lundi 16 octobre 2023

Suite roman 5/8 ( Direction Banquise Groenland )

mirage au dessus des nuages sages n 3
suite Direction banquise Groenland 5/8

Les romans sont des fictions











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LA MULTIPLICATION DE POISSON ET DU PAIN

Toutes les personnes présentes ont écouté le chapitre avec 
respect. Cette attention de leur part crée en moi un 
bonheur que seule une victoire peu produire, j'en suis fière.
Dans mes doutes ne trotte plus d'ombre contradictoire, une
lumière guide mes intentions comme par enchantement. Bien
sur que j'avais le tract au départ, ça a passé maintenant, 
j'ai touché leur âme en leur lissant la saint lecture. Ce 
résultat me donne une force hors du commun, merci mon
Dieu de m'avoir fait part de ce pouvoir. Le jeune Mouki 
me demande
-   Pour quelle raison le pain se multiplie Père Sylvain et
    quelle est sa composition ?
-   Le pain c'est de la farine de blé qui mélangé à de l'eau, 
    un peu de sel et de la levure gonfle pour devenir une
     miche que l'on appelle du pain. Selon la couleur de 
     celui-ci la cuisson est parfaite.

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Cette nuit-là je remercie Dieu plus d'une fois. Mes habitudes
laissent à l'oubli une masse vivante, le rat. Mais pour quelle 
raison ne vient-il plus a mes pieds ? Cette réponse m'importe
peu, j'ai en compensation récolté la croyance de tout un 
village.
Le matin mes habitudes ne sont bouleversé par aucune 
mésaventure. Les enfants viennent apprendre leurs leçons
et les hommes sont partie à la chasse. Les femmes travaillent
dans leur habitation. Le hurlement des chiens se laisse 
emporter par le vent froid pour résonner dans les fjords.
Il est 17 heures me voilà devant mon porte émetteur radio.
Les nouvelles me fond comprendre qu'il est impossible de
nous livrer car le vent reste maître de la situation par sa 
violence. Nous devons élaborer un plan de regroupement
pour pouvoir nous chauffer ensemble dans l'église. On peut
économiser du bois de chauffage. Je fais part de cette formule
a tout le village qui accepte la proposition.
A dix-huit heures toute la tribut d'Inuits se trouve dans 
l'église. Cette présence me donne un comportement 
triomphateur. J'en suis ému. Je suis parvenu à accomplir

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ce que celui qui ma présidée n'eut réussit.
La messe débute comme je l'ai toujours faite avec un 
chant de remerciement et une prière. Je site un passage
de la bible où toutes les personnes pardonnent a d'autres
ce qu'ils ont commis de mal mais aussi un remerciement
pour ce qu'ils ont fait de bien. Dans ce passage là je cite
le nom de ce village et de ses habitants. A la fin de la messe
je les remercie grandement pour leur présence et distribue 
du pain fraîchement cuite dans le four pendant le sacrement.
Je leur parle de ce que l'avenir nous réservera dans les 
prochains temps et qui le regroupement dans l'église sera 
la solution pour économiser du bois car le ferry a du mal
a nous livrer, la mer est de glace. Le vent violant empêche 
la venu de l'avion .
Personne ne contredit ma proposition à part une personne
Moyaki qui se lève au fond pour me faire cette remarque.
-   Le malheur se trouve parmi nous, il nous porte de 
     nouveau la même rancune comme il y a quelques 
     années. Sa première remarque est que peu de bois a
     pu être ramassé, la seconde c'est ce vent  froid qui nous

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      fragilise . Moi je ne vois qu'une solution, faire une 
      offrande a la mer.
Sur cette réflexion ce petit homme, hérissé de poiles de 
renard blanc quitte rapidement sa place. Il ne désire 
continuer d'écouter mes propositions ni l'accord de 
l'ensemble du village. Sa mauvaise humeur en est pour
quelque chose car la porte de l'église vibre sous les 
claquements violant de cette énergumène. La réaction
qu'il entreprend creuse en moi une déception, je dis même
une peur que remarque entraîne une discorde dans notre 
entourage. Je dois rapidement rétablir la barre pour 
atténuer la population . Je m'exprime ainsi,
-    Mes chères fidèles, je suis ravi de votre présence
      dans cette église. Se retrouver c'est vouloir partager 
        son propre bonheur avec autrui. Certaines personnes
      évoquent dans leur parole un mot sens valeur aux yeux 
      de  notre communauté, le malheur. Avec la coordination
      de nous tous, notre volonté surpassera les épreuves 
       aussi bien que la peur. Justement, venons en a cette 
      révolte, c'est tout simplement la crainte qui l'enivre. Il ne

