il est 17 heures, je prend les écoutes du poste pour
contacter l'Alizé. J'ai hâte de les remercier.
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- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé icistation Sylvain vous me recevez ?
- Station Sylvain la station Alizé vous reçois 5 sur 5.
- La station Sylvain est ravi de votre livraison, station
Alizé. J'ai une bonne nouvelle a vous annoncer, le
chef du village Moaki ( Martin) a tué l'ourse
responsable de
la disparition de chasseurs et de nos réserves.
- La station Alizé accepte vos remerciements nous
ferons part à l'armée qui ont mis a disposition
un de leurs avions. Dans les jours qui vont suivre
un ferry complétera le restant manquant.
- La station Sylvain vous envoie un grand merci
Station Alizé.
-
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Je quitte mes interlocuteurs avec une profonderéjouissance. La venue du ferry est une raisons de
ce bien être.
Avec le débâcle les journées augments et la lumière
du ciel transforme notre entourage. La mer redevient
verdâtre et navigable dans le fjords. Les maisons
d'habitation sont de nouveau occupées.
Pour le repas de midi je présente a mes convives les
pommes de terre et explique une manière de les faire.
Je les jette dans la marmite rempli d'eau avec une
pincé de sel et les met sur le feux. Je les épluche puis
les coupe en morceau.Je les écrase avec un peu de
lait en poudre, puis les écrase pour en faire de la
purée.
Une hésitation se remarque sur leur comportement.
Mika et Solaya très confiant, demande d'être servi en
premier. Je fais une prière de remerciement, puis laisse
Mika plonger son couteau dans la purée. Solaya en
fait autant et ensemble ils y goûtent . Tous les autres
suivent l'exemple. Moaki s'écrit;
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- On n'a pas besoin de mordre, et c'est bon.La méfiance est levée, tous le monde en mange. Je
crois que ma cuisine a trouvé preneur. Maintenant
il faut que je leur apprend se servir dans des assiettes
des fourchettes et des cuillères.
La nuit venue demande du repos dans mes pensées.
Comme les représentante nuit, Mayka réchauffe mon
lit. J'ai perdu un peu de ma stupidité et conclu qu'il
n'y a que ma timidité qui gère mon état d'âme. malgré
cela je garde une petite partie de mes vêtements.
Que me réserve cette nouvelle journée, j'ai hâte de
savoir, je commence par faire mes besoins habituelles
avec une température de 5 degrés. Ce réchauffement
me donne un bien être. Je sens une transformation, un
bonheur révélateur. Tous les soucis se sont envolés. La
pêche est fructifiant, plus de clinquantes poissons de
bonne taille sont pêché.
17 heures, je contacte la station Alizé.
- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé ici
Station Sylvain, vous me recevez ?
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- Ici station Alizé, station Sylvain je vous reçois 5sur 5. On est à 20 heures de navigation avec le
représentant de la station Alizé.
- Station Alizé, cette nouvelle nous encourage plus
que tout. La station Sylvain vous attend avec
impatience.
Cette nouvelle réconforte l'ensemble du village. Je ne
répète rien , le nouvelles vont vite. Le modernisme est
la clé de l'avenir. La venue du navire l'Alizé mérite
une grande fête. A la esse du soir je remarque que
des préparatifs sont en route. Les femmes se donnent
de la peine pour se rendre plus attirante et les
hommes se sont rasé de prêt.
Ce remue-ménage n'intrigue pas les enfants qui
trouvent dans ces préparatifs une raison d'en faire
autant. Les femmes enduisent leur corps d'une huile
qui provient de poisson ou peut être du phoque.
A 19 heures c'est le moment de la messe du soir. un
parfum inconnu me tourne vers les femmes qui le
portent. Comme elles sont habillé de vêtements de
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peaux, cette odeur se mélange avec celui de la faunesauvage. Le chef Moaki m'a expliqué qu'un vrai
chasseur doit garder cette odeur pour épouser la
nature. Le savon se dispatcher dans la nature et les
animaux en sont conscients qu'il représente un
danger.
Comme les autres nuit je retrouve mon lit et Mayka.
Je n'hésite pas à y pénétrer et trouve dans cette
présence un confort. Elle aussi à cette odeur attirante
qui me fait tourner la tête. Celle-ci ensorcelle mon
comportement, mais que ce passe-t-il donc ? Mayka
émet des petits rires en les accompagnent de mots
doux. Sa douce main entoure mon corps. Cette
douceur me bouleverse. Mon hésitation est dut
à une règle, la promesse que j'ai faite envers Dieu. Je
garde cette volonté de le servir, il ne faut pas me
laisser entraîner par la tentation de se mélanger c'est
un péché. Que se passe-t-il ? Je cherche à trouver une
solution pour m'y réfugier. Des mots en sourdine suivi
de rires silencieux m'entourent. La main douce de
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Mayka effleure mon corps pendant un moment. Jesens le déplacement de sa main par la chaleur
qu'elle émet. Je tremble de froid ou peut-être de ma
peur ? Sens aucun détournement de ma part, je laisse
Mayka poursuivre ses intentions. Combien de temps
vient-il de s'écouler ? Je ne sais pas au juste. Même mon
esprit est tombé dans un engrenage incontrôlable. La
main glisse le long de ma jambe. Je mime de dormir et
garde ma position. Cette douceur féminine glisse sur
mes hanches puis mon ventre suivi de ma poitrine. Le
même mouvement revient au point départ. Comment
est-elle couchée ? Je me le demande, enfin mon
cerveau réagis. La main se trouve vers le bas de mon
corps. Sut que se passe-t-il ?
