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Direction banquise Groenland
La volonté de convaincre
Si tu possèdes une idée
Est, de l'exprimer.
Est, de l'exprimer.
ETRE POUR PARAÎTRE.
C'est en s'acquittant d'une dette,
que l'endette redevient un homme
libre car il n'est plus esclave des
crédits entamé. A partir de là que
le missionnaire termine de payer
la dette envers Dieu.
2
Quelle merveille que de retrouver le printemps après
un hiver rigoureux. Nous somme privilégier cette année
car d'habitude la fonte des neiges se passe bien plus
tard que mois de mars. Les anciens prétendent que
ce phénomène reste inconnu dans leur mémoire. Jamais
il n'eut arrivé que le printemps ce manifeste si
prématurément. Certaines paroles prétendent que cela
prédit un message de sainteté. Le ciel est avec nous, le
beau temps aussi, nous devons remercier Dieu, d'une
manière ou d'une autre
Père Sylvain voyait dans ce message tout un univers
de sagesse car se dit-il avec un soleil aussi radieux la vie
sur terre prend un avant-goût de ce que sera le paradis.
Pour apprécier cette clarté réchauffant, notre prêtre
se dirige vers le centre du grand parc où, des plantes et
d'arbres de toutes sortes prennent racine. Ce lieu
renferme un petit coin de méditation où se retrouvent
de nombreux écureuils et oiseaux. La raison de ce
rassemblement provient des actions que le Père Sylvain
abris fait en bois. Ces abris sont répartie dans les basses
branches de sapins dorés et des bouleaux farineux. Sa
satisfaction de pouvoir approvisionner les râteliers de
nourriture le comble de bonheurs.
Par temps froid, les oiseaux remercient cette attention
avec des sifflements en guise de remerciement. Cette
bonté la, lui donne le droit d'approcher les petites
créatures du bon-Dieu aussi près qu'il parvient à leur
chanter de douce louange. Pour lui, dialoguer de cette
sorte c'est remercier celui qui eut crée toutes ces
natures vivantes remplit de sagesse et de beauté. Il sait
que son langage leur est étranger, dialoguer avec eux
c'est parler a une puissance créatrice, Dieu. Il raisonne
ainsi pour faire pardonner les impuretés du monde
humain et tous les crimes qu'ils engendrent.
Il arrive qu'un animal manqua a l'appelle, là, ces
pensées lui incombent des responsabilités reprochant.
Aurait-il mal conçu ses abris pour qu'un animal ait
prit froid ? Hélas, d'autres facteurs sont mis en jeu, ceux
venue d'un nouvel habitant. Parfois c'est un chat qui se
sert des oiseaux.
Ce jour-là il attend impatiemment la venue de
l'écureuil (Nicolas). Il l'appelle, ses paroles résonnent
entre les branches des épineux et des chênes
centenaire, en passant par les bouleaux . Il se dirige vers
une autre maisonnette. Il siffle quelques notes, puis
lance un appel ( Nicolas).Rien, toujours pas de signes.
Le soleil réveil une influence sur la fonte du restant de
neige. Les derniers tas, conservé par l'ombre des grands
arbres diminuent a vue d’œil. De petit ruisselets se
recoupements en flaques d'eau pour disparaître sois sous la
terre, sois en s'évaporant. Une envie présente entraîne
le Père Sylvain vers un énorme chêne bicentenaire où
est amassé un volumineux monticule de neige. Le Père
déboulonne sa soutane, puis, urine.
Sur cette masse blanche souillé par les cendres qui l'on
éparpille dans les allées quant c'est verglaçant.
Pendant son acte, il regarde vers le sommet de ce haut
mal pour traverser cet enchevêtrement de bois, a peine
quelques rayons timides parviennent à marquer leur
présence sur cette partie ombrageuse.
Son besoin terminé, il referme sa soutane bleuté puis
regarde la marque que vient de sculpter son urine
jaunâtre sur ce tas de neige. Cette intention lui fait
découvrir quelques poiles brin gris.
- Mais, c'est ?
D'une main leste, il augmente l'ouverture façonné
par son urine et découvre (Nicolas)
Sa curiosité sur sa mort se comble de vérité car en
soulèvent ce cadavre il découvre les traces d'un
impacte de petit calibre. Il trouve dans cet acte le savoir
de la civilisation civilisée. Pour quelle raison les humains
sont-ils si cruelle ? Pour quel motif tuent-ils ? Pour leur
plaisir ou leur incompréhensions.
Il eut beau questionner le seigneur, il ne recevra pas
de réponse. Il remarque une comparaison , celle que
son instinct le guidera vers une juste raison.
des jardiniers. Il y prit une bêche , puis se dirigea vers
une souche d'arbre en décomposition. Avec peine il
creusa un trou car la terre resta gelée par endroit. A la
suite il ramasse cette mince traîne de poils brin gris.
Il tient l'animal par la queue pour le laisser choir dans
ce trou.
Dans les pensées du Père un requin pour le repos
de cette pauvre bête domine une partie de ses soucies.
Il cherche par trouver les mots de pardon. Dans son
répertoire il exprime un miracle, une sorte de
raisonnement pour que cette personne retrouve la
juste raison, le bon sens en somme.
Il referma ce trou, tassa bien la terre, puis fit
un signe de croix après un moment de silence et de
recueillement. Il range l'outil dans la cabane du bois
des jardiniers, puis reprend la direction du centre du
parc. Ce n'est pas le premier acte de ce tir mortel, cela
fait la huitième fois.
