mirage au dessus des nuages sages n 3
Les romans sont de la fiction
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suite 3/8 direction banquise Groenland
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Je n'ai pas envie de parler beaucoup, cette voix
venue d'ailleurs devint une habitude. Je suis sur le
chemin par lequel j'arriverai à persuader cette tribu
d'induits.je pars manger, la faim devint une besoin.
les trois compagnons sont partie.
venue d'ailleurs devint une habitude. Je suis sur le
chemin par lequel j'arriverai à persuader cette tribu
d'induits.je pars manger, la faim devint une besoin.
les trois compagnons sont partie.
19 heures, ma messe commence, comme d'habitude
personne, je suis seul. Ce soir -là je regarde la
statue du phoque sculpté dans la roche et m'endors
sur le banc de l'église. Le sommeil devint maître de
mon bien être, ainsi que de mes pensées.
statue du phoque sculpté dans la roche et m'endors
sur le banc de l'église. Le sommeil devint maître de
mon bien être, ainsi que de mes pensées.
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Je me réveille en sursaut et regarde l'heure, il est 8
heures passé. Comment est-ce possible ? Je sorte de
l'église en courant. Un vent glacial m'oblige à
retourner sur mes pas. La vérité est là, cet homme
eut raison. Je retourne a la plage, plus de bois, les
vagues ne caressent plus les rochers de la plage. Le
bien-être de l'été sens est allé.
dans cette région le froid en est propriétaire car du
jour au lendemain le vent domine. Dans la remise de
l'église il reste encore beaucoup de place pour du bois
de chauffage. Je questionne mon imagination, puis
calcule la consommation éventuelle pour passer les 7
mois de froid. Mon stock ne suffira que 3 mois.
Que vais-je faire par la suite ? Attendons, restons
philosophe sur mon avenir.
Que vais-je faire par la suite ? Attendons, restons
philosophe sur mon avenir.
Cette première journée de froid étonne mon
comportement car je reste confiné dans l'église.
De temps a autre je met mon nez à l'extérieure et ne
rencontre que du gris; le vide absolu, la désolation,
le bruit du sifflement du vent et aussi un ciel nacre.
admirer cette étendu mouvementé, que le vent fait
danser. Sa puissance traverse mes vêtements, je
quitte cet endroit et retrouve mon seul lieu de
consolation .
De temps a autre je met mon nez à l'extérieure et ne
rencontre que du gris; le vide absolu, la désolation,
le bruit du sifflement du vent et aussi un ciel nacre.
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Je pris le courage de me traîner vers le rivage pouradmirer cette étendu mouvementé, que le vent fait
danser. Sa puissance traverse mes vêtements, je
quitte cet endroit et retrouve mon seul lieu de
consolation .
17 heures le moment des retrouvailles avec mon
interlocuteur me réconfortera. Hélas , pas de bruit
quelconque, certainement que la puissance de ce vent
en est la raison. La tombé de la nuit fut rapide. Ma
lanterne m'éclaire depuis un bon moment ma table où
je mange après la messe. Je réfléchi un moment et me
plonge dans la lecture de la bible mon seul repaire
pour l'isolement. Il faut dormir Sylvain me souffle mes
pensées
Cela fait 5 jours que la situation reste stable, pas de
correspondant, cela m'effraie énormément. Au 6 ème
jours je découvre un silence réconfortant. Le vent a
terminée sont sifflement, la mer c'est calmé mais un
tapie blanc recouvre l'entourage. lorsque l'on marche
le sol craque comme du verre, je pense que le grand
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hiver est là. Dans ma promenade matinal je rencontre
le tailleur de pierre qui martèle son outil. Je me dirige
vers lui et le regarde travailler. Mon arrivé ne
l'impressionne pas.
- Bonjour Moyaki
- Bonjour Sylvain
- Où es-tu passé ces jours si ?
- Mika et moi ont a préparé la venue de notre tribut.
- Ils arrivent quand ?
- Ce soir.
- Mais qu'as tu préparé ?
- Il fallut ranger le poisson séché et reconstruire la
grotte de réserve qui servira à garder la viande
pour l'hiver.
- Que fais tu là dans cette grosse pierre et que
représente cette figure qui prend forme ?
- Elle représente le visage du bonheur le corps de la
réussite.
- c'est pour l'offrir au Dieu de la mer pour que notre
avenir soit fructueux.
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Je me tu car moi il n'y a qu'un Dieu. Évitons la défaite
je m'abstiens de le questionner et de donner une réponse.
- Le vent a fini de souffler, il était temps Moaki.
