Quelques mots, quelques lignes et voilà un nouveau signe qui engage la préparation des fêtes pour l' année 2025 pleine de joie et de bonheur pour toutes les lectrices et tous les lecteurs. Les droits d'auteurs irons a mes petits enfants. Je ne gagne rien juste la satisfaction de récolter des +, merci. Les écrits ne sont qu'illusion, les lires c'est se laisser entraîner autre part.
jeudi 17 avril 2025
TA VOIX texte de jean jacques Mutz chanté par Fanny Rose
Libellés :
chansonnette
Pays/territoire :
68720 Heidwiller, France
lundi 14 avril 2025
ADN cherche héritier ( nouvelle fiction )
mirage au dessus des nuages sages n 3
A ce jour, 28 04 2023, 31 999 lecteurs.
A ce jour, 09 01 2024, 32 612 lecteurs.
A ce jour, 14 04 2025, 33 732lecteurs.
Libellés :
nouvelle fiction
Pays/territoire :
68720 Zillisheim, France
jeudi 6 mars 2025
Mon soleil ( poésie )
mirage au dessus des nuages sages n 3
mirage au dessus des nuages sages n 1
mirage au dessus des nuages sages n 2.
Mon soleil
Tu es mon soleil,
Dans mon coeur éternel,
Que tu es ici, ou là,
Je suis bien prêt de toi,
Heureux comme un Roi.
Les mois passent avec toi,
Comme une fontaine,
Ou l'eau coule toute claire,
Pure et sincère,
Sens se détourner.
Tu es mon soleil,
Dans mon coeur éternel ,
Que tu es ici ou là,
Je suis bien prêt de toi,
Heureux comme un Roi.
L'amour vient du destin,
Que rencontre le commun,
Un refrain d'entrain,
Unis les amoureux,
Sur leur chemin.
Tu es mon soleil,
Dans mon coeur éternel,
Que tu es ici ou là,
Je suis bien prêt de toi,
Heureux comme un Roi.
JJM
A ce jour, 28 02 2025, 33 710 lecteurs.
Libellés :
poesie
Pays/territoire :
68720 Zillisheim, France
dimanche 26 janvier 2025
suite roman 8/8 d'aventure Etre pour paraitre ( Direction Banquise Groenland )
mirage au dessus des nuages sages n 3

Notre retour est acclamé par le village entier.
Cette attention renforce notre union. On
s'installe dans l'église avec les applications
de Mayka qui met tout son savoir à
disposition.
Durant notre absence personne n'avait fait
le pain matinal. Ce manque journalier à perturbé
A la recherche
134
Notre retour est acclamé par le village entier.
Cette attention renforce notre union. On
s'installe dans l'église avec les applications
de Mayka qui met tout son savoir à
disposition.
Durant notre absence personne n'avait fait
le pain matinal. Ce manque journalier à perturbé
l'ordre du jour, l'ensemble des villageois
qui raffolent tous de ce pain. Il faut remédier
a cela , Mayka et Solaya mettent leur mains a
la pate et elles se donnent à cœur joie de faite
cuire des miches de pain et le partager après la
messe et avant les premiers cours de classe.
135
La fin de l'année approche à grands pas et
les préparatifs de la fête de Noël engagent
l'ensemble de la communauté. Pour cette
occasion on a cherché un bouleau sec
dans la toundra. Les branches dénudées
servent à accrocher des pompons de
couleurs, ils ont la formes de boules ou
d'animaux. Des moufles sont déposés
au pied et plusieurs jeux d'osselets
réparties dans des poches de laines. Il y a
de peaux, de petites
sculptures en os qui
représentes des
phoques ou ourses.
136
La nuit de Noël
je fais sonner
les cloches avec
l'accorde de
Moaki pour
rassembler tous
les villageois.
l'église est
comble et tous
les fidèles
trouvent dans
l'église un
rayonnement de bonheur. Je chante des cantiques
de Noël qui entraînent l'ensemble des fidèles.
Le lendemain je leur réserve une surprise en cuisine
et fais un grand gâteau sur la basse d'une foret noire
en forme de cœur. Comme je n'ai pas de crème je la
remplace par le contenu d'une boite de mont blanc
et du blanc d’œuf battu. Des airelles rouge sauvage
remplacent les cerises.
je fais sonner
les cloches avec
l'accorde de
Moaki pour
rassembler tous
les villageois.
l'église est
comble et tous
les fidèles
trouvent dans
l'église un
rayonnement de bonheur. Je chante des cantiques
de Noël qui entraînent l'ensemble des fidèles.
Le lendemain je leur réserve une surprise en cuisine
et fais un grand gâteau sur la basse d'une foret noire
en forme de cœur. Comme je n'ai pas de crème je la
remplace par le contenu d'une boite de mont blanc
et du blanc d’œuf battu. Des airelles rouge sauvage
remplacent les cerises.
137
Comme prévue nous nous engageons pour partira la recherche de cette fameuse grotte indique sur
Comme prévue nous nous engageons pour partir
le plan trouvé dans le coffre. Nous nous engageons
avec deux traîneaux chacun attelé de six chiens.
D'après le plan il ne faut qu'une journée pour
rejoindre la grotte.
On part armé de fusils et du nécessaire pour une
journée. Le parcours n'est pas sans embûches, de
nombreux obstacles nous obligent à prêter une
attention particulière. Les dénivelées sont traître
et les rochets coupant.
138
C'est au boute de quatre heures de marche que nous
arrivons à cette fameuse grotte.
L'ouverture est dissimulé par des branchages que
nous dégageons avec facilité. Nous pénétrons dans
cette abri naturelle avec dans nos pensées une
certitude de découverte. Nous tombons sur des
rangés de statues où son marqué les noms des
personnes disparurent du village. Moyaki avait
sculpté une statue en forme de phoque pour
chaque personne disparu du village, la tête
ressemble a une forme humaine, celle des gens
concernés. Et s'enfonçant dans la grotte, on
découvre un corps conservé, assis sur une pierre.
Je relève tous les noms des personnes et celui du
corps qui possède celui de Père Léon.
Je fis part de cette découverte a la police qui ne
tarda pas a classer cette découverte comme la clé de
la disparition du Père Léon.
auteur, Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.A ce jour, 02 11 2020, 30 250 lecteurs.A ce jour, 11 12 2021, sur les 3 blogs, plus de 204 000 lecteurs. A ce jour, 16 10 2023, 32 079 lecteurs.A ce jour, 27 01 2025, 33 604 lecteurs.
avec deux traîneaux chacun attelé de six chiens.