Dans sa promenade la présence des arbres et de
marquant le souvenir d'une merveilleuse vie, la sienne.
Son regard s'oriente dans toutes les directions pour
trouver la moindre transformation naturelle de
l'évolution que forment ces plantes de toutes sortes.
Chaque maladie est répertoriée dans sa mémoire
comme dans les lois de la pesanteur entre le bien et
celui du mal. Pour aboutir à leur guérison, il cherche
les remèdes énergiques existant. La passion qu'il
complote avec eux, ce résume pas une observation
minutieuse et lente qui guide le rythme de la vie
Père Sylvain remarque une pousse se former sur un
arbuste, il sort de sa poche un morceau de craie grasse
rouge, puis marque la coupe a réaliser; il se déplace
a une dizaine de mètres pour contempler la forme
actuelle. Puis se déplace vers la gauche , fait quelques
pas , puis se baisse et dit d'un air artistique,
- Qui avec cette nouvelle pousse, l'arbuste équilibre
sa forme.
Son parcours le guide jusqu'à la petite forêt de
moment où il les eut plantés. Ils n'étaient pas plus
hauts que la hauteur d'un homme et leur tronc
ressemblait à un manche de pioche. Leur faiblesse
demanda des tuteurs et maintenant, au bout de cinq
années, ils ont triplé de hauteur. Que c'est beau la
nature que Dieu nous a crées. Son temps de
contemplation le plonge momentanément dans un
vide. Une abstraction s'emparât de son attention
- Père Sylvain, Père Sylvain, il n'y a une lettre
importante pour vous.
Le Père Sylvain ne capta le moindre son, cette voix
fut lointaine. Il resta accroché dans un silence de
méditation remplit d'un énorme vide. La personne
venu à sa rencontre l'eut remarqué. Elle se
rapproche de lui pour toucher son épaule.
- Père Sylvain, Père Sylvain, j'ai une lettre
importante pour vous.
Il se retourne, et d'un air sérieux et autoritaire
répondit.
vous remercie Frère Lucien.
- Comment arrivez vous à le savoir Père Sylvain ?
- Je peux préciser que cette lettre provient de
l'archevêché de Strasbourg.
- Vous avez raison, c'est bien le cachet de l’Évêque
de Strasbourg.
Le diacre Lucien lui tendit l'enveloppe et Père Sylvain
le prend de la main gauche puis l'ouvre avec l'aide de
son couteau de poche. A haute voix il la lit,
- L'archevêque de Strasbourg a l'honneur
d'accepter votre demande de mutation. Pour cela
une rencontre est à programmer.
- Père Sylvain c'est comme si c'est dans la poche
votre mutation. Je crois que c'est un grand
honneur de pouvoir partir dans un pays lointains
et prêcher le christianisme.
- J'ai hâte d'y arriver frère Lucien, depuis le temps
que je désire cela.
- Là où vous allez, y-a-t-il toujours du soleil, fait il
- Frère Lucien, l'hiver est un passage aussi beau
que toutes les autres saisons, je crois même que
c'est la plus belle car dans le pays où je conte
mi rendre , cette saison-là prend plus de la moitié
de l'année.
- Donc vous allez dans le Pôle Nord
- Vous avez devinez juste, Frère Lucien.
Le grand départ
Devenir missionnaire c'est une vraie gloire que de
pouvoir exprimer ses passions sur sa religion. Nul
n'est prophète en son pays, autre part sa valeur
devient gloire.Pour le Père Sylvain ce n'est pas une
gloire mais une véritable victoire que de pouvoir
distribuer sa croyance.
le jour de son départ il effectue une dernière visite
dans le parc de l'abbaye, il n'est pas seul le diacre
Lucien prend en note les instructions à suivre
Ce n'est pas la première leçon concernant le parc, le
Père Sylvain a une nostalgie sur le coeur. Le Frère
Lucien accepte cette répétition comme une louange.
Il connait sa leçon par coeur et sais impérativement
qu'il doit s'occuper des petites maisonnettes pour
être accepté des animaux du voisinage. Il devra
s'armer d'une grande patience pour parvenir à ce
que les oiseaux viennent picorer les graines dans
ses mains comme chez le Père Sylvain.
Dans l'après midi, ils retrouvent la gare de Colmar.
Le Père Sylvain ne porte plus son costume d'église
mais des vêtements d'hiver qui se composent d'un
épais pantalon de laine verdâtre, de haute et grosse
chaussures de marche qui alourdissent ses pas. Cette
concordance, par cette chaleur d'été, ne le gratifie
au contraire, il transpire. De nombreuses personnes
l'observent par curiosité.
Une bonne demi-heure reste jusqu’à l'arrivé du
bien fraîche. Ils se dirigent vers le café de la gare
pas loin du hall de départ.
Le père Sylvain caractérise une bondée digne de ce
solide gaillard bien en chair. Il frôle la trentaine
d'année et impose une grandeur d'un mètre quatre
vingt-dix. Une petite barbe châtain, prend sa racine
sur un visage brunit par les rayons de soleil. Ses
yeux, d'un bleu convoitant le ciel bleu traverse cet
ensemble satiné que surmonte un béret plat de laine
chocolaté. Son visage intègre une sympathie attirante.