- Le vent a fait son devoir sans lui il n'y a pas de
changement il faut connaître son comportement
alors tu connaîtras la suite des événements.
- Quelle sont les suites des événements ?
- Il n'y a que les chasseurs et pêcheurs qui ont le
droit de connaître les réponses, toi, tu n'es pas
un chasseur.
Ma curiosité a été coupé net, serai-je sur le point de le
provoquer ? De quoi pourrais-je parler ? Je me baisse
pour admirer cette figure qui ressemble à un visage
futuriste. Ses proposions sont irrégulière ce qui donne
a cette masse des valeurs surréaliste. L'habileté
artisanal signe du plus grand sculpteur réaliste. Il faut
savoir qu'avec cet outillage de fortune peu de gens
pourrait en faire autant.
- C'est magnifique Moyaki.
- Ce n'est pas beau du tout, cela représente un
mer qu'il ne mérite pas plus.
Cette réponse demande une question, j'hésite car ma
curiosité est ombrageuse, je risque de l'importuner à
nouveau. Je me lève de mon emplacement et m'apprête
à partir,
- Où vas-tu Sylvain, veux-tu me quitter ?
- Je n'ai pas l'intention de t'importuner tu risques de
manquer d'inspiration.
- Tu m'as demandé une main et un doigt de question,
tu me dois une main et un doigt.
Si j'ai compris il faut que je lui redonne la politesse en
répondant au même nombre de question qu'il va me
poser.
- Toi Sylvain qu'as-tu fait pendant ces jours de vent ?
- J'ai fait des calcules pour savoir combien de temps
la réserve de bois va tenir, ensuite j'ai réparé la corde
de la cloche.
- C'est pour cette raison que tu as compté le bois ?
- Je veux savoir s'il me suffira pour passer l'hiver.
deux doigts de réponse avant que tu pars.
Me voilà forcé à attendre que cet homme veut me
poser des questions. Je garde mon calme et le regarde
faire. La précision de ses gestes sont remarquable.
Cela fait dix minutes qu'aucune voix ne s'échange. Je
reste planté là par obligation. Le regard de Moyaki reste
fixé sur la pierre qu'il taille.
- Bientôt ma tribu sera de retour.
- J'espère qu'ils ont fait une bonne pêche et chasse
Moaki.
- Je l'espère aussi.
Le silence se fait à nouveau, cinq minutes passent.
- Tu es patient Sylvain, tu seras un bon chasseur.
- Merci Moyaki.
- Tu as froid ?
- Non .
- tu veux retourner dans l'église ?
- Pas tout de suite.
- Tu peux si tu veux.
intelligence.
Le reste prêt de lui une bonne dizaine de minutes.
- Tu sais Moyaki, t'ont travail est d'une finesse
particulière, il faut que je te quitte, merci pour
m'avoir écouté.
- Tu es libre et tu peux partir quand tu le désire.
Je le quitte avec plaisir car mes pieds sont gelées et le
restant du corps aussi. Comment cet homme peut-il
résister au froid en restant assis sur un rocher ? Je ne
trouve de réponse mais garde au fond de moi une
leçon à laquelle je dois a l'avenir faire attention de
ne poser que des questions utile.
Pendant le retour vers l'église j'ai fait travailler mes
doutes et récolte des suppositions que j'ai retenu. Je
me dis que c'est une mise à l'épreuve pour connaître
mon endurance physique . Il voulu me faire
comprendre que ma curiosité ne porte des fruits,
ils se peut qu'il désire faire de moi un futur chasseur.
Il est 16 heures, la tribut arrive dans le village.
venu chasse la nostalgie, ma satisfaction est profonde.
Le suis prêt à convaincre cette foule de voyageur.
La fierté d'admirer leur arrivé me donne un esprit de
dominateur. Les visages marquent la fatigue, les
chiens écument d'épuisement et les enfants sont resté
vaillant. A peine ont-il posé leur pieds au village que
leur enthousiasme actif, fait courir les enfants dans
tous les sens. Le froid ne leur fait pas peur, je regarde
sur la montre, il est 17 heures. Je retrouve la radio
émetteur.
- Ici station Sylvain vous me recevez, ici station
Sylvain vous me recevez ?
Plusieurs tentatives sont nécessaires, au bout de la
dixième j'obtiens la station Alizé.
- Ici station Alizé, ici station Alizé je vous capte 5
sur 5.
- Ici station Sylvain, ici station Sylvain je vous
reçois 5 sur 5.
- Les Inuit sont-ils de retour station Sylvain ?
bonne heure.
- Sont-ils au complet, sont-ils au complet ?