D'après le plan il ne faut qu'une journée pour
rejoindre la grotte.
On part armé de fusils et du nécessaire pour une
journée. Le parcours n'est pas sans embûches, de
nombreux obstacles nous obligent à prêter une
attention particulière. Les dénivelées sont traître
et les rochets coupant.
138
C'est au boute de quatre heures de marche que nousarrivons à cette fameuse grotte.
L'ouverture est dissimulé par des branchages que
nous dégageons avec facilité. Nous pénétrons dans
cette abri naturelle avec dans nos pensées une
certitude de découverte. Nous tombons sur des
rangés de statues où son marqué les noms des
personnes disparurent du village. Moyaki avait
sculpté une statue en forme de phoque pour
chaque personne disparu du village, la tête
ressemble a une forme humaine, celle des gens
concernés. Et s'enfonçant dans la grotte, on
découvre un corps conservé, assis sur une pierre.
Je relève tous les noms des personnes et celui du
corps qui possède celui de Père Léon.
Je fis part de cette découverte a la police qui ne
tarda pas a classer cette découverte comme la clé de
la disparition du Père Léon.
auteur, Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
Libellés :
roman aventure
Pays/territoire :
68720 Heidwiller, France
suite roman 7/8 aventure Etre pour paraitre ( Direction Banquise Groenland )
mirage au dessus des nuages sages n 3
mirage au dessus des nuages sages n 1
La soirée est magnifique, après une petite
prière tout le village et l'équipage mange à sa
guise sans oublier de finir la soirée dans des
danses bien rythmé. Les passagers font partie
de cette fête avec une animation parfaite. La
musique enivrante me laisse séduire par des
danses que je fais avec Mayka.
marchons pas sur nos pieds nus.
Avec une tente, un fusil et un paquetage de routine
placé sur un traîneau, nous voila partie avec une
attelage de 8 chiens.
plein sentimentale. J'ai pêché plusieurs poissons que
Mayka prépare avec attention. Au parcours du retour
j'ai tiré un jeune bœuf musqué dans la toundra et en
emporte que ce qu'il fut possible de transporter.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Le 01 03 2019 , 2800 lecteurs.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
124
le coffre
Le coffre en bois de chêne ressemble à un
demi-baril. Le dessus arrondi sert de couvercle,
il est fermé par une grande serrure un peu
rouillé. J'introduis la clé et tourne sans
rencontrer de difficulté.
demi-baril. Le dessus arrondi sert de couvercle,
il est fermé par une grande serrure un peu
rouillé. J'introduis la clé et tourne sans
rencontrer de difficulté.
Sur un papier collé sous le couvercle sont
mentionnées l'ordre des livres concernant les
relevées journalier.
relevées journalier.
Le rangement est parfait, de nombreux
classeurs sont répartie par ordre de couleurs.
classeurs sont répartie par ordre de couleurs.
Le blanc défini les relevés représentant
familles qui composent le groupe des chasseurs,
pour cela un buvard nous guide vers la dernière
page.
125
celui des départs en chasse et les noms desfamilles qui composent le groupe des chasseurs,
pour cela un buvard nous guide vers la dernière
page.
En premier la date du départ est mentionnée.
Puis le nom des personnes qui quittent le village
ainsi que l'heure du départ. La région où ils
partent chasser.
Puis le nom des personnes qui quittent le village
ainsi que l'heure du départ. La région où ils
partent chasser.
Leur retour figure sur la même page.
Il y a le classeur bleu qui indique les relevés
de la météo du jour.
de la météo du jour.
Le classeur vert sert à enregistrer les
nouveaux arrivants avec leur nom de famille et
les dates de naissance ainsi que de leur
provenance.
nouveaux arrivants avec leur nom de famille et
les dates de naissance ainsi que de leur
provenance.
Le classeur noir sont enregistré les décès et
disparition inquiétante. En le feuilletant je
découvre l'enquête mené sur la disparition des
personnes. Des croquis et explications pour
chaque cas départagés en accidents de pêche,
croquis et une description indique qu'une
ourse à trois griffes fut responsable de la plus
part des victimes. Il y figure les cas de suicide
qui occupe une bonne partie des enquêtes.
Souvent les personnes partent chasser seule ce
qui les met en danger, cette raison est classé
comme suicidaire.
disparition inquiétante. En le feuilletant je
découvre l'enquête mené sur la disparition des
personnes. Des croquis et explications pour
chaque cas départagés en accidents de pêche,
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incident de chasse ou agression d'ourses. Uncroquis et une description indique qu'une
ourse à trois griffes fut responsable de la plus
part des victimes. Il y figure les cas de suicide
qui occupe une bonne partie des enquêtes.
Souvent les personnes partent chasser seule ce
qui les met en danger, cette raison est classé
comme suicidaire.
Le classeur jaune sert à enregistrer
l'inventaire de la chasse en nombre de phoques,
de baleines, d'ourses et de renards, et de
poissons séché. Les navires de passage qui
l'inventaire de la chasse en nombre de phoques,
de baleines, d'ourses et de renards, et de
poissons séché. Les navires de passage qui
pêchent au large, leur origine et les raison de
leur présence.
leur présence.
Le classeur brin sert à répertorier le passage
de ferry et d'hydravions qui ont déchargé de la
marchandise. Le temps qu'ils ont passé dans le
village. Les peaux qu'ils emportent et la valeur
en couronne de la transaction.
de ferry et d'hydravions qui ont déchargé de la
marchandise. Le temps qu'ils ont passé dans le
village. Les peaux qu'ils emportent et la valeur
en couronne de la transaction.
l'on découvre un plan d'une grotte qui sert de
grotte est situé sur le flancs de la montagne que
surplombe le village. Une expédition est a
prévoir dans les prochains jours.
127
mémorial pour les personnes disparue. Cettegrotte est situé sur le flancs de la montagne que
surplombe le village. Une expédition est a
prévoir dans les prochains jours.
L'ensemble des habitants du village est invité
par l'équipage pour passer une soirée sur le
ferry Alizé. A ce sujet j'emmène les livres pour
les photocopier et les placer dans le registre
nationale.
par l'équipage pour passer une soirée sur le
ferry Alizé. A ce sujet j'emmène les livres pour
les photocopier et les placer dans le registre
nationale.
La soirée est magnifique, après une petite
prière tout le village et l'équipage mange à sa
guise sans oublier de finir la soirée dans des
danses bien rythmé. Les passagers font partie
de cette fête avec une animation parfaite. La
musique enivrante me laisse séduire par des
danses que je fais avec Mayka.