En regardant cette homme, qui porte ses vêtements
hors saison l'on se demande c'il n'y a pas de bals
masqué dans les environs. Sur son front des
gouttelettes de sueur se perdent sur sa barbichette
qui luit par endroit.
Le Père Sylvain retrousse ses manches a plusieurs
reprises, pour laisser découvrir ses avant bras. Son
impatience le fait retourné à plusieurs reprises pour
regarder l’horloge murale, de la gare qui semble a
Le train prit la direction de paris, le Père Sylvain
occupe une banquette seul et en face de lui une
maman et son enfant, un garçon très attentif sur
le paysage. le déroulement des pâturages fertile
et des forets le fascine. Chaque recoin d'ombre et
chaque colline laissent découvrir des lacs et
rivières de toute grandeur. Le Père Sylvain se
laisse emporter par cette beauté, pour lui c'est
un au revoir. Une grande étendu d'eau intrigue
le petit garçon qui s'écrit à haute voix,
- Maman, c'est la mer que l'on voie là-bas ?
Une main féminine lui fait signe que nous. Ce
petit garçon ne cessa d'observer les alentours.
Je fais travailler mes pensées sans arriver à trouver un
sel signe banal. Je ma dis que le vide d'expression dans
ce compartiment qui me linguistes. Une personne doit
faire la premier pas, je ne tarde pas et questionne ce
petit garçon d'un air soulagé,
- Dis-moi quel âge as-tu ?
structuralisme fait briller ses yeux que je fixe
vaillamment. Son visage se transforme pour faire
naître un sourie amical. Ce mode de correspondance
associe nos deux mondes dans une onde amicale. Voila
un contrasse qui navigue entre deux eaux. Cette
alternance ne provoque la moindre parole, je garde
que le souvenir de ce garçon du voyage vers Paris.
Un taxi m'a emmené à l'aéroport vers le soir avec
mes bagages. Je me place sur un banc, pour y
passer la nuit.
C' est au matin, je percevoir les ordres à suivre et
toutes les précisions venant du Canada.
Dans ce hall la température est supportable, je
plonge dans une sieste mérité. Au réveille de
nombreuses personnes sont présente pour
embarquer vers la même destination. cette présence
me soulage, je confis mes valises à la compagnie qui
s'occupe de la destination. Mon impatience me
nargue, ce n'est qu'a 19 heures 50 que l'avion
un faux pas m'oblige à demander protection a Dieu.
Le vol
Me voilà au-dessus des nuages, dans un habitacle
pas trop grand, et vibrant. Un hublot me permet
d'apercevoir une immense étendu d'eau . De
temps à autre un minuscule navire trace une
route bien droite. Des trous d'air, nombreux,
font vibrer l'avion qui subitement se laisse
tomber de quelques mètres. Cette dévaluation rapide
me fait remonter le coeur qu'enlace des petits
malaises pas très réconfortants surtout quant je vois
les ailes se déformer; j'ai l'impression que les ailes
sont sur le point de céder a chaque trou d'air. Ma
peur rendit ce vol interminable par mon angoisse.
Enfin je me laisse entraîner dans un sommeil
profond.
Mon aventure dans les airs se termine sur le
grand aéroport de la ville de Quebec. Ouf, je sens
vocation.
Comme convenu, l'on m’accueille par une
coordination parfaite. Je poursuis mon cycle
avec l'aide d'un Frère qui me guide pour les
démarches à entreprendre. On retrouve un port
où un navire me prit en charge. Je remonte le
Fleuve Saint Laurent pour rejoindre l'Océan
Atlantique Nord en direction du Groenland pour
retrouver Narsarmijit. Le déroulement de mon
aventure commence.
Par le pont supérieur, je vois s'éloigner la terre
ferme. A partir de ce moment là, le gout de mes
engagements éveilla mes pensées. J'ai
l'impression que je suis a la poursuite d'un trésor.
Avec l'équipage c'est agréable de naviguer et
d'échanger mes propos, religieux qu'ils acceptent
avec honneur durant les repas.
Cette navigation dure plusieurs journée, ce qui
cultive ma curiosité et mes connaissances des
multitude d'informations précieuses. Je conjugue
plusieurs versions par les marins qui résument
leur impressions selon des critères communs.
Les capitaines ont d'autres expressions,
croiseraient ils des personnes plus éduqué ?
Ce panache de réflexions m’entraîne vers des
attentions d'incertitudes . Sur certaine descriptions
les croyance Chrétienne laissent à désirer. Il y a
du travail pour tout remettre en place.
Je compte sur Dieu pour qu'il me guide dans
mes prêches et mes sermons.
Le navire mouille son ancre à trois cent mètres
de la terre ferme. Le ciel est bleu et la journée
à 1 degrés. C'est la fin de l'été, déjà un vent frais
d'hiver caresse nos oreilles. De gros classons
cognent a la coque du navire, lequel transmet des
craquements. Une myriade de poissons se déplace
autour de notre amarrage, feraient t'ils une fête
pour mon arrivé ? Une petite embarcation est
destinées aux habitants de Narsarmijit.
J'accompagne le premier déchargement et trouve
le ponton de débarquement. En accostant de
nombreuses personnes viennent à notre rencontre
Je prête attention à cet attroupement et me dis
que ma venue est honorée.
Ce fut un personnage de petites tailles, habillées
de vêtements en peau, qui me recevoir. Les autres
personnes attendent impatiemment leur colis sur
le quai de rocher. La barque heurte puis tangue
dangereusement. Une main ferme m'est tendue, je
l’agrippe pour atténuer le balancement. Je remercie
cet aimable personnage par un sourie et un grand,
- Merci.