Me voilà entraîné par une visse sens fin. Je me laisse
séduire par la volonté d'une femme et ses désirs. Je ne
navigue pas à contresens et la laisse faire en restant
sur le dos, sans bouger, ni réagir. Je conclu de faire le
premier pêché de ma vie de Père.
Avec cet acte je rentre dans leur coutume, ce qui me
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permet de les mettre en confiance et les guider versma religion. J'expliquerai plus tard ma faute à
l’archevêque de mon diocèse.
Mayka exprime sa satisfaction par un gémissement en
m'enlaçant. Cette pureté de la nature des choses ma
plongé dans un sommeil réconfortant et profond. Dire
que je n'ai jamais goûté à ce passage là, mais pour
quelle raison ? Pour quoi ce comportement peut-il
être interdit par certains
Au matin Mayka rayonne de bonheur et moi de
satisfaction. Elle dore encore, je ne la dérange pas et
prépare le feu et les miches de pains a enfourner.
Les villageois sont tous au aguets, ils attendent que le
ferry Alizé accoste.
Dans l'apprêt midi a 15 heures, le ferry fait hurler sa
trompe pendant trois répliques devant l'entrée du fjords,
elle se répercutent entre les falaises qui se répondent.
l'ensemble des villageois se regroupent sur le proton
pour les accueillir. Les chasseurs ont huilé leurs
traîneaux pour les mettre en valeur. Lorsque le ferry
120
a accosté les chargement est déchargé, puis remontédans le village.
Le dirigeant de la station radio émetteur Alizé propose
de nous rencontrer dans l'église avec le chef du village
Moaki. Il est question de faire un inventaire de la
population et de leur nom et prénom ainsi que de leur
région d'où ils proviennent. Leur âge et leur dates de
naissance.
Un grand nombre est met dans le village mais pour
les parents et parfois les grand parents il est impossible
de connaître la naissance. La dernière famille, composé
de 7 personnes, deux grand parents et un couple et trois
enfants, avaient accouché leur enfants dans la toundra.
Ce remembrement permet a la nation du Groenland de
mettre en valeur le village Narsarmijit.
Puis il est question de l'aménagement du village et de
son amélioration. La construction d'un aéroports pour
hélicoptère est proposé. Cette proposition rendre plus
accessible cette région et évitera le manque de
contacte avec le restant du pays. Il est aussi question
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de notre bien être pour permettre a nos maisonsd'avoir un confort supportable.
Je leur remet les relevés journaliers de température, du
vent et de la composition des déchets que nous rapporte
la mer. Je ne manque pas de préciser le nombre de
phoques tué ainsi que de la quantité de poissons péché.
Je lui fais part de l'ourse blanc au trois griffes qui fut
tué pas Moaki. l'envoyé de l'Alizé me demande,
- Père Sylvain avez-vous obtenue des indications
concernant la disparition de trois familles d'Inuits
composé de 15 personnes , trois mamans, trois pères
et neuf enfant, je n'oublie pas le Père Léon.
- Je n'ai pas plus de renseignement sur leur disparition
le mieux c'est de demander au chef du village, c'est
lui qui est le plus âge et le plus vieille habitant.
Moaki suivi notre conversation et ne tarde pas a répondre.
- Les trois familles ont décidé de faire l'école de chasse
dans la toundra avec leur enfants comme le font tous
les chasseurs. Il fut question de faire des réserves de
viandes pour l'hiver. Les trois familles sont partie
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ensemble avec leur chien et les traîneaux. Un premierretour d'expédition n'a permis de ramener que deux
familles. Leurs explications sur la disparition des
manquants c'est qu'ils ont subit l'agression d'une
ourse blanche avec trois griffes qui a tué la famille
complète ainsi que leur chiens. L'ourse les a suivie
jusque ici et a continuer a prendre par surprise
plusieurs chasseurs. Les traces sont marqué par
cette patte a trois griffes sur l'avant droit. Pour ce
qui est de la disparition du Père Léon personne ne
sut où il a passé ? Ce que je sais c'est que le Père
Léon a toujours remplie un rapport journalier sur
les événements du village dans un livre rouge. Je
ne sais pas ce qu'est devenu le livre. Ne l'avez vous
pas trouvé Père Sylvain en faisan l'inventaire de
l'église ?
- Je n'ai trouvé aucun livre rouge dans l'église,
pourtant j'ai fait le ménage de fond en comble
Moaki (Martin)
Puis il me vient une idée, il reste une clé sous la statue
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du phoque, ne permettrait elle pas d'ouvrir le coffrefermé avec un cadenas ? Cette possibilité pourrait
nous instruire. Je propose d'ouvrir le coffre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur. .
A SUIVRE au 7/8
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