128
Notre application est parfaite car nous ne nousmarchons pas sur nos pieds nus.
Toutes les personnes dansent de cette façon sans
mocassin, les pieds nus au contacte du planché.
Quant a la boisson, notre gosier se régale sans
modération car l'alcool est un réchauffant.
Certains d'entre nous vacillent par le fait d'avoir
exagéré. Toutes les personnes sont de la fête
aucune exception sa part du chasseurs au marins,
du capitaine au chef du village. Des amoureux
aux ancienne famille.
Au petit matin , main dans la main, nous retrouvons
l'église et notre nie douillet. Notre bonheur fait
vibrer nos cœurs et quant l'amour invite un couple
a s'unir tous passent pardessus les obligations.
Mayka me demande,
- Père Sylvain vues tu m'épouser ?
Cette proposition est une bonne résolution je lui
réponds,
- Mayka j'accepte de t'épouser, demandons à
officiellement sur le ferry qui restera quelques
jours amarré dans le fjord. Comme il y a un
prêtre à bord il pourra nous unir.
- Quel bonheur Père Sylvain je suis enchanté et
heureuse.
Nous ne tardons pas à annoncer nos intentions à
Moaki et au commandant du ferry ainsi qu'au prêtre
qui acceptent notre demande sens hésiter. je suis
envahie par un réconfort telle que le bonheur que l'on
ressent quant l'on vient de vous donner le plus beau
jouet de ma vie. Je ne suis pas seul car Mayka est
éblouit de satisfaction. Elle fait vire part de notre
intention a tout le village qui trouve dans cette
action la volonté de continuer de vivre dans le
Groenland a Nasarmijit.
Les nouvelles détiennent des surprises qui par leur
importance font que les préparatifs engagent tous les
villageois. Sur le bateau cette même effervescence de
préparation suit son cour. Je me rends compte que
envers les Inuit et les Européens.
Comme il ne reste plus que trois jours que le ferry
reste accosté, les préparatifs se font au plus vite.
Le commandant de bord me convoque pour me faire
par qu'il met à disposition des talkie-walkie pour
ceux qui partent chasser. Cette attention nos permet
de garder contact et de les reliés en cas de danger.
Cette évolution nous fait avancer à grand pas ce que
nous apprécions tous. En plus de cette nouveauté il
nous fait part que dans les prochain passage de l'Alizé,
nous aurons une citerne de gaz qui replacera le
chauffage au bois. Cette mise en place sera faite par
des équipes de professionnels. Pour le remplissage des
citernes, il se fera du bateau L'Alizé. L'autonomie de
la citerne est prévue pour 70 personnes durant 3 mois.
Le remplissage se fera a chaque passage de l'Alizé qui
passe tous les droits semaines. Ce sera au printemps,
que la piste d'atterrissage pour l'hélicoptère se fera.
Cette liaison rapide permettra de rejoindre les grandes
Toutes ces nouvelles donnent à notre coin une valeur
plus que parfais. Ces nouveautés nous gâtent. Que
peut dire pour les remercier ?
l'après midi de l'avant dernier jour de stationnement
de l'Alizé est arrivé. Nos préparatifs ont engagé des
actions qui mettent en valeur ce précieux jour. Mayka
et moi-même en sont enchanté, je dis même enthousiasmé.
Avec l'ensemble de l'équipage et les passager ainsi que
le habitants de Narsarmijit nous célébrons notre
mariage civile dans la grande salle du bateau. Par la
suite les événements se poursuivent dans l'église. C'est
le prêtre du ferry qui nous fait les sacrements du
mariage.
Narsiji Mayka accepte de me prendre comme époux
sous le nom de famille Anderson Sylvain.
J'accepte Anderson Sylvain de prendre comme époux
Mayka Narsji.
Puis nos frottages de nez en publique nous unissent
devant témoin pour la vie.
dans une bassine d'eau chaude puis se rincer sous la
cascade froide qui descend des hauts sommets. Une
sorte de baptême qui signe l'appartenance au village.
Il est dit que les cascades nourrissent les fjords, puis
les océans et renforce les promesses de mariage.
Pour la suite il est question que nous partons en
traîneaux quelques jours et prouver au village que
notre union tien bon. De ce fait ils ont accroché un
drapeau a l'église.
.
mocassin, les pieds nus au contacte du planché.
Quant a la boisson, notre gosier se régale sans
modération car l'alcool est un réchauffant.
Certains d'entre nous vacillent par le fait d'avoir
exagéré. Toutes les personnes sont de la fête
aucune exception sa part du chasseurs au marins,
du capitaine au chef du village. Des amoureux
aux ancienne famille.
Au petit matin , main dans la main, nous retrouvons
l'église et notre nie douillet. Notre bonheur fait
vibrer nos cœurs et quant l'amour invite un couple
a s'unir tous passent pardessus les obligations.
Mayka me demande,
- Père Sylvain vues tu m'épouser ?
Cette proposition est une bonne résolution je lui
réponds,
- Mayka j'accepte de t'épouser, demandons à
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Moaki et au commandant de bort de nous unirofficiellement sur le ferry qui restera quelques
jours amarré dans le fjord. Comme il y a un
prêtre à bord il pourra nous unir.
- Quel bonheur Père Sylvain je suis enchanté et
heureuse.
Nous ne tardons pas à annoncer nos intentions à
Moaki et au commandant du ferry ainsi qu'au prêtre
qui acceptent notre demande sens hésiter. je suis
envahie par un réconfort telle que le bonheur que l'on
ressent quant l'on vient de vous donner le plus beau
jouet de ma vie. Je ne suis pas seul car Mayka est
éblouit de satisfaction. Elle fait vire part de notre
intention a tout le village qui trouve dans cette
action la volonté de continuer de vivre dans le
Groenland a Nasarmijit.
Les nouvelles détiennent des surprises qui par leur
importance font que les préparatifs engagent tous les
villageois. Sur le bateau cette même effervescence de
préparation suit son cour. Je me rends compte que
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notre future union donne un signe de rapprochementenvers les Inuit et les Européens.
Comme il ne reste plus que trois jours que le ferry
reste accosté, les préparatifs se font au plus vite.
Le commandant de bord me convoque pour me faire
par qu'il met à disposition des talkie-walkie pour
ceux qui partent chasser. Cette attention nos permet
de garder contact et de les reliés en cas de danger.