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      sait sur qui compter ni avec qui reposera se mal profond.
      Il exclame cette faiblesse par des mots sans valeur. 
      Réfléchissons ensemble sur ce qui l'intrique pour lui venir
      en aide. Je vous propose de nous regrouper tous les soirs
      à la même heure dans votre église. Comme c'est le 
      bâtiment qui possède le plus de surface il est sage de
      vivre ensemble durant cette période.
l'ensemble de mes fidèles restent sans parole contradictoire
tous se fit à mon raisonnement. Ma prêche porte ses fruits 
car je n'ai pas tort. Rien que se retrouver ensemble dans 
l'église réchauffe nos coeurs et notre réconfort. Je suis 
personnellement envahie par ce phénomène.
-    A par la personne qui nous a quitté, tout le village set-il
      présent ?
c'est pour le comptage de la population que je dis cela.
-    Oui Père Sylvain tout le monde est là.
C'est une personne du premier rang qui me fait part, je 
 compte et trouve 63 personnes. L'église n'est
pas pleine.
-   Vous pouvez vous installer, cherchez-vous affaires. 

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Le jeune Mika vient près de moi pour me dire,
-    Père Sylvain je peux dormir à coté du poste radio 
     émetteur  ?
-    Bien entendu tu peux occuper cette place-là.
L'église se vide et quelques minutes plus tard  toute la 
population est revenu.

Cela fait bien deux semaines que notre cohabitation
forme un groupe homogène. Je fais tous les matins 
cuire le pain dans la cuisinière , son odeur nous enivre 
a telle point que les villageois raffolent d'un morceau de 
cette grande miche partagé avec bonheur. De cette 
routine toutes les personnes participent à la coordination
de nos engagements, même Moyaki la personne qui nous
 eut fait une opposition.
La météo reste endurcie par cette tempête de vent qui 
gèle tout sur son passage. Très borné, Moyaki ne 
se laissa intimité par ce froid et partie à la pêche 
comme de coutume. Mes cours d'écriture l'intriquaient.
Les chiens de traîneaux sont revenu sent leur maître. Un

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groupe tenta de le retrouver dans ce blizzard. Arrivé sur 
l'endroit de sa pêche ils ne retrouvaient que quelques 
morceau de son attirail,et relevèrent des traces d'ourses
 blanc qui l'eurent agressé.
 La tristesse enveloppa les villageois et à leur demande 
je fis une messe a sa mémoire. 
Comme le bois manque, nous décidions de démonter la 
remise en bois du disparu pour en faire du feu. On fit 
de même avec les réserves de poissons séché que sa 
famille nous rapporte. Nos réserves diminuaient 
rapidement car les ourses venaient se servir.
      Je fis part de cette attention a la station 
Alizé qui me dis que tout est prêt pour l'avion mais la
tempête nous bloque. Plusieurs vaillant chasseurs sont
partie à la chasse et la pêche, ils ne devaient pas 
dépasser une heure définie et revenir a l'église. Malgré
notre sécurité, l'ourse fit disparaître des chasseurs. A 
ce jour nous ne somme plus que 22 femmes, 23 enfants
et 10 hommes chasseurs. Je me suis pas compté.
Le soir a 17 heures je fait mon exposé  sur la situation 

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critique qui nous entoure.
-   Station Alizé, nous ne somme plus que 22 femmes, 23
     enfants et 10 chasseurs.
-   De quoi sont ils mort ? 
-   D'une ourse qui les a agressé, on ne sais pas ci elle a
     agit seule ou a plusieurs. Car malgré les fusilles les
     chasseurs ont été pris par surprise.
Cette phrase là trotte dans ma tête, a quoi bon implorer
la radio, rien ni fait la patience est notre seul espoir. Une 
jeune femme pleure depuis un bout de temps, son unique
enfant de deux ans vient de mourir. Nous voilà plus que 
54 personnes. Il fait du moins 40 et le vent continue de 
tout bouleverser.  Je prie pour les disparues et compati 
sa double peine car son compagnon a disparue avec les
chausseurs. J'ai une envie de pouvoir lui venir en aide et
me rendre utile mais rencontre un mur infranchissable de 
la chasteté d'un missionnaire promettre fidélité a Dieu.
Je décide de devenir a mon tour un chasseur car 
multiplier le pain ne suffit pas il faut aussi multiplier le
poisson. Devoir tuer pour survire, je demande parton a