Le visage de cette personne n'a pas de signe amical,
il me regarde d'un air étonné. Ses mains ainsi que
son visage sont dorée par les rayons du soleil. Cette
couleur donne un air particulier car ses yeux
paraissent petits avec ses gros sourcilles. Ses
en bataille ils ont l'air sale bien qu'ils brillent. Une
odeur d'huile de phoque laisse a pensées que les
cheveux en sont imbibé. Ses dents jaunâtres semblent
entartrées.
Je tente de sortir de la barque et la fait tanguer
dangereusement. Cette homme trapu plus petit que
moi me rattrape et me guide pour que je puisse
toucher la terre ferme. Me voilà à terre, je retrouve
mon équilibre.
Mes bagages me suivent sur cette rive caillouteuses.
Je salue les personnes qui se trouvent autour de moi
une après l'autre, je suis la personne qui m'eut tendu
la main.
Nous parcourront un chemin entouré de rocher sans
apercevoir d'habitation, je questionne mon guide,
- Pardon mon fils, je suis Père Sylvain, où sont les
habitations ?
Son visage se tourne vers moi, aucun ton ne tranche
le bruit de mes pas. Je tente de deviner une ombre
voix profonde et orgueilleuse dit,
- Je ne suis pas ton fils, je suis Moaki, Martin pour
les Européens, ce n'est pas ta barbichette qui te
donne le droits de m'appeler mon fils.
Suite a cette réponse je me rendis compte que je dois
interpréter mes questions d'une autre manière. Sa
réponse demande que mon interprétation lui donne
l'avantage.
- Je te donne un âge plus jeune que le mien.
- Là tu te trompes, je suis plus vieux que toi.
Zut, je viens de commettre une seconde mal
interprétation. Certainement que le plus âgé d'entre
eux répond pour tout le village. Je manque de savoir
vivre, je lui répond,
- Je reconnais mon erreur mais tu parais plus jeune
que moi.
- C'est gentil de ta part, mais toi tu n'a pas de mérite
de porter un poil de renard grisâtre cela ne te vas
pas.
je pense même un obstacle pour une éventuelle
poursuite de contact avec ces gens.
- Je reconnais mon erreur mais tu parais plus jeune
que moi.
- C'est gentil de ta part mais toi tu n'as pas de mérite
de porter un poil de renard grisâtre cela ne te vas
pas.
Voilà qu'une partie de moi-même devient encombrant.
Je pense même un obstacle pour une éventuelle
poursuite de contact avec ces gens.
- Je suis prêt a enlever cette barbichette pour me
mettre en confiance.
- Je préfère car personne ici ne porte une barbichette.
Retiens cela et tout le monde te respectera.
Notre parcoure est instable car de grosses pierres
coupante nous déstabilisent. Une longue file de
personnes se forme, ce sont tout ceux qui venu à
l'accostage du bateau, portant les sacs et paquets de
ravitaillement et de matérielles.
dans un alignement militaire. Le village est placé dans
une cuvette a l’abri des intempéries. Je crois comprendre
leurs intentions de retrouver parmi les couleurs la joie
qui valorise leur habitation. Je me mets à compter les
habitations et arrive à 20 maisons conçue de même
grandeur mais de couleurs différente plus une église
qui laisse son cloché dépasser du centre du village.
Notre entrée est accueillie par une ribambelle d'enfants
courant par ci et là. Des chiens de traîneau attaché
a une chaîne, courent autour de leur tuteur, un morceau
de bois planté en pleine terre. Avec cette attroupement
un véritable tintamarre nous entoure. Une odeur de
poisson séché vient effleurer mon odorat. Notre
démarche est sécurisé car cette rue empierré de petit
galets ressemble a une avenu, chique.
Je ressens une immense joie, telle un conquérant au
moment de sa victoire. Mon avenir se trouve sur une
bonne voie.
Je poursuis ma découverte en suivant Martin comme
l'importuner.
Nous arrivons devant la grande porte de l'église, et
me garde de parler. Martin dit,
- C'est l'église Père Sylvain, celle qui vous revient.
Mon soulagement d'être arrivé me redonna du
courage et de l'ambition. Je fis un signe de croix et
une prière devant cette acquisition pour remercier
Dieu, puis,
- Merci Martin je suis maintenant chez moi prés du
Seigneur.
Martin entra et se dirigea vers la corde du cloché
qu'il actionna pour que tout le monde puisse
connaître mon arrivé. Je visite cette demeure et me
rend compte que tous est intacte et bien entretenue.
Je me place devant la croix et refait une prière
dans la maison de Dieu.
SUITE 2/8
Toutes personnes pouvant donner des
ides sont les bien venu. Merci
JEAN JACQUES MUTZ.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
un hiver rigoureux. Nous somme privilégier cette année
car d'habitude la fonte des neiges se passe bien plus
tard que mois de mars. Les anciens prétendent que
ce phénomène reste inconnu dans leur mémoire. Jamais
il n'eut arrivé que le printemps ce manifeste si
prématurément. Certaines paroles prétendent que cela
prédit un message de sainteté. Le ciel est avec nous, le
beau temps aussi, nous devons remercier Dieu, d'une
manière ou d'une autre
Père Sylvain voyait dans ce message tout un univers
de sagesse car se dit-il avec un soleil aussi radieux la vie
sur terre prend un avant-goût de ce que sera le paradis.