Cette évolution nous fait avancer à grand pas ce que
nous apprécions tous. En plus de cette nouveauté il
nous fait part que dans les prochain passage de l'Alizé,
nous aurons une citerne de gaz qui replacera le
chauffage au bois. Cette mise en place sera faite par
des équipes de professionnels. Pour le remplissage des
citernes, il se fera du bateau L'Alizé. L'autonomie de
la citerne est prévue pour 70 personnes durant 3 mois.
Le remplissage se fera a chaque passage de l'Alizé qui
passe tous les droits semaines. Ce sera au printemps,
que la piste d'atterrissage pour l'hélicoptère se fera.
Cette liaison rapide permettra de rejoindre les grandes
131
villes en cas d'utilité urgente.Toutes ces nouvelles donnent à notre coin une valeur
plus que parfais. Ces nouveautés nous gâtent. Que
peut dire pour les remercier ?
l'après midi de l'avant dernier jour de stationnement
de l'Alizé est arrivé. Nos préparatifs ont engagé des
actions qui mettent en valeur ce précieux jour. Mayka
et moi-même en sont enchanté, je dis même enthousiasmé.
Avec l'ensemble de l'équipage et les passager ainsi que
le habitants de Narsarmijit nous célébrons notre
mariage civile dans la grande salle du bateau. Par la
suite les événements se poursuivent dans l'église. C'est
le prêtre du ferry qui nous fait les sacrements du
mariage.
Narsiji Mayka accepte de me prendre comme époux
sous le nom de famille Anderson Sylvain.
J'accepte Anderson Sylvain de prendre comme époux
Mayka Narsji.
Puis nos frottages de nez en publique nous unissent
devant témoin pour la vie.
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La suite engage certaine coutume, on a du se baignerdans une bassine d'eau chaude puis se rincer sous la
cascade froide qui descend des hauts sommets. Une
sorte de baptême qui signe l'appartenance au village.
Il est dit que les cascades nourrissent les fjords, puis
les océans et renforce les promesses de mariage.
Pour la suite il est question que nous partons en
traîneaux quelques jours et prouver au village que
notre union tien bon. De ce fait ils ont accroché un
drapeau a l'église.
.
Avec une tente, un fusil et un paquetage de routine
placé sur un traîneau, nous voila partie avec une
attelage de 8 chiens.
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Durant les quatre jours , notre union battait sonplein sentimentale. J'ai pêché plusieurs poissons que
Mayka prépare avec attention. Au parcours du retour
j'ai tiré un jeune bœuf musqué dans la toundra et en
emporte que ce qu'il fut possible de transporter.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Le 01 03 2019 , 2800 lecteurs.
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
A ce jour, 02 11 2020, 30 250 lecteurs.
A ce jour, 11 12 2021, plus de 204 000 lecteurs sur les 3 blogs.
A ce jour, 16 10 2023, 32 079 lecteurs.
A ce jour, 27 01 2025, 33 604 lecteurs.
a suivre 8/8
a suivre 8/8
Libellés :
roman aventure
suite roman 6/8 d'aventure Etre pour paraitre ( Direction Banquise Groenland )
mirage au dessus des nuages sages n 3
6/8
sont proche pour notre village. Comme vous le
savez toute notre réussite est dut à notre
patience . Mais faite bien attention car le vent ne
réjouissance. La venue du ferry est une raisons de
ce bien être.
Avec le débâcle les journées augments et la lumière
du ciel transforme notre entourage. La mer redevient
verdâtre et navigable dans le fjords. Les maisons
d'habitation sont de nouveau occupées.
Pour le repas de midi je présente a mes convives les
pommes de terre et explique une manière de les faire.
Je les jette dans la marmite rempli d'eau avec une
pincé de sel et les met sur le feux. Je les épluche puis
les coupe en morceau. Je les écrase avec un peu de
lait en poudre, puis les écrase pour en faire de la
purée.
Une hésitation se remarque sur leur comportement.
Mika et Solaya très confiant, demande d'être servi en
premier. Je fais une prière de remerciement, puis laisse
Mika plonger son couteau dans la purée. Solaya en
fait autant et ensemble ils y goûtent . Tous les autres
suivent l'exemple. Moaki s'écrit;
La méfiance est levée, tous le monde en mange. Je
crois que ma cuisine a trouvé preneur. Maintenant
il faut que je leur apprend a se servir dans des assiettes
des fourchettes et des cuillères.
La nuit venue demande du repos dans mes pensées.
Comme les représentante nuit, Mayka réchauffe mon
lit. J'ai perdu un peu de ma stupidité et conclu qu'il
n'y a que ma timidité qui gère mon état d'âme. malgré
cela je garde une petite partie de mes vêtements.
Que me réserve cette nouvelle journée, j'ai hâte de
savoir, je commence par faire mes besoins habituelles
avec une température de 5 degrés. Ce réchauffement
me donne un bien être. Je sens une transformation, un
bonheur révélateur. Tous les soucis se sont envolés. La
pêche est fructifiant, plus de clinquantes poissons de
bonne taille sont pêché.
17 heures, je contacte la station Alizé.
- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé ici
Station Sylvain, vous me recevez ?
sur 5. On est à 20 heures de navigation avec le
représentant de la station Alizé.
- Station Alizé, cette nouvelle nous encourage plus
que tout. La station Sylvain vous attend avec
impatience.
Cette nouvelle réconforte l'ensemble du village. Je ne
répète rien , le nouvelles vont vite. Le modernisme est
la clé de l'avenir. La venue du navire l'Alizé mérite
une grande fête. A la messe du soir je remarque que
des préparatifs sont en route. Les femmes se donnent
de la peine pour se rendre plus attirante et les
hommes se sont rasé de prêt.
Ce remue-ménage n'intrigue pas les enfants qui
trouvent dans ces préparatifs une raison d'en faire
autant. Les femmes enduisent leur corps d'une huile
qui provient de poisson ou peut être du phoque.
A 19 heures c'est le moment de la messe du soir. un
parfum inconnu me tourne vers les femmes qui le
portent. Comme elles sont habillé de vêtements de
sauvage. Le chef Moaki m'a expliqué qu'un vrai
chasseur doit garder cette odeur pour épouser la
nature. Le savon se dispatcher dans la nature et les
animaux en sont conscients qu'il représente un
danger.
Comme les autres nuit je retrouve mon lit et Mayka.