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Dieu.  Je propose ma candidature pour la prochaine 
sortie de chasse en emportant nos fusils. Le jeune Mika
fait partie du groupe. Ce vent froid tétanise nos mains 
dans nos moufles de peaux, on a du mal d'atteler les 
chiens aux traîneaux. Les moins 40 degrés sont atteint,
mes pieds sont comme raide. J'ai l'impression qu'ils ne
sont plus présents. Le peu de peau visible est gelée et 
mes narines sont collées. Mes accompagnateurs frappent
leur corps pour faire circuler le sang. Nous décidons de 
se diriger vers la mer en se laissant glisser sur la surface
gelée dans les fjords. Le vent violant ne cesse de nous 
enlacer. L’ensemble du groupe fut relié par des cordes
une sécurité qui permet de nous sentir assisté. Le but de
notre expédition est de trouver du phoque car les visites
des ourses sur nos réserves de poisson ont cessé ce qui 
indique la venu la venu des phoques. Mon impatience 
est traître, je ne mérite le titre de chasseur. Il me tarde a 
rebrousser chemin. La nature à ses caprices , il eut 
façonné des monticules de glace qui ressemble à des 
œuvres d'art . Le tournoiement du vent eut provoqué

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des cristaux qui agglutiné font travailler notre 
imagination. Mon hallucination doit certainement 
provenir de mon manque de vitamine. Serais se le
diable qui me joue des tours ? Je le crois bien. Un 
chasseur me fait des signes avec ses bras, pour quelle
raison ne parle-t-il pas ? J'ai envie de le questionner
sur ses gestes en criant for pour me faire comprendre
mais, la valeur du silence tient la raison des gestes.
Moaki empoigne son fusil, je me garde de parler et
dirige mon regard dans la direction qu'est pointée son
arme. Rien ne dévisage un animal, tout me parait 
uniforme. Le claquement sec du fusil fait soulever un
monticule grisâtre. Du sang jaillit de cette masse en 
s'écoulant le long de ce tas de victuailles. Une force
nouvelle transforme nos vies car en un rien de temps
nous voilà près de cet animal qui suffoque dans un 
râle continu. Un chasseur tire un nouveau coup de feu
la détonation résonne dans le fjords. Certains
phoques plongent dans la mer et d'autres n'y prêtent 
attention. Les chasseurs sortent de leur étuis de long

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couteaux, sans tarder ils lacèrent cette masse de 
viande chaude. Une sorte de vapeur s'en échappe. La
viande est rouge sang. Je suppose qu'il y a une bonne
demie tonne de viande de quoi nourrir pendant 
quelques jours notre communauté. D'après moi cet
éléphant de mer est un spécimen remarquable. Moaki
me regarde d'un air victorieux puis me tend un morceau
de cette viande fumante,
-   Manges Père Sylvain si tu veux vivre et vaincre ta 
     faim.
Je ne sus répondre et après avoir enlevé mes moufles de
peau, je prends se lambeau de chair, j'ouvre ma bouche
pour pouvoir mordre, mais les muscles de la mâchoire 
son endormir par le froid. A ce moment-là, les entrailles
de l'animal apparaissent et le coeur palpite encore 
comme les poumons. Suite au percement avec la pointe 
de couteau, un sifflement fait diminuer le volume d'air.
Cette vision transmet
le courage pour avaler une seule bouchée de cette pauvre
bête.

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-   Père Sylvain mange la viande aussi longtemps qu'elle
     est chaude.
Me fait comprendre le jeune Mika qui dit,
-   Il faut faire vite car on retourne sur nos pas, si tu ne 
    n'en mange pas ta force t'abandonnera.
Je me garde de répondre et avale une bouché de cette 
viande fumante. Effectivement se repas rempli le vide
de mon estomac. Je ne peux d'écrire un goût car elle 
a celui de la chaire et de poisson. En mordant du  
sang dégouline. Les autres entrailles sont distribuées
aux chiens qui se chamaillent pour obtenir une bouchée.
Les quartiers de viande sont répartie sur les traîneaux.
Nous reprenons la glisse a travers un épais brouillard qui
diminue notre visibilité. Je n'ai aucun reperd, sans la
corde qui nous attache je me serais égaré. C'est le chien 
de tête qui guide l'ensemble de l'équipage. Le retour me 
parut plus rapide, serai ce le fait de ne pas rentrer 
bredouilles ? 
Le déchargement se fait avec plus de difficulté, la viande
a gelé et c'est collé ensemble. Nos retrouvailles se passent