Pour apprécier cette clarté réchauffant, notre prêtre
se dirige vers le centre du grand parc où, des plantes et
d'arbres de toutes sortes prennent racine. Ce lieu
renferme un petit coin de méditation où se retrouvent
de nombreux écureuils et oiseaux. La raison de ce
rassemblement provient des actions que le Père Sylvain
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eut entreprit par la création de petites maisonnettes etabris fait en bois. Ces abris sont répartie dans les basses
branches de sapins dorés et des bouleaux farineux. Sa
satisfaction de pouvoir approvisionner les râteliers de
nourriture le comble de bonheurs.
Par temps froid, les oiseaux remercient cette attention
avec des sifflements en guise de remerciement. Cette
bonté la, lui donne le droit d'approcher les petites
créatures du bon-Dieu aussi près qu'il parvient à leur
chanter de douce louange. Pour lui, dialoguer de cette
sorte c'est remercier celui qui eut crée toutes ces
natures vivantes remplit de sagesse et de beauté. Il sait
que son langage leur est étranger, dialoguer avec eux
c'est parler a une puissance créatrice, Dieu. Il raisonne
ainsi pour faire pardonner les impuretés du monde
humain et tous les crimes qu'ils engendrent.
Il arrive qu'un animal manqua a l'appelle, là, ces
pensées lui incombent des responsabilités reprochant.
Aurait-il mal conçu ses abris pour qu'un animal ait
prit froid ? Hélas, d'autres facteurs sont mis en jeu, ceux
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de la cruauté humaine. Cette défaite ce comble par lavenue d'un nouvel habitant. Parfois c'est un chat qui se
sert des oiseaux.
Ce jour-là il attend impatiemment la venue de
l'écureuil (Nicolas). Il l'appelle, ses paroles résonnent
entre les branches des épineux et des chênes
centenaire, en passant par les bouleaux . Il se dirige vers
une autre maisonnette. Il siffle quelques notes, puis
lance un appel ( Nicolas).Rien, toujours pas de signes.
Le soleil réveil une influence sur la fonte du restant de
neige. Les derniers tas, conservé par l'ombre des grands
arbres diminuent a vue d’œil. De petit ruisselets se
recoupements en flaques d'eau pour disparaître sois sous la
terre, sois en s'évaporant. Une envie présente entraîne
le Père Sylvain vers un énorme chêne bicentenaire où
est amassé un volumineux monticule de neige. Le Père
déboulonne sa soutane, puis, urine.
Sur cette masse blanche souillé par les cendres qui l'on
éparpille dans les allées quant c'est verglaçant.
Pendant son acte, il regarde vers le sommet de ce haut
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chêne enlacé par d'immenses branches. Le soleil a dumal pour traverser cet enchevêtrement de bois, a peine
quelques rayons timides parviennent à marquer leur
présence sur cette partie ombrageuse.
Son besoin terminé, il referme sa soutane bleuté puis
regarde la marque que vient de sculpter son urine
jaunâtre sur ce tas de neige. Cette intention lui fait
découvrir quelques poiles brin gris.
- Mais, c'est ?
D'une main leste, il augmente l'ouverture façonné
par son urine et découvre (Nicolas)
Sa curiosité sur sa mort se comble de vérité car en
soulèvent ce cadavre il découvre les traces d'un
impacte de petit calibre. Il trouve dans cet acte le savoir
de la civilisation civilisée. Pour quelle raison les humains
sont-ils si cruelle ? Pour quel motif tuent-ils ? Pour leur
plaisir ou leur incompréhensions.
Il eut beau questionner le seigneur, il ne recevra pas
de réponse. Il remarque une comparaison , celle que
son instinct le guidera vers une juste raison.
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Père Sylvain emporte le petit cadavre vers la cabanedes jardiniers. Il y prit une bêche , puis se dirigea vers
une souche d'arbre en décomposition. Avec peine il
creusa un trou car la terre resta gelée par endroit. A la
suite il ramasse cette mince traîne de poils brin gris.
Il tient l'animal par la queue pour le laisser choir dans
ce trou.
Dans les pensées du Père un requin pour le repos
de cette pauvre bête domine une partie de ses soucies.
Il cherche par trouver les mots de pardon. Dans son
répertoire il exprime un miracle, une sorte de
raisonnement pour que cette personne retrouve la
juste raison, le bon sens en somme.
Il referma ce trou, tassa bien la terre, puis fit
un signe de croix après un moment de silence et de
recueillement. Il range l'outil dans la cabane du bois
des jardiniers, puis reprend la direction du centre du
parc. Ce n'est pas le premier acte de ce tir mortel, cela
fait la huitième fois.
Dans sa promenade la présence des arbres et de
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arbustes représentent, pour lui, le trace d'un planmarquant le souvenir d'une merveilleuse vie, la sienne.
Son regard s'oriente dans toutes les directions pour
trouver la moindre transformation naturelle de
l'évolution que forment ces plantes de toutes sortes.