Je n'hésite pas à y pénétrer et trouve dans cette
présence un confort. Elle aussi à cette odeur attirante
qui me fait tourner la tête. Celle-ci ensorcelle mon
comportement, mais que ce passe-t-il donc ? Mayka
émet des petits rires en les accompagnent de mots
doux. Sa douce main entoure mon corps. Cette
douceur me bouleverse. Mon hésitation est dut
à une règle, la promesse que j'ai faite envers Dieu. Je
garde cette volonté de le servir, il ne faut pas me
laisser entraîner par la tentation de se mélanger c'est
un péché. Que se passe-t-il ? Je cherche à trouver une
solution pour m'y réfugier. Des mots en sourdine suivi
de rires silencieux m'entourent. La main douce de
sens le déplacement de sa main par la chaleur
qu'elle émet. Je tremble de froid ou peut-être de ma
peur ? Sens aucun détournement de ma part, je laisse
Mayka poursuivre ses intentions. Combien de temps
vient-il de s'écouler ? Je ne sais pas au juste. Même mon
esprit est tombé dans un engrenage incontrôlable. La
main glisse le long de ma jambe. Je mime de dormir et
garde ma position. Cette douceur féminine glisse sur
mes hanches puis mon ventre suivi de ma poitrine. Le
même mouvement revient au point départ. Comment
est-elle couchée ? Je me le demande, enfin mon
cerveau réagis. La main se trouve vers le bas de mon
corps. Sut que se passe-t-il ?
Me voilà entraîné par une visse sens fin. Je me laisse
séduire par la volonté d'une femme et ses désirs. Je ne
navigue pas à contresens et la laisse faire en restant
sur le dos, sans bouger, ni réagir. Je conclu de faire le
premier pêché de ma vie de Père.
Avec cet acte je rentre dans leur coutume, ce qui me
ma religion. J'expliquerai plus tard ma faute à
l’archevêque de mon diocèse.
Mayka exprime sa satisfaction par un gémissement en
m'enlaçant. Cette pureté de la nature des choses ma
plongé dans un sommeil réconfortant et profond. Dire
que je n'ai jamais goûté à ce passage là, mais pour
quelle raison ? Pour quoi ce comportement peut-il
être interdit par certains
Au matin Mayka rayonne de bonheur et moi de
satisfaction. Elle dore encore, je ne la dérange pas et
prépare le feu et les miches de pains a enfourner.
Les villageois sont tous au aguets, ils attendent que le
ferry Alizé accoste.
Dans l'apprêt midi a 15 heures, le ferry fait hurler sa
trompe pendant trois répliques devant l'entrée du fjords,
elle se répercutent entre les falaises qui se répondent.
l'ensemble des villageois se regroupent sur le proton
pour les accueillir. Les chasseurs ont huilé leurs
traîneaux pour les mettre en valeur. Lorsque le ferry
dans le village.
Le dirigeant de la station radio émetteur Alizé propose
de nous rencontrer dans l'église avec le chef du village
Moaki. Il est question de faire un inventaire de la
population et de leur nom et prénom ainsi que de leur
région d'où ils proviennent. Leur âge et leur dates de
naissance.
Un grand nombre d'actes est reconnu dans le village,
6/8
Les romans sont des fictions
LA RENCONTRE
108
- Chère Frères et sœurs, de bonne nouvellessont proche pour notre village. Comme vous le
savez toute notre réussite est dut à notre
patience . Mais faite bien attention car le vent ne
c'est pas éloigné et le froid non plus.
Certainement que l'avion militaire vas nous largeur
des vivres et du bois de chauffage. Passez toutes et
tous une bonne nuit.
La fin du discours laisse libre cour au remue-ménage.
Toutes les personnes sont heureuses et s'expriment
à haute voix. Il ne reste que le jeune Mika prêt de
moi et qui suit mes pas. Il tire sur mon veston.
- Père Sylvain je ressens la même impression que
toi. Cette rumeur n'apporte pas la joie car les
grands hommes qui vont nous rendre visite ne
son pas racé et leur comportement est méchant.
Je regarde ce jeune garçon et n'arrive pas à définir ce
que ces mots signifient.
- Mais Mika ces gens viennent de l'endroit d'où je
suis venu, ils ont été à l'école et sont instruit.
raison dois on avoir peur ?
La nuit appelle notre sommeil. Comme le soir passée
Mayka se trouve sous ma couverture. Elle en a pris
une habitude, sa présence ne me fait pas outrage au
contraire. Mais un autre sentiment me prédit une
affection envers laquelle je n'ai pas droit avant le
mariage, pour le moment j'appartiens à mes sermons
envers Dieu.
La chaleur féminine enlace mes membres refroidis. Je
ne tremble pas de froid mais d'une chose étrange à
mes habitudes. Je pense que cette nuit j'arrive à
dormir ? Il n'est pas question que je commette un
péché. La puissance de la fatigue m’entraîne dans un
monde que je n'ai jamais connu auparavant, celui de
l'amour par contacte. Ces rêves ne figurent pas dans
mes croyances. Ils transforment les écrit du paradis.
Souvent dans mon enfance je rêvais d'une autre
relation, celle de l'amitié. L'amour que mes parents
m'avait donné. Au moment où je pense à ses mots
l'affection et du désire. Cette nuit-là ma volonté de
résister au sommeil ma plongé dans un repos mérité.
Comme tous les matins je me lève à l'heure habituelle
pour activer le feu et enfourner mes miches car les
amateurs de pains se sont multiplier. Les filles aiment
m'assister dans mes préparatifs pour la création de
mes miches et au petit matin, Solaya une fille de 10 ans
suit mes actions pour la cuisson. Une assistance qui
certainement trouvera dans cette réalisation un avenir.
Le vent a disparu comme prévu par la météo. Ce
manque de bisse repose nos écoutes. Dans les paroles
de ma messe matinal je remercie Dieu. Le froid n'a pas
baissé, il reste tenace et sec. Notre salive crachée gèle.
Uriner en plein air n'est pas possible cela demande un
emplacement protégé. Le nombre d'occupant de
l'église nous oblige de se soulager a l'extérieur entre
les murs d'une cabane de bois. J'ai du mal à ouvrir
mon pantalon avec mes moufles en peau . A ce moment
là ou j'urine sur de la neige, un souvenir me vient a
apparu. Ce passé est bien loin maintenant, en ce
moment la chaleur de ce liquide humain ne font la
moindre neige.
Aucune odeur ne vient a mes narines, car l'urine gèle.
Au loin le hurlement des chiens résonne entre les fjords.
Ce retour permet d'orienter les chasseurs. Je ne suis
pas seul à l'avoir entendu. Moaki, le fusil a la main, se
dirige vers ce bruit. Certainement que l'ourse est dans
les barges. Je me frappe les épaules pour réchauffer et
faire circuler mon sang. Un coup de feu claque, puis une
voix dit,
- Un avion militaire dans le ciel .