- Je ne sais pas, je ne sais pas, leur nombre m'est
inconnu.
- La météo annonce de la neige abondante pour
ce soir, la venue de l'hiver. La tempête vous a-t-elle
posé des problèmes ?
- Un peu de nostalgie, je n'ai pas l'habitude de me
retrouver presque seul.
- Station Sylvain avez -vous assez de victuailles et de
bois pour vous chauffer ?
- Les victuailles me suffisent pour deux mois et les
réserves de bois pour trois mois.
- J'envisage de vous livrer avec le prochain ferry des
réserves. Y a-t-il autre chose ?
- j'aimerais des montres pour leur apprendre l'heure
et des lunettes de soleil, la neige réverbère de trots les
rayons. Merci station Alizé.
- A bientôt station Sylvain.
dans mes oreilles. Je coupe l'appareil et retrouve les
habitants du village. Je remarque que les habitants
déchargent et rangent des poissons et des morceaux de
phoques dans leurs réserves. Leur instinct est prédicateur,
ils savent quand commence la venue de la neige.
A l'heure de la messe l'Église reste vide, comme les autres
fois, je me garde d'y prêter attention. Je me rapproche de
mon compagnon qui me retrouve la nuit, le rat. Je me dis
que j'ai plus de chance avec les animaux qu'avec les
humains et regarde la statue du phoque.
La profondeur d'une nuit silencieuse plonge les humains
dans une déconnections total, un besoin qui remet a
l'heure l'actuelle et une journée de labeur.
Au petit matin, une épaisse couche de neige s'est rajouté.
Je m'enfonce jusqu'aux genoux. Les chiens dorment dans
la neige, certains se regroupent enroulé l'un contre l'autre.
Aucun être vivant n'est visible. Pas une fumée se sort des
cheminées. Le seul bruit qui m'entoure est l'aboiement
des chiens qui résonne. Je retourne dans l'église pour
un chemin devant ma porte. C'est avec ma planche a
manche que je fais temps bien que mal un passage.
le labeur a duré plus d'une heure. Le crie des enfants
résonne, la vie active reprit. Les enfants me regardent
faire et m'observe silencieusement. Je découvre une
manière d'attribuer leur attention. A la fin de mon
travaille je leur forme de grosse boules de neige que
j'empile pour en faire des bonshommes. En un rien de
temps ils m'imitent. Je les laisse faire et les observe à
mon tour. Avec des boules de neige ils en font un igloo.
Je suis émerveillé par cet abri. le temps passa vite je
regarde sur ma montre, midi passé. Je dois me faire à
manger. Je quitte les enfants et remarque que leurs
parents préparent des attelages de chiens.
certainement qu'ils partent à la chasse ou a la pêche.
Je leur attribue un salut mais aucun retour ne vient.
Je ne prêtre une attention et fait comme si ce fut
normal. Le vas et vient de cette tribut d'Inuits
transforme la paisibilité des jours passé. Avec une
volontaires pour la messe du soir ?
Après mon repos de midi je sors et remarque que la
vie active n'a pas cessés malgré le froid et la neige qui
nous domine. Devant les habitations les femmes ont
étalé de nombreuses peaux
petit grain de sel. Devant une autre habitation rouge,
ce sont des poissons que l'on transperce avec une lance
en bois pour les suspendre pour qu'ils sèchent aux
rayons du soleil. Devant la maison verte une autre
femme s'occupe de raccommoder des vêtements en peaux.
Je ne vois aucun homme qui leur donne un coup de
main. Je me garde de poser des questions et entreprend
à mon tour des réparations de l'église.
Les rayons du soleil font naître une chaleur
réconfortante mes yeux en sont ébloui. Ce que je suis
en train de faire leur paru curieux. La corvée est
réservé aux femmes, c'est pour cette raison que
j'attire leur attention. celles qui me rendent visite je
les accueille avec le sourire et une amitié sincère. Je
simplement par des actes.
Le temps passe et l'heure de contacter la station Alizé
m'oblige à quitter mes occupations.
le résumé de notre entretien donne les directives
suivantes, dans les 48 heures un réchauffement se fera.
Je retrouve ma chaise devant l'église, plus aucune
personne. Je suis déçu, une petite défaite me culpabilise,
qu'elle intention pourrait faire que je puisse les retenir ?
Il me vient une idée, et si je déplace les éléments
radiophonique vers l'entrée de l'église, tout le monde
pourrait écouter et communiquer avec la station Alizé.
Je remercie Dieu de me guider sur une bonne voie.
Rapidement je déplace la radiophonie vers
l'emplacement indiqué.