Chaque maladie est répertoriée dans sa mémoire
comme dans les lois de la pesanteur entre le bien et
celui du mal. Pour aboutir à leur guérison, il cherche
les remèdes énergiques existant. La passion qu'il
complote avec eux, ce résume pas une observation
minutieuse et lente qui guide le rythme de la vie
Père Sylvain remarque une pousse se former sur un
arbuste, il sort de sa poche un morceau de craie grasse
rouge, puis marque la coupe a réaliser; il se déplace
a une dizaine de mètres pour contempler la forme
actuelle. Puis se déplace vers la gauche , fait quelques
pas , puis se baisse et dit d'un air artistique,
- Qui avec cette nouvelle pousse, l'arbuste équilibre
sa forme.
Son parcours le guide jusqu'à la petite forêt de
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peupliers. Des souvenirs renaissent, il revoit lemoment où il les eut plantés. Ils n'étaient pas plus
hauts que la hauteur d'un homme et leur tronc
ressemblait à un manche de pioche. Leur faiblesse
demanda des tuteurs et maintenant, au bout de cinq
années, ils ont triplé de hauteur. Que c'est beau la
nature que Dieu nous a crées. Son temps de
contemplation le plonge momentanément dans un
vide. Une abstraction s'emparât de son attention
- Père Sylvain, Père Sylvain, il n'y a une lettre
importante pour vous.
Le Père Sylvain ne capta le moindre son, cette voix
fut lointaine. Il resta accroché dans un silence de
méditation remplit d'un énorme vide. La personne
venu à sa rencontre l'eut remarqué. Elle se
rapproche de lui pour toucher son épaule.
- Père Sylvain, Père Sylvain, j'ai une lettre
importante pour vous.
Il se retourne, et d'un air sérieux et autoritaire
répondit.
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- Je sais qu'elle doit me parvenir aujourd'hui jevous remercie Frère Lucien.
- Comment arrivez vous à le savoir Père Sylvain ?
- Je peux préciser que cette lettre provient de
l'archevêché de Strasbourg.
- Vous avez raison, c'est bien le cachet de l’Évêque
de Strasbourg.
Le diacre Lucien lui tendit l'enveloppe et Père Sylvain
le prend de la main gauche puis l'ouvre avec l'aide de
son couteau de poche. A haute voix il la lit,
- L'archevêque de Strasbourg a l'honneur
d'accepter votre demande de mutation. Pour cela
une rencontre est à programmer.
- Père Sylvain c'est comme si c'est dans la poche
votre mutation. Je crois que c'est un grand
honneur de pouvoir partir dans un pays lointains
et prêcher le christianisme.
- J'ai hâte d'y arriver frère Lucien, depuis le temps
que je désire cela.
- Là où vous allez, y-a-t-il toujours du soleil, fait il
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continuellement beau ?- Frère Lucien, l'hiver est un passage aussi beau
que toutes les autres saisons, je crois même que
c'est la plus belle car dans le pays où je conte
mi rendre , cette saison-là prend plus de la moitié
de l'année.
- Donc vous allez dans le Pôle Nord
- Vous avez devinez juste, Frère Lucien.
Le grand départ
Devenir missionnaire c'est une vraie gloire que de
pouvoir exprimer ses passions sur sa religion. Nul
n'est prophète en son pays, autre part sa valeur
devient gloire.Pour le Père Sylvain ce n'est pas une
gloire mais une véritable victoire que de pouvoir
distribuer sa croyance.
le jour de son départ il effectue une dernière visite
dans le parc de l'abbaye, il n'est pas seul le diacre
Lucien prend en note les instructions à suivre
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sur les lieux et les animaux qui s'y trouvent.Ce n'est pas la première leçon concernant le parc, le
Père Sylvain a une nostalgie sur le coeur. Le Frère
Lucien accepte cette répétition comme une louange.
Il connait sa leçon par coeur et sais impérativement
qu'il doit s'occuper des petites maisonnettes pour
être accepté des animaux du voisinage. Il devra
s'armer d'une grande patience pour parvenir à ce
que les oiseaux viennent picorer les graines dans
ses mains comme chez le Père Sylvain.
Dans l'après midi, ils retrouvent la gare de Colmar.
Le Père Sylvain ne porte plus son costume d'église
mais des vêtements d'hiver qui se composent d'un
épais pantalon de laine verdâtre, de haute et grosse
chaussures de marche qui alourdissent ses pas. Cette
concordance, par cette chaleur d'été, ne le gratifie
au contraire, il transpire. De nombreuses personnes
l'observent par curiosité.
Une bonne demi-heure reste jusqu’à l'arrivé du
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train, cela permit d'ingurgiter une bonne limonadebien fraîche. Ils se dirigent vers le café de la gare
pas loin du hall de départ.
Le père Sylvain caractérise une bondée digne de ce
solide gaillard bien en chair. Il frôle la trentaine
d'année et impose une grandeur d'un mètre quatre
vingt-dix. Une petite barbe châtain, prend sa racine
sur un visage brunit par les rayons de soleil. Ses
yeux, d'un bleu convoitant le ciel bleu traverse cet
ensemble satiné que surmonte un béret plat de laine
chocolaté. Son visage intègre une sympathie attirante.
En regardant cette homme, qui porte ses vêtements
hors saison l'on se demande c'il n'y a pas de bals
masqué dans les environs. Sur son front des
gouttelettes de sueur se perdent sur sa barbichette
qui luit par endroit.