- Où ça, où ça ?
- Vers le sud au-dessus de la mer Père Sylvain.
Le jeune Mika en est enchantée, ses cries font sortir
l'ensemble des occupants de l'église. Cette venue nous
soulage tous. Promesse tenu par la Station Alizé, notre
avenir est assuré.
Nous attendons tous la venue de cette oiseau métallique.
contourne la crête du nez penché pour disparaître puis
réapparaître au-dessus du village. Il largue des sacs à
basse altitude sous l'attention de tous. Après plusieurs
passages l'avion disparaît vers le sud. Ensemble nous
le remercions par des signes de mains.
Au centre de l'église, l'inventaire de cette acquisition
venu du ciel nous permet d'obtenir le relevé suivant.
300 sacs de bois, 200 sacs de pâtes, 50 sacs de farines,
50 sac de riz, des sacs de saucisses séché, du poisson
séché, 20 kg de chocolats, du thé, du café, du sucre et
du lait en poudre. D'autres sacs renferment des pommes
de terre et des pommes, il n'ont pas oublié des bougies
et des allumettes. Je fais l'inventaire sur le caillé des
Certainement que l'avion militaire vas nous largeur
des vivres et du bois de chauffage. Passez toutes et
tous une bonne nuit.
La fin du discours laisse libre cour au remue-ménage.
Toutes les personnes sont heureuses et s'expriment
à haute voix. Il ne reste que le jeune Mika prêt de
moi et qui suit mes pas. Il tire sur mon veston.
- Père Sylvain je ressens la même impression que
toi. Cette rumeur n'apporte pas la joie car les
grands hommes qui vont nous rendre visite ne
son pas racé et leur comportement est méchant.
Je regarde ce jeune garçon et n'arrive pas à définir ce
que ces mots signifient.
- Mais Mika ces gens viennent de l'endroit d'où je
suis venu, ils ont été à l'école et sont instruit.
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Notre discours s'arrête là, finalement pour quelleraison dois on avoir peur ?
La nuit appelle notre sommeil. Comme le soir passée
Mayka se trouve sous ma couverture. Elle en a pris
une habitude, sa présence ne me fait pas outrage au
contraire. Mais un autre sentiment me prédit une
affection envers laquelle je n'ai pas droit avant le
mariage, pour le moment j'appartiens à mes sermons
envers Dieu.
La chaleur féminine enlace mes membres refroidis. Je
ne tremble pas de froid mais d'une chose étrange à
mes habitudes. Je pense que cette nuit j'arrive à
dormir ? Il n'est pas question que je commette un
péché. La puissance de la fatigue m’entraîne dans un
monde que je n'ai jamais connu auparavant, celui de
l'amour par contacte. Ces rêves ne figurent pas dans
mes croyances. Ils transforment les écrit du paradis.
Souvent dans mon enfance je rêvais d'une autre
relation, celle de l'amitié. L'amour que mes parents
m'avait donné. Au moment où je pense à ses mots
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un autre sentiment vient me guider, celui del'affection et du désire. Cette nuit-là ma volonté de
résister au sommeil ma plongé dans un repos mérité.
Comme tous les matins je me lève à l'heure habituelle
pour activer le feu et enfourner mes miches car les
amateurs de pains se sont multiplier. Les filles aiment
m'assister dans mes préparatifs pour la création de
mes miches et au petit matin, Solaya une fille de 10 ans
suit mes actions pour la cuisson. Une assistance qui
certainement trouvera dans cette réalisation un avenir.
Le vent a disparu comme prévu par la météo. Ce
manque de bisse repose nos écoutes. Dans les paroles
de ma messe matinal je remercie Dieu. Le froid n'a pas
baissé, il reste tenace et sec. Notre salive crachée gèle.
Uriner en plein air n'est pas possible cela demande un
emplacement protégé. Le nombre d'occupant de
l'église nous oblige de se soulager a l'extérieur entre
les murs d'une cabane de bois. J'ai du mal à ouvrir
mon pantalon avec mes moufles en peau . A ce moment
là ou j'urine sur de la neige, un souvenir me vient a
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l'esprit, celui où la dépouille de mon amie l’écureuilapparu. Ce passé est bien loin maintenant, en ce
moment la chaleur de ce liquide humain ne font la
moindre neige.
Aucune odeur ne vient a mes narines, car l'urine gèle.
Au loin le hurlement des chiens résonne entre les fjords.
Ce retour permet d'orienter les chasseurs. Je ne suis
pas seul à l'avoir entendu. Moaki, le fusil a la main, se
dirige vers ce bruit. Certainement que l'ourse est dans
les barges. Je me frappe les épaules pour réchauffer et
faire circuler mon sang. Un coup de feu claque, puis une
voix dit,
- Un avion militaire dans le ciel .
- Où ça, où ça ?
- Vers le sud au-dessus de la mer Père Sylvain.
Le jeune Mika en est enchantée, ses cries font sortir
l'ensemble des occupants de l'église. Cette venue nous
soulage tous. Promesse tenu par la Station Alizé, notre
avenir est assuré.
Nous attendons tous la venue de cette oiseau métallique.
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Son vrombissements se rapproche, le voilà qu'ilcontourne la crête du nez penché pour disparaître puis
réapparaître au-dessus du village. Il largue des sacs à
basse altitude sous l'attention de tous. Après plusieurs
passages l'avion disparaît vers le sud. Ensemble nous
le remercions par des signes de mains.
Au centre de l'église, l'inventaire de cette acquisition
venu du ciel nous permet d'obtenir le relevé suivant.
300 sacs de bois, 200 sacs de pâtes, 50 sacs de farines,
50 sac de riz, des sacs de saucisses séché, du poisson
séché, 20 kg de chocolats, du thé, du café, du sucre et
du lait en poudre. D'autres sacs renferment des pommes
de terre et des pommes, il n'ont pas oublié des bougies
et des allumettes. Je fais l'inventaire sur le caillé des
comptes .
Toute cette récupération nous a occupé toute la journée.
Moaki ne rentre pas bredouille, il a abattu l'ourse
Toute cette récupération nous a occupé toute la journée.
Moaki ne rentre pas bredouille, il a abattu l'ourse
responsable de la disparition d'un grand nombres de
chasseurs et de nos réserves, il n'avait que 3 griffes.