A la nuit dans mon lit je dormis seul, le rat ne vient pas.
Le lendemain matin un vent doux se ressentit. Les
prévisions de la station Alizé correspondent. Un
réchauffement est en cour et la mer rapporte du bois.
Sur les plages, les grondements de mes pas sur les
peur de réveiller du monde je retourne sur mon point
de départ. Les chiens attentif m'ont entendu et leur
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visage défiguré pour faire comprendre au Dieu de lamer qu'il ne mérite pas plus.
Cette réponse demande une question, j'hésite car ma
curiosité est ombrageuse, je risque de l'importuner à
nouveau. Je me lève de mon emplacement et m'apprête
à partir,
- Où vas-tu Sylvain, veux-tu me quitter ?
- Je n'ai pas l'intention de t'importuner tu risques de
manquer d'inspiration.
- Tu m'as demandé une main et un doigt de question,
tu me dois une main et un doigt.
Si j'ai compris il faut que je lui redonne la politesse en
répondant au même nombre de question qu'il va me
poser.
- Toi Sylvain qu'as-tu fait pendant ces jours de vent ?
- J'ai fait des calcules pour savoir combien de temps
la réserve de bois va tenir, ensuite j'ai réparé la corde
de la cloche.
- C'est pour cette raison que tu as compté le bois ?
- Je veux savoir s'il me suffira pour passer l'hiver.
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- Tu n'as pas fait grand-chose, tu me dois encoredeux doigts de réponse avant que tu pars.
Me voilà forcé à attendre que cet homme veut me
poser des questions. Je garde mon calme et le regarde
faire. La précision de ses gestes sont remarquable.
Cela fait dix minutes qu'aucune voix ne s'échange. Je
reste planté là par obligation. Le regard de Moyaki reste
fixé sur la pierre qu'il taille.
- Bientôt ma tribu sera de retour.
- J'espère qu'ils ont fait une bonne pêche et chasse
Moaki.
- Je l'espère aussi.
Le silence se fait à nouveau, cinq minutes passent.
- Tu es patient Sylvain, tu seras un bon chasseur.
- Merci Moyaki.
- Tu as froid ?
- Non .
- tu veux retourner dans l'église ?
- Pas tout de suite.
- Tu peux si tu veux.
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ce petit malin est en train de tester mes réactions et monintelligence.
Le reste prêt de lui une bonne dizaine de minutes.
- Tu sais Moyaki, t'ont travail est d'une finesse
particulière, il faut que je te quitte, merci pour
m'avoir écouté.
- Tu es libre et tu peux partir quand tu le désire.
Je le quitte avec plaisir car mes pieds sont gelées et le
restant du corps aussi. Comment cet homme peut-il
résister au froid en restant assis sur un rocher ? Je ne
trouve de réponse mais garde au fond de moi une
leçon à laquelle je dois a l'avenir faire attention de
ne poser que des questions utile.
Pendant le retour vers l'église j'ai fait travailler mes
doutes et récolte des suppositions que j'ai retenu. Je
me dis que c'est une mise à l'épreuve pour connaître
mon endurance physique . Il voulu me faire
comprendre que ma curiosité ne porte des fruits,
ils se peut qu'il désire faire de moi un futur chasseur.
Il est 16 heures, la tribut arrive dans le village.
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Les aboiements des chiens de traîneaux résonnent. Leurvenu chasse la nostalgie, ma satisfaction est profonde.
Le suis prêt à convaincre cette foule de voyageur.
La fierté d'admirer leur arrivé me donne un esprit de
dominateur. Les visages marquent la fatigue, les
chiens écument d'épuisement et les enfants sont resté
vaillant. A peine ont-il posé leur pieds au village que
leur enthousiasme actif, fait courir les enfants dans
tous les sens. Le froid ne leur fait pas peur, je regarde
sur la montre, il est 17 heures. Je retrouve la radio
émetteur.
- Ici station Sylvain vous me recevez, ici station
Sylvain vous me recevez ?
Plusieurs tentatives sont nécessaires, au bout de la
dixième j'obtiens la station Alizé.
- Ici station Alizé, ici station Alizé je vous capte 5
sur 5.
- Ici station Sylvain, ici station Sylvain je vous
reçois 5 sur 5.
- Les Inuit sont-ils de retour station Sylvain ?
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- Oui cela fait une bonne heure, oui cela fait unebonne heure.
- Sont-ils au complet, sont-ils au complet ?
- Je ne sais pas, je ne sais pas, leur nombre m'est
inconnu.