Le Père Sylvain retrousse ses manches a plusieurs
reprises, pour laisser découvrir ses avant bras. Son
impatience le fait retourné à plusieurs reprises pour
regarder l’horloge murale, de la gare qui semble a
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arrête.Le train prit la direction de paris, le Père Sylvain
occupe une banquette seul et en face de lui une
maman et son enfant, un garçon très attentif sur
le paysage. le déroulement des pâturages fertile
et des forets le fascine. Chaque recoin d'ombre et
chaque colline laissent découvrir des lacs et
rivières de toute grandeur. Le Père Sylvain se
laisse emporter par cette beauté, pour lui c'est
un au revoir. Une grande étendu d'eau intrigue
le petit garçon qui s'écrit à haute voix,
- Maman, c'est la mer que l'on voie là-bas ?
Une main féminine lui fait signe que nous. Ce
petit garçon ne cessa d'observer les alentours.
Je fais travailler mes pensées sans arriver à trouver un
sel signe banal. Je ma dis que le vide d'expression dans
ce compartiment qui me linguistes. Une personne doit
faire la premier pas, je ne tarde pas et questionne ce
petit garçon d'un air soulagé,
- Dis-moi quel âge as-tu ?
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Cette phrase ne persuada ce dernier à répondre. Sonstructuralisme fait briller ses yeux que je fixe
vaillamment. Son visage se transforme pour faire
naître un sourie amical. Ce mode de correspondance
associe nos deux mondes dans une onde amicale. Voila
un contrasse qui navigue entre deux eaux. Cette
alternance ne provoque la moindre parole, je garde
que le souvenir de ce garçon du voyage vers Paris.
Un taxi m'a emmené à l'aéroport vers le soir avec
mes bagages. Je me place sur un banc, pour y
passer la nuit.
C' est au matin, je percevoir les ordres à suivre et
toutes les précisions venant du Canada.
Dans ce hall la température est supportable, je
plonge dans une sieste mérité. Au réveille de
nombreuses personnes sont présente pour
embarquer vers la même destination. cette présence
me soulage, je confis mes valises à la compagnie qui
s'occupe de la destination. Mon impatience me
nargue, ce n'est qu'a 19 heures 50 que l'avion
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décolle. C'est mon premier envole, la peur de faireun faux pas m'oblige à demander protection a Dieu.
Le vol
Me voilà au-dessus des nuages, dans un habitacle
pas trop grand, et vibrant. Un hublot me permet
d'apercevoir une immense étendu d'eau . De
temps à autre un minuscule navire trace une
route bien droite. Des trous d'air, nombreux,
font vibrer l'avion qui subitement se laisse
tomber de quelques mètres. Cette dévaluation rapide
me fait remonter le coeur qu'enlace des petits
malaises pas très réconfortants surtout quant je vois
les ailes se déformer; j'ai l'impression que les ailes
sont sur le point de céder a chaque trou d'air. Ma
peur rendit ce vol interminable par mon angoisse.
Enfin je me laisse entraîner dans un sommeil
profond.
Mon aventure dans les airs se termine sur le
grand aéroport de la ville de Quebec. Ouf, je sens
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un renouveau de liberté qui signe à merveille mavocation.
Comme convenu, l'on m’accueille par une
coordination parfaite. Je poursuis mon cycle
avec l'aide d'un Frère qui me guide pour les
démarches à entreprendre. On retrouve un port
où un navire me prit en charge. Je remonte le
Fleuve Saint Laurent pour rejoindre l'Océan
Atlantique Nord en direction du Groenland pour
retrouver Narsarmijit. Le déroulement de mon
aventure commence.
Par le pont supérieur, je vois s'éloigner la terre
ferme. A partir de ce moment là, le gout de mes
engagements éveilla mes pensées. J'ai
l'impression que je suis a la poursuite d'un trésor.
Avec l'équipage c'est agréable de naviguer et
d'échanger mes propos, religieux qu'ils acceptent
avec honneur durant les repas.
Cette navigation dure plusieurs journée, ce qui
cultive ma curiosité et mes connaissances des
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coutumes et des lieux. Je ne tarde à récolter unemultitude d'informations précieuses. Je conjugue
plusieurs versions par les marins qui résument
leur impressions selon des critères communs.
Les capitaines ont d'autres expressions,
croiseraient ils des personnes plus éduqué ?
Ce panache de réflexions m’entraîne vers des
attentions d'incertitudes . Sur certaine descriptions
les croyance Chrétienne laissent à désirer. Il y a
du travail pour tout remettre en place.
Je compte sur Dieu pour qu'il me guide dans
mes prêches et mes sermons.
Le navire mouille son ancre à trois cent mètres
de la terre ferme. Le ciel est bleu et la journée
à 1 degrés. C'est la fin de l'été, déjà un vent frais
d'hiver caresse nos oreilles. De gros classons
cognent a la coque du navire, lequel transmet des
craquements. Une myriade de poissons se déplace
autour de notre amarrage, feraient t'ils une fête
pour mon arrivé ? Une petite embarcation est
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descendu du navire pour décharger les paquetsdestinées aux habitants de Narsarmijit.
J'accompagne le premier déchargement et trouve
le ponton de débarquement. En accostant de
nombreuses personnes viennent à notre rencontre
Je prête attention à cet attroupement et me dis
que ma venue est honorée.
Ce fut un personnage de petites tailles, habillées
de vêtements en peau, qui me recevoir. Les autres
personnes attendent impatiemment leur colis sur
le quai de rocher. La barque heurte puis tangue
dangereusement. Une main ferme m'est tendue, je
l’agrippe pour atténuer le balancement. Je remercie
cet aimable personnage par un sourie et un grand,
- Merci.