Il est 17 heures, je prend les écoutes du poste pour
contacter l'Alizé. J'ai hâte de les remercier.
station Sylvain vous me recevez ?
- Station Sylvain la station Alizé vous reçois 5 sur 5.
- La station Sylvain est ravi de votre livraison, station
Alizé. J'ai une bonne nouvelle a vous annoncer, le
chef du village Moaki ( Martin) a tué l'ourse a 3
griefs responsable de la disparition de chasseurs et de
Il est 17 heures, je prend les écoutes du poste pour
contacter l'Alizé. J'ai hâte de les remercier.
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- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé icistation Sylvain vous me recevez ?
- Station Sylvain la station Alizé vous reçois 5 sur 5.
- La station Sylvain est ravi de votre livraison, station
Alizé. J'ai une bonne nouvelle a vous annoncer, le
chef du village Moaki ( Martin) a tué l'ourse a 3
griefs responsable de la disparition de chasseurs et de
nos réserves.
- La station Alizé accepte vos remerciements nous
ferons part à l'armée qui ont mis a disposition
un de leurs avions. Dans les jours qui vont suivre
un ferry complétera le restant manquant.
- La station Sylvain vous envoie un grand merci
Station Alizé.
-
- La station Alizé accepte vos remerciements nous
ferons part à l'armée qui ont mis a disposition
un de leurs avions. Dans les jours qui vont suivre
un ferry complétera le restant manquant.
- La station Sylvain vous envoie un grand merci
Station Alizé.
-
114
Je quitte mes interlocuteurs avec une profonderéjouissance. La venue du ferry est une raisons de
ce bien être.
Avec le débâcle les journées augments et la lumière
du ciel transforme notre entourage. La mer redevient
verdâtre et navigable dans le fjords. Les maisons
d'habitation sont de nouveau occupées.
Pour le repas de midi je présente a mes convives les
pommes de terre et explique une manière de les faire.
Je les jette dans la marmite rempli d'eau avec une
pincé de sel et les met sur le feux. Je les épluche puis
les coupe en morceau. Je les écrase avec un peu de
lait en poudre, puis les écrase pour en faire de la
purée.
Une hésitation se remarque sur leur comportement.
Mika et Solaya très confiant, demande d'être servi en
premier. Je fais une prière de remerciement, puis laisse
Mika plonger son couteau dans la purée. Solaya en
fait autant et ensemble ils y goûtent . Tous les autres
suivent l'exemple. Moaki s'écrit;
115
- On n'a pas besoin de mordre, et c'est bon.La méfiance est levée, tous le monde en mange. Je
crois que ma cuisine a trouvé preneur. Maintenant
il faut que je leur apprend a se servir dans des assiettes
des fourchettes et des cuillères.
La nuit venue demande du repos dans mes pensées.
Comme les représentante nuit, Mayka réchauffe mon
lit. J'ai perdu un peu de ma stupidité et conclu qu'il
n'y a que ma timidité qui gère mon état d'âme. malgré
cela je garde une petite partie de mes vêtements.
Que me réserve cette nouvelle journée, j'ai hâte de
savoir, je commence par faire mes besoins habituelles
avec une température de 5 degrés. Ce réchauffement
me donne un bien être. Je sens une transformation, un
bonheur révélateur. Tous les soucis se sont envolés. La
pêche est fructifiant, plus de clinquantes poissons de
bonne taille sont pêché.
17 heures, je contacte la station Alizé.
- Station Alizé ici station Sylvain, station Alizé ici
Station Sylvain, vous me recevez ?
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- Ici station Alizé, station Sylvain je vous reçois 5sur 5. On est à 20 heures de navigation avec le
représentant de la station Alizé.
- Station Alizé, cette nouvelle nous encourage plus
que tout. La station Sylvain vous attend avec
impatience.
Cette nouvelle réconforte l'ensemble du village. Je ne
répète rien , le nouvelles vont vite. Le modernisme est
la clé de l'avenir. La venue du navire l'Alizé mérite
une grande fête. A la messe du soir je remarque que
des préparatifs sont en route. Les femmes se donnent
de la peine pour se rendre plus attirante et les
hommes se sont rasé de prêt.
Ce remue-ménage n'intrigue pas les enfants qui
trouvent dans ces préparatifs une raison d'en faire
autant. Les femmes enduisent leur corps d'une huile
qui provient de poisson ou peut être du phoque.
A 19 heures c'est le moment de la messe du soir. un
parfum inconnu me tourne vers les femmes qui le
portent. Comme elles sont habillé de vêtements de
117
peaux, cette odeur se mélange avec celui de la faunesauvage. Le chef Moaki m'a expliqué qu'un vrai
chasseur doit garder cette odeur pour épouser la
nature. Le savon se dispatcher dans la nature et les
animaux en sont conscients qu'il représente un
danger.
Comme les autres nuit je retrouve mon lit et Mayka.
Je n'hésite pas à y pénétrer et trouve dans cette
présence un confort. Elle aussi à cette odeur attirante
qui me fait tourner la tête. Celle-ci ensorcelle mon
comportement, mais que ce passe-t-il donc ? Mayka
émet des petits rires en les accompagnent de mots
doux. Sa douce main entoure mon corps. Cette
douceur me bouleverse. Mon hésitation est dut
à une règle, la promesse que j'ai faite envers Dieu. Je
garde cette volonté de le servir, il ne faut pas me
laisser entraîner par la tentation de se mélanger c'est
un péché. Que se passe-t-il ? Je cherche à trouver une
solution pour m'y réfugier. Des mots en sourdine suivi
de rires silencieux m'entourent. La main douce de
118
Mayka effleure mon corps pendant un moment. Jesens le déplacement de sa main par la chaleur
qu'elle émet. Je tremble de froid ou peut-être de ma
peur ? Sens aucun détournement de ma part, je laisse
Mayka poursuivre ses intentions. Combien de temps
vient-il de s'écouler ? Je ne sais pas au juste. Même mon
esprit est tombé dans un engrenage incontrôlable. La
main glisse le long de ma jambe. Je mime de dormir et
garde ma position. Cette douceur féminine glisse sur
mes hanches puis mon ventre suivi de ma poitrine. Le
même mouvement revient au point départ. Comment
est-elle couchée ? Je me le demande, enfin mon
cerveau réagis. La main se trouve vers le bas de mon
corps. Sut que se passe-t-il ?
Me voilà entraîné par une visse sens fin. Je me laisse
séduire par la volonté d'une femme et ses désirs. Je ne
navigue pas à contresens et la laisse faire en restant
sur le dos, sans bouger, ni réagir. Je conclu de faire le
premier pêché de ma vie de Père.