- La météo annonce de la neige abondante pour
ce soir, la venue de l'hiver. La tempête vous a-t-elle
posé des problèmes ?
- Un peu de nostalgie, je n'ai pas l'habitude de me
retrouver presque seul.
- Station Sylvain avez -vous assez de victuailles et de
bois pour vous chauffer ?
- Les victuailles me suffisent pour deux mois et les
réserves de bois pour trois mois.
- J'envisage de vous livrer avec le prochain ferry des
réserves. Y a-t-il autre chose ?
- j'aimerais des montres pour leur apprendre l'heure
et des lunettes de soleil, la neige réverbère de trots les
rayons. Merci station Alizé.
- A bientôt station Sylvain.
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le vide laisse la place à des bruits étrange qui résonnentdans mes oreilles. Je coupe l'appareil et retrouve les
habitants du village. Je remarque que les habitants
déchargent et rangent des poissons et des morceaux de
phoques dans leurs réserves. Leur instinct est prédicateur,
ils savent quand commence la venue de la neige.
A l'heure de la messe l'Église reste vide, comme les autres
fois, je me garde d'y prêter attention. Je me rapproche de
mon compagnon qui me retrouve la nuit, le rat. Je me dis
que j'ai plus de chance avec les animaux qu'avec les
humains et regarde la statue du phoque.
La profondeur d'une nuit silencieuse plonge les humains
dans une déconnections total, un besoin qui remet a
l'heure l'actuelle et une journée de labeur.
Au petit matin, une épaisse couche de neige s'est rajouté.
Je m'enfonce jusqu'aux genoux. Les chiens dorment dans
la neige, certains se regroupent enroulé l'un contre l'autre.
Aucun être vivant n'est visible. Pas une fumée se sort des
cheminées. Le seul bruit qui m'entoure est l'aboiement
des chiens qui résonne. Je retourne dans l'église pour
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tenter de trouver un ustensile qui me permet de dégagerun chemin devant ma porte. C'est avec ma planche a
manche que je fais temps bien que mal un passage.
le labeur a duré plus d'une heure. Le crie des enfants
résonne, la vie active reprit. Les enfants me regardent
faire et m'observe silencieusement. Je découvre une
manière d'attribuer leur attention. A la fin de mon
travaille je leur forme de grosse boules de neige que
j'empile pour en faire des bonshommes. En un rien de
temps ils m'imitent. Je les laisse faire et les observe à
mon tour. Avec des boules de neige ils en font un igloo.
Je suis émerveillé par cet abri. le temps passa vite je
regarde sur ma montre, midi passé. Je dois me faire à
manger. Je quitte les enfants et remarque que leurs
parents préparent des attelages de chiens.
certainement qu'ils partent à la chasse ou a la pêche.
Je leur attribue un salut mais aucun retour ne vient.
Je ne prêtre une attention et fait comme si ce fut
normal. Le vas et vient de cette tribut d'Inuits
transforme la paisibilité des jours passé. Avec une
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telle ambiance je dois certainement trouver desvolontaires pour la messe du soir ?
Après mon repos de midi je sors et remarque que la
vie active n'a pas cessés malgré le froid et la neige qui
nous domine. Devant les habitations les femmes ont
étalé de nombreuses peaux
petit grain de sel. Devant une autre habitation rouge,
ce sont des poissons que l'on transperce avec une lance
en bois pour les suspendre pour qu'ils sèchent aux
rayons du soleil. Devant la maison verte une autre
femme s'occupe de raccommoder des vêtements en peaux.
Je ne vois aucun homme qui leur donne un coup de
main. Je me garde de poser des questions et entreprend
à mon tour des réparations de l'église.
Les rayons du soleil font naître une chaleur
réconfortante mes yeux en sont ébloui. Ce que je suis
en train de faire leur paru curieux. La corvée est
réservé aux femmes, c'est pour cette raison que
j'attire leur attention. celles qui me rendent visite je
les accueille avec le sourire et une amitié sincère. Je
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persiste de les attirer sans prononcer de parole,simplement par des actes.
Le temps passe et l'heure de contacter la station Alizé
m'oblige à quitter mes occupations.
le résumé de notre entretien donne les directives
suivantes, dans les 48 heures un réchauffement se fera.
Je retrouve ma chaise devant l'église, plus aucune
personne. Je suis déçu, une petite défaite me culpabilise,
qu'elle intention pourrait faire que je puisse les retenir ?
Il me vient une idée, et si je déplace les éléments
radiophonique vers l'entrée de l'église, tout le monde
pourrait écouter et communiquer avec la station Alizé.
Je remercie Dieu de me guider sur une bonne voie.