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comme une fête car tous l'ensemble de la tribut sourient 
de joie.
-   Père Sylvain a partir de maintenant le repas journalier
     est garantie.
-   Mais Mika cette viande ne suffira pas pour  terminer 
    l'hiver ?
-    Il y en aura d'autres phoques, car cet éléphant de mer
     est l'avant garde de la colonie.
Ce soir-là après la messe, une petite fête a lieu. Des danses
de joie enthousiasment le coeur de chacun d'entre nous. Je
suis le même comportement car une transformation se fait 
en moi. la jeune femme qui eut perdu son enfant et son mari
trouve dans mes paroles une source de réconfort et de 
consolation. Je reconnais que sa tristesse m'a bouleversé
profondément, mon instinct humain en tire des remords
pourtant je ne suis pas responsable de son malheur. Elle
me réserve un entourage continuelle. Sa tristesse a disparu
et son regard reste souriant, elle m'observe sans relâche. 
Je me laisse séduire par elle et répond par un sourire. Cette
action me rendit joyeux. Cette sensation inconnu a ce jour 

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me transforme, que m'arrive t'il ?  Je me plonge dans mes
pensées et récolte un doute sur ma vocation. Je ne suis
plus le même par plusieurs facteurs , le premier c'est 
d'avoir participé à la chasse et le second de me laisser
entraîner par le sourire d'une femme. Je crois que j'ai
pêché mon Dieu. Cette réflexion ne vient pas a bout de
mes intentions, le diable est sur le point de me guider 
vers une vision féminine ? Dois-je m'en méfier ? 
Une force guide mon subconscient et éloigne mon 
intention d'abandonner. La vision féminine empiète mes
intentions. Je ne trouve pas de contre courant qui évite 
son regard ni même son frottement continuel. Je me
rappelle du discoure qu'un prêtre eut fait au séminaire,
-   Méfiez-vous des femmes elles ont le diable dans leur
     sang et arrive par une ruse quelconque à vous 
     détourner de votre droit chemin.
Il doit avoir raison, mais de là a suivre ses indications
laissent mes intentions pervers. Des danses suivent et
l'accompagnement d'ustensiles de cuisine donna le la
de cette ritournelle. Mais, dans le poste émetteur je peux

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trouver de la musique ? 
A peine me suis-je placé devant le poste qu'une foule de
petit curieux m'entourent. Je trifouille sur les touches
et fois promener les aiguilles du  cadran. Un mélange 
de sons de grincements et de sifflement étourdi nos 
oreilles. Puis suit un ensemble de musique nous entraîne
dans des rythmes endoctrinant. Cette église est devenu
un lieu festif, une salle de fête.
Le temps est un ressort, une fois détendu il nous traîne 
vers le sommeil qui abaisse nos paupières. Je constate 
qu'une anomalie se passe dans le comportement des 
couples. Les couples changent de partenaire. La jeune 
Mayka a pris place sous la couverture en peau de mon 
lit. Elle a étalé ses vêtements sur un banc. Les enfants 
son endormis et de nombreux petits rire féminins se 
distinguent à plusieurs endroits de l'église. Mais que 
ce passe-t-il donc ? Je suis tout gêné sur leur 
comportement et trouve cela choquant. Ce qui me 
frappe le plus c'est qu'une occupe mon lit. D'une voix
timide je lance cette question,

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-   Mais que fais-tu là ?
Elle hoche ses épaules tous en me lançant un sourire
amical. N'a-t-elle pas comprit ce que je viens de lui 
demander ?
-    Mayka je dors toujours seul.
-    Il ne faut pas rester seul cela te donne froid, je
     suis là pour te réchauffer, tu es devenu un grand
     chasseur maintenant.
Que dois-je faire mon Dieu, cette remarque me 
trouble. Je ressens une honte, un complexe et bien
d'autres réactions inconnues à ce jour. Dans 
l'ensemble de l'église aucun luminaire n'est témoin
de nos agissements, le noir couvre tout évènement.
J'enlève mes habits que je place sur le coffre en bois
éloigné de mon lit. Mes yeux ont du mal à le 
distinguer. Dans les moments de mon déplacement 
mes pensées deviennent sombres et contradictoire.
J'hésite, dois-je me coucher dans mes couvertures
de peaux ? Et que dira plus tard mon parrain 
l'archevêque de mon diocèse ? Vis-a vis de notre