Le visage de cette personne n'a pas de signe amical,
il me regarde d'un air étonné. Ses mains ainsi que
son visage sont dorée par les rayons du soleil. Cette
couleur donne un air particulier car ses yeux
paraissent petits avec ses gros sourcilles. Ses
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cheveux, brin foncée, ne sont pas coiffés, éparpilléen bataille ils ont l'air sale bien qu'ils brillent. Une
odeur d'huile de phoque laisse a pensées que les
cheveux en sont imbibé. Ses dents jaunâtres semblent
entartrées.
Je tente de sortir de la barque et la fait tanguer
dangereusement. Cette homme trapu plus petit que
moi me rattrape et me guide pour que je puisse
toucher la terre ferme. Me voilà à terre, je retrouve
mon équilibre.
Mes bagages me suivent sur cette rive caillouteuses.
Je salue les personnes qui se trouvent autour de moi
une après l'autre, je suis la personne qui m'eut tendu
la main.
Nous parcourront un chemin entouré de rocher sans
apercevoir d'habitation, je questionne mon guide,
- Pardon mon fils, je suis Père Sylvain, où sont les
habitations ?
Son visage se tourne vers moi, aucun ton ne tranche
le bruit de mes pas. Je tente de deviner une ombre
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dans mes pensées sur la forme des maisons ? Unevoix profonde et orgueilleuse dit,
- Je ne suis pas ton fils, je suis Moaki, Martin pour
les Européens, ce n'est pas ta barbichette qui te
donne le droits de m'appeler mon fils.
Suite a cette réponse je me rendis compte que je dois
interpréter mes questions d'une autre manière. Sa
réponse demande que mon interprétation lui donne
l'avantage.
- Je te donne un âge plus jeune que le mien.
- Là tu te trompes, je suis plus vieux que toi.
Zut, je viens de commettre une seconde mal
interprétation. Certainement que le plus âgé d'entre
eux répond pour tout le village. Je manque de savoir
vivre, je lui répond,
- Je reconnais mon erreur mais tu parais plus jeune
que moi.
- C'est gentil de ta part, mais toi tu n'a pas de mérite
de porter un poil de renard grisâtre cela ne te vas
pas.
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Voilà qu'une partie de moi-même devient encombrant,je pense même un obstacle pour une éventuelle
poursuite de contact avec ces gens.
- Je reconnais mon erreur mais tu parais plus jeune
que moi.
- C'est gentil de ta part mais toi tu n'as pas de mérite
de porter un poil de renard grisâtre cela ne te vas
pas.
Voilà qu'une partie de moi-même devient encombrant.
Je pense même un obstacle pour une éventuelle
poursuite de contact avec ces gens.
- Je suis prêt a enlever cette barbichette pour me
mettre en confiance.
- Je préfère car personne ici ne porte une barbichette.
Retiens cela et tout le monde te respectera.
Notre parcoure est instable car de grosses pierres
coupante nous déstabilisent. Une longue file de
personnes se forme, ce sont tout ceux qui venu à
l'accostage du bateau, portant les sacs et paquets de
ravitaillement et de matérielles.
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Quelques maisons de bois de couleur vive apparaissentdans un alignement militaire. Le village est placé dans
une cuvette a l’abri des intempéries. Je crois comprendre
leurs intentions de retrouver parmi les couleurs la joie
qui valorise leur habitation. Je me mets à compter les
habitations et arrive à 20 maisons conçue de même
grandeur mais de couleurs différente plus une église
qui laisse son cloché dépasser du centre du village.
Notre entrée est accueillie par une ribambelle d'enfants
courant par ci et là. Des chiens de traîneau attaché
a une chaîne, courent autour de leur tuteur, un morceau
de bois planté en pleine terre. Avec cette attroupement
un véritable tintamarre nous entoure. Une odeur de
poisson séché vient effleurer mon odorat. Notre
démarche est sécurisé car cette rue empierré de petit
galets ressemble a une avenu, chique.
Je ressens une immense joie, telle un conquérant au
moment de sa victoire. Mon avenir se trouve sur une
bonne voie.
Je poursuis ma découverte en suivant Martin comme
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une petit chien. Je ne lui pose de question de peur del'importuner.
Nous arrivons devant la grande porte de l'église, et
me garde de parler. Martin dit,
- C'est l'église Père Sylvain, celle qui vous revient.
Mon soulagement d'être arrivé me redonna du
courage et de l'ambition. Je fis un signe de croix et
une prière devant cette acquisition pour remercier
Dieu, puis,
- Merci Martin je suis maintenant chez moi prés du
Seigneur.
Martin entra et se dirigea vers la corde du cloché
qu'il actionna pour que tout le monde puisse
connaître mon arrivé. Je visite cette demeure et me
rend compte que tous est intacte et bien entretenue.
Je me place devant la croix et refait une prière
dans la maison de Dieu.
SUITE 2/8
ÊTRE POUR PARAÎTRE
le roman est en cour de construction des
modifications peuvent suivre ou changer
merci de votre compréhensions. J'écrit
pour le plaisir de partager, si un
éditeur veut éditer mes écrits je n 'ai
rien contre mais a compte d’éditeur
pas a ma charge .
Écrit le 09 10 2017 mis a jour le 28 02 2019Toutes personnes pouvant donner des
ides sont les bien venu. Merci
JEAN JACQUES MUTZ.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
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