Rapidement je déplace la radiophonie vers
l'emplacement indiqué.
A la nuit dans mon lit je dormis seul, le rat ne vient pas.
Le lendemain matin un vent doux se ressentit. Les
prévisions de la station Alizé correspondent. Un
réchauffement est en cour et la mer rapporte du bois.
Sur les plages, les grondements de mes pas sur les
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dernières trace de neige gelé résonnent a la ronde. Depeur de réveiller du monde je retourne sur mon point
de départ. Les chiens attentif m'ont entendu et leur
aboiement réveille le village entier.Comme par
enchantement et d'une rapidité remarquable des
hommes armés de lances et de fusils, pour peu d'entre
eux, se tiennent prêt à l'affût devant leur habitation.
Ils sont peu d'habiller, ce qui laisse entrevoir une
musculation digne de lutteurs. Leur rapidité est
étonnante, je me retiens de leur exprimer un mot et fit
un signe de main pour les saluer. Les aboiements des
chiens se turent et le silence revenait. C'est en
commettant des fautes que l'on rectifie le tir pour les
éviter. Je revins sur mes pas et patiente.
C'est en entendant les cris des enfants que je pris le
courage de les retrouver. Mes idées me donnent une
solution qui attire leur attention. Je sortie un tableau
noir, une craie blanche et une éponge. Je me
transforme en instituteur persuadé d'arriver à les
convaincre de suivre mes cours.
arbres, des animaux et des montagnes. Ma réaction
les hypnotise et reste étonné. J'appelle l'un d'entre eux
pour qu'il tente de suivre mes mouvements avec un
autre morceau de craie sur le tableau.
Il hésite à me suivre puis se lance comme par
habitude. Son regard est étonné, je le persuade qu'il
n'y a pas de danger et lui montre comment tenir la
craie. Un silence attentif devient maître de cette
instruction. Je lui bouge la main pour que la craie
marque un toit de maison puis les murs. L'étonnement
de tous les enfants les rend intelligent. Je pousse mes
écrits par la lettre en majuscule de A et le prononce.
Je demande aux enfants de répéter ensemble le même
son. L'illettrisme n'est pas un handicape il suffit
d'accorder une importance a un dessin et y rajouter le
son correspondant. Mon instruction a duré plusieurs
heures, avec la volonté de tous ceux qui se sont
rassemblé autour de moi. Les parents ont remarqué
que l'arrivée à intéresser les enfants qui se trouvent
cours par curiosité. Personne ne trouve à
contredire mes intentions je continue de partager
mon savoir. A partir de là je sens que ma présence est
indispensable pour que la réussite suive cette tributs
d'Inuits. Le temps passa très vite, 17 heures, je dois
contacter la station Alizé. Comme tout mon attirail
est prêt de l'entre c'est en publique que je les contacte.
- Station Alizé vous me recevez ?
Station Alizé vous me recevez ?
- Station Alizé vous reçois cinq sur cinq.
Station Alizé vous reçois cinq sur cinq.
- La situation tourne à merveille, les Inuits aiment
s'instruire, il me faut plus de matérielle d'école.
Je donne une liste complète de tous ce qui est
nécessaire pour les instructions, puis je le quitte avec
un rendez-vous pour une prochaine communication. Je
me retour,ne et me rend compte que tous les enfants
sont resté avec moi.
Le sommeille d'appel car mes paupières sont devenu
mon lit et quitte la réalité de la vie pour un monde de
rêves et de réussite. La joie trotte dans mon coeur.
La lourdeur de ma fatigue ma emporté bien au-delà
de l'heure habituelle de mon réveille. Je n'ai pas
entendu le ruissellement de la fonte de la neige du toit
de l'église. Je n'ai pas pris gars aux bruits des enfants
qui jouent à l'extérieur. Bref, la profondeur de mes
pensées se trouve vidé de tous repères. Ma surprise
est grande a la vue de l'eau qui inonde le planché de
l'église, mais que vient-il de se passer ? Mais oui,
c'est le redoux qui provoque ce changement. je récure
le sol tant bien que mal avec les moyens de bord. Je
suis les infiltrations et marque l'endroit. Je repère la
distance pour pouvoir vérifier sur le toit par où
provient cette infiltration. L'épaisseur de la neige
restante m'oblige d'en enlever. Ma tentative provoque
un glissement sur l'ensemble du toit. Le soleil rayonne
si chaudement que le carton bitumé laisse s'élever une
vapeur qui assèche les surfaces du toit. Je remarque
Je me hâte d'entreprendre cette réparation.