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Dieu je devient impure, renoncer c'est perdre la 
confiance que m'accorde les villageois. Il faut que
je suive mes intentions. Mon pied touche le bord 
du lit, il ne reste plus que, je me laisse entraîner et
soulève la couverture de peau pour découvrir la 
forme d'un corps de femme nue. Cette apparition 
me fait abaisser mes paupières, j'ai honte. Je me 
place dans la couverture en peau et rencontre une 
chaleur humaine et réconfortante. La largeur du
lit est telle qu'il reste peu de place pour deux 
personnes. Malgré cela le me garde de venir en 
contacte avec Mayka. Le sommeil n'a pas trouvé
preneur sur ma personne ni de Mayka. 
La chaleur humaine produit 5 degrés dans l'église
et a l'extérieure le blizzard souffle encore. Je 
rallume le fourneau pour cuire mon pain qui a 
gonflé dans la nuit. D'autres hommes sont réveillé
ils se lavent avec de l'eau non chauffé. Je regarde 
sur ma montre et remarque que la journée est bien
entamée. Cela ne m'est jamais arrivé, que s'est il

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passé ?
Il est 17 heures, le moment de contacter la station
Alizé. Je mets en fonction la radio émetteur prend 
mes écouteurs et change de place l'aiguille pour
me trouver sur la bonne longueur d'onde.
-   Station Alizé m'entendez vous, Station Alizé 
    m'entendez vous, ici Station Sylvain.
-   La station Alizé vous reçois 5 sur 5, avez vous
    de bonne nouvelle ?
-   Après une bonne chasse tout le monde est 
    revenu, il n'y eut pas d'agression d'ourse. On
    a fais une bonne chasse.
-   Station Sylvain avez-vous rencontré des 
    éléphants de mer ?
-    Station Alizé nous venons d'en tuer un, il fut
     temps car les victuailles venaient a manquer.
-    Station Sylvain, avec la venue des éléphants
      de mer, la météo va s'arranger, nous allons 
      livrer votre demande par avion.
-     Station Sylvain nous avons repère des 

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       chasseurs de baleines sur notre radar, ils
      naviguent sous le pavions Européens.
A coté de moi le jeune Mika écoute attentivement
notre discutions, je n'ai plus à résumer ma 
correspondance et lui pose ,
-   Mika que dis tu de tous cela ?
-    La vie va reprendre comme dans le passé, le 
     débâcle cédera la place a l'été et notre joie 
     aussi.
-    Qu'entends-tu par la joie aussi ?
-     Les gros navires de pêche n'appareillent pas
     loin de notre village , nous leur rendrons 
     visite avec nos kayaks et nous recevrons de
     nombreux cadeaux.
-    Pour quelle raison t'apportent-ils des cadeaux ?
-    Ci leur présence se fait par ici c'est que la vie
      reprend dans la mer. La pêche a la baleines reprend
      et des colonie de phoques s'installeront vers le 
      sud de notre crique. De la viande fraîche a volonté.
Les explications éclairent certain de mes doutes, je 

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garde une méfiance sur l'arrivée des navires de pêche et
me demande, que vont nous t ils nous réserver ? Les 
nouvelles vont vite, car en un rien de temps toute la 
tribut se réjouit de l'arrivée des navires de pêche.
A la messe du soir, le silence n'est plus une coutume, les
femmes se sont regroupé dans une partie de l'église, et 
les enfants au centre et les hommes dans un autre coin 
sur la droite. Des chuchotements coupent l'importance 
de mes prêches. Je me tourne vers ces fidèles en chahut.
-   Chères frères et chère sœur, de bonne nouvelles sont
     proche du village. Grâce a notre patience l'avenir 
     nous réserve une victoire, celle d'entamer une suite
     de réussite. Pour le moment le vent ne s'est pas encore
     éloigné ni le froid. Que Dieu nous protège tous.
Lorsque mon discoure se termine un vrai remua ménage 
se fait. Les personnes discutent a haute voix.




    

suite au 6/8





Auteur, Jean Jacques Mutz écrivain amateur

le roman est en cour de construction des changements 

peuvent suivre.

A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
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