La vue est impressionnante du toit de l'église, je domine
le village et mes écoliers qui observent mon comportement.
- Père Sylvain que fais tu là ?
- Je répare le toit.
suite à mes mots il rejoint ses camarades. J'entends
vaguement leur discussion puis, plus rien. cette
jeunesse disparaît au fur et a mesure en un rien de
temps plus personne. Avec hâte je continue les travaux.
Après la réparation du toit il me reste l'eau à éponger,
quelle corvée. Il m'a fallu toute la journée pour y
arriver.
17 heures, je m'approche de la radio et tente de rejoindre
la station Alizé. Plusieurs tentatives me déboutent. Je ne
suis pas seul devant la radio émetteur, quelques enfants
suivent mes tentatives. Dans le groupe le jeune garçon
Mika me demande,
- La station Alizé ne répond pas ?
- Je ne sais pas ce qui se passe, je ne suis pas fort en
- Ça ne dois pas être compliqué, Père Sylvain je
l'apprendrais plus tard pour toi et les autres.
- Tu as une bonne intention, je ferais part à la station
Alizé pour qu'elle me fait parvenir des livres techniques.
Au soir je récolte que des surprises car en voulant faire
du feu pour chauffer mon premier repas de la journée, je
remarque que l'humidité a mouillé toutes mes réserves
d'allumettes. Je me contente de conserves froides. J'ai beau
implorer Dieu rien ni fait, je retrouve mon lit. J'ai froid ce
soir-là, je n'enlève pas mes habilles et m'engouffre sous les
peaux qui me servent de couverture. Le rat est revenu, il
se promène sur mes pieds.
Au matin je ne sus me faire un thé chaud et me suis
contenté d'eau froide dans laquelle je trempe les
biscuits sec. Mes vêtements sentent la sueur que j'ai
accumulé la nuit. Mon odorat se remarque, j'ai une
sensation de malpropreté, une odeur de fauve. Dois-je
changer de vêtement ? Oui mais comment vais-je laver
les autres sans eau chaude ? Je décide de garder les habilles
enchantement et d'une rapidité remarquable des
hommes armés de lances et de fusils, pour peu d'entre
eux, se tiennent prêt à l'affût devant leur habitation.
Ils sont peu d'habiller, ce qui laisse entrevoir une
musculation digne de lutteurs. Leur rapidité est
étonnante, je me retiens de leur exprimer un mot et fit
un signe de main pour les saluer. Les aboiements des
chiens se turent et le silence revenait. C'est en
commettant des fautes que l'on rectifie le tir pour les
éviter. Je revins sur mes pas et patiente.
C'est en entendant les cris des enfants que je pris le
courage de les retrouver. Mes idées me donnent une
solution qui attire leur attention. Je sortie un tableau
noir, une craie blanche et une éponge. Je me
transforme en instituteur persuadé d'arriver à les
convaincre de suivre mes cours.
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Je pris la craie et dessine des nuages, un soleil, desarbres, des animaux et des montagnes. Ma réaction
les hypnotise et reste étonné. J'appelle l'un d'entre eux
pour qu'il tente de suivre mes mouvements avec un
autre morceau de craie sur le tableau.
Il hésite à me suivre puis se lance comme par
habitude. Son regard est étonné, je le persuade qu'il
n'y a pas de danger et lui montre comment tenir la
craie. Un silence attentif devient maître de cette
instruction. Je lui bouge la main pour que la craie
marque un toit de maison puis les murs. L'étonnement
de tous les enfants les rend intelligent. Je pousse mes
écrits par la lettre en majuscule de A et le prononce.
Je demande aux enfants de répéter ensemble le même
son. L'illettrisme n'est pas un handicape il suffit
d'accorder une importance a un dessin et y rajouter le
son correspondant. Mon instruction a duré plusieurs
heures, avec la volonté de tous ceux qui se sont
rassemblé autour de moi. Les parents ont remarqué
que l'arrivée à intéresser les enfants qui se trouvent
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avec moi. Certaine femmes viennent suivre mescours par curiosité. Personne ne trouve à
contredire mes intentions je continue de partager
mon savoir. A partir de là je sens que ma présence est
indispensable pour que la réussite suive cette tributs
d'Inuits. Le temps passa très vite, 17 heures, je dois
contacter la station Alizé. Comme tout mon attirail
est prêt de l'entre c'est en publique que je les contacte.
- Station Alizé vous me recevez ?
Station Alizé vous me recevez ?
- Station Alizé vous reçois cinq sur cinq.
Station Alizé vous reçois cinq sur cinq.
- La situation tourne à merveille, les Inuits aiment
s'instruire, il me faut plus de matérielle d'école.
Je donne une liste complète de tous ce qui est
nécessaire pour les instructions, puis je le quitte avec
un rendez-vous pour une prochaine communication. Je
me retour,ne et me rend compte que tous les enfants
sont resté avec moi.
Le sommeille d'appel car mes paupières sont devenu
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lourde j'ai du mal à les contrôler. Je prends place dansmon lit et quitte la réalité de la vie pour un monde de
rêves et de réussite. La joie trotte dans mon coeur.
La lourdeur de ma fatigue ma emporté bien au-delà
de l'heure habituelle de mon réveille. Je n'ai pas
entendu le ruissellement de la fonte de la neige du toit
de l'église. Je n'ai pas pris gars aux bruits des enfants
qui jouent à l'extérieur. Bref, la profondeur de mes
pensées se trouve vidé de tous repères. Ma surprise
est grande a la vue de l'eau qui inonde le planché de
l'église, mais que vient-il de se passer ? Mais oui,
c'est le redoux qui provoque ce changement. je récure
le sol tant bien que mal avec les moyens de bord. Je
suis les infiltrations et marque l'endroit. Je repère la
distance pour pouvoir vérifier sur le toit par où
provient cette infiltration. L'épaisseur de la neige
restante m'oblige d'en enlever. Ma tentative provoque
un glissement sur l'ensemble du toit. Le soleil rayonne
si chaudement que le carton bitumé laisse s'élever une
vapeur qui assèche les surfaces du toit. Je remarque
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que plusieurs accrocs sont responsables de l'infiltration.Je me hâte d'entreprendre cette réparation.
La vue est impressionnante du toit de l'église, je domine
le village et mes écoliers qui observent mon comportement.
- Père Sylvain que fais tu là ?
- Je répare le toit.
suite à mes mots il rejoint ses camarades. J'entends
vaguement leur discussion puis, plus rien. cette
jeunesse disparaît au fur et a mesure en un rien de
temps plus personne. Avec hâte je continue les travaux.
Après la réparation du toit il me reste l'eau à éponger,
quelle corvée. Il m'a fallu toute la journée pour y
arriver.
17 heures, je m'approche de la radio et tente de rejoindre
la station Alizé. Plusieurs tentatives me déboutent. Je ne
suis pas seul devant la radio émetteur, quelques enfants
suivent mes tentatives. Dans le groupe le jeune garçon
Mika me demande,
- La station Alizé ne répond pas ?
- Je ne sais pas ce qui se passe, je ne suis pas fort en
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technique.- Ça ne dois pas être compliqué, Père Sylvain je
l'apprendrais plus tard pour toi et les autres.
- Tu as une bonne intention, je ferais part à la station
Alizé pour qu'elle me fait parvenir des livres techniques.
Au soir je récolte que des surprises car en voulant faire
du feu pour chauffer mon premier repas de la journée, je
remarque que l'humidité a mouillé toutes mes réserves
d'allumettes. Je me contente de conserves froides. J'ai beau
implorer Dieu rien ni fait, je retrouve mon lit. J'ai froid ce
soir-là, je n'enlève pas mes habilles et m'engouffre sous les
peaux qui me servent de couverture. Le rat est revenu, il
se promène sur mes pieds.
Au matin je ne sus me faire un thé chaud et me suis
contenté d'eau froide dans laquelle je trempe les
biscuits sec. Mes vêtements sentent la sueur que j'ai
accumulé la nuit. Mon odorat se remarque, j'ai une
sensation de malpropreté, une odeur de fauve. Dois-je
changer de vêtement ? Oui mais comment vais-je laver
les autres sans eau chaude ? Je décide de garder les habilles
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ainsi que le parfum de ma sueur.
Durant 10 jours je me contente de donner des cours
d'écritures aux écoliers. Je continu cette vie dans le
froid avec repas, des poissons séché, des lentilles , du pâté
en boite, et des fruits séché. Plus possible de contacter la
station Alizé, sois c'est mon poste radio émetteur qui est
défectueux sois c'est ? Me voilà perdu dans le grand nord,
oublié, à la merci de je ne sais qui ?
suite au 4/8 direction banquise Groenland.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
d'écritures aux écoliers. Je continu cette vie dans le
froid avec repas, des poissons séché, des lentilles , du pâté
en boite, et des fruits séché. Plus possible de contacter la
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défectueux sois c'est ? Me voilà perdu dans le grand nord,
oublié, à la merci de je ne sais qui ?
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Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
le roman est en construction, certain mots peuvent changer.
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