Avec cet acte je rentre dans leur coutume, ce qui me
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permet de les mettre en confiance et les guider versma religion. J'expliquerai plus tard ma faute à
l’archevêque de mon diocèse.
Mayka exprime sa satisfaction par un gémissement en
m'enlaçant. Cette pureté de la nature des choses ma
plongé dans un sommeil réconfortant et profond. Dire
que je n'ai jamais goûté à ce passage là, mais pour
quelle raison ? Pour quoi ce comportement peut-il
être interdit par certains
Au matin Mayka rayonne de bonheur et moi de
satisfaction. Elle dore encore, je ne la dérange pas et
prépare le feu et les miches de pains a enfourner.
Les villageois sont tous au aguets, ils attendent que le
ferry Alizé accoste.
Dans l'apprêt midi a 15 heures, le ferry fait hurler sa
trompe pendant trois répliques devant l'entrée du fjords,
elle se répercutent entre les falaises qui se répondent.
l'ensemble des villageois se regroupent sur le proton
pour les accueillir. Les chasseurs ont huilé leurs
traîneaux pour les mettre en valeur. Lorsque le ferry
120
a accosté les chargement est déchargé, puis remontédans le village.
Le dirigeant de la station radio émetteur Alizé propose
de nous rencontrer dans l'église avec le chef du village
Moaki. Il est question de faire un inventaire de la
population et de leur nom et prénom ainsi que de leur
région d'où ils proviennent. Leur âge et leur dates de
naissance.
Un grand nombre d'actes est reconnu dans le village,
il s'arrête pour les parents et les grand parents dont il
est impossible de connaître la date de leur naissance.
La dernière famille, composé de 7 personnes, deux
grand parents et un couple et trois enfants, avaient
accouché leur enfants dans la toundra et n'étaient
enregistre nul part.
Ce remembrement permet a la nation du Groenland de
mettre en valeur le village Narsarmijit.
Puis il est question de l'aménagement du village et de
son amélioration. La construction d'un aéroports pour
hélicoptère est proposé. Cette proposition rendre plus
accessible cette région et évitera le manque de
contacte avec le restant du pays. Il est aussi question
d'avoir un confort supportable.
Je leur remet les relevés journaliers de température, du
vent et de la composition des déchets que nous rapporte
la mer. Je ne manque pas de préciser le nombre de
phoques tué ainsi que de la quantité de poissons péché.
Je lui fais part de l'ourse blanc aux trois griffes qui fut
tué pas Moaki. l'envoyé de l'Alizé me demande,
- Père Sylvain avez-vous obtenue des indications
concernant la disparition de trois familles d'Inuits
composé de 15 personnes , trois mamans, trois pères
et neuf enfant, je n'oublie pas le Père Léon.
- Je n'ai pas plus de renseignement sur leur disparition
le mieux c'est de demander au chef du village, c'est
lui qui est le plus âge et le plus vieille habitant.
Moaki suivi notre conversation et ne tarde pas a répondre.
- Les trois familles ont décidé de faire l'école de chasse
dans la toundra avec leur enfants comme le font tous
les chasseurs. Il fut question de faire des réserves de
viandes pour l'hiver. Les trois familles sont repartie
retour d'expédition n'a permis de ramener que deux
familles. Leurs explications sur la disparition des
manquants c'est qu'ils ont subit l'agression d'une
ourse blanche avec trois griffes qui a tué la famille
complète ainsi que leur chiens. L'ourse les a suivie
jusque ici et a continuer a prendre par surprise
plusieurs chasseurs. Les traces sont marqué par
cette patte a trois griffes sur l'avant droit. Pour ce
qui est de la disparition du Père Léon personne ne
sut où il a passé ? Ce que je sais c'est que le Père
Léon a toujours remplie un rapport journalier sur
les événements du village dans un livre rouge. Je
ne sais pas ce qu'est devenu le livre. Ne l'avez vous
pas trouvé Père Sylvain en faisan l'inventaire de
l'église ?
- Je n'ai trouvé aucun livre rouge dans l'église,
pourtant j'ai fait le ménage de fond en comble
Moaki (Martin)
Puis il me vient une idée, il reste une clé sous la statue
fermé avec un cadenas ? Cette possibilité pourrait
nous instruire. Je propose d'ouvrir le coffre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur. .
Ce remembrement permet a la nation du Groenland de
mettre en valeur le village Narsarmijit.
Puis il est question de l'aménagement du village et de
son amélioration. La construction d'un aéroports pour
hélicoptère est proposé. Cette proposition rendre plus
accessible cette région et évitera le manque de
contacte avec le restant du pays. Il est aussi question
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de notre bien être pour permettre a nos maisonsd'avoir un confort supportable.
Je leur remet les relevés journaliers de température, du
vent et de la composition des déchets que nous rapporte
la mer. Je ne manque pas de préciser le nombre de
phoques tué ainsi que de la quantité de poissons péché.
Je lui fais part de l'ourse blanc aux trois griffes qui fut
tué pas Moaki. l'envoyé de l'Alizé me demande,
- Père Sylvain avez-vous obtenue des indications
concernant la disparition de trois familles d'Inuits
composé de 15 personnes , trois mamans, trois pères
et neuf enfant, je n'oublie pas le Père Léon.
- Je n'ai pas plus de renseignement sur leur disparition
le mieux c'est de demander au chef du village, c'est
lui qui est le plus âge et le plus vieille habitant.
Moaki suivi notre conversation et ne tarde pas a répondre.
- Les trois familles ont décidé de faire l'école de chasse
dans la toundra avec leur enfants comme le font tous
les chasseurs. Il fut question de faire des réserves de
viandes pour l'hiver. Les trois familles sont repartie
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ensemble avec leur chien et les traîneaux. Un premierretour d'expédition n'a permis de ramener que deux
familles. Leurs explications sur la disparition des
manquants c'est qu'ils ont subit l'agression d'une
ourse blanche avec trois griffes qui a tué la famille
complète ainsi que leur chiens. L'ourse les a suivie
jusque ici et a continuer a prendre par surprise
plusieurs chasseurs. Les traces sont marqué par
cette patte a trois griffes sur l'avant droit. Pour ce
qui est de la disparition du Père Léon personne ne
sut où il a passé ? Ce que je sais c'est que le Père
Léon a toujours remplie un rapport journalier sur
les événements du village dans un livre rouge. Je
ne sais pas ce qu'est devenu le livre. Ne l'avez vous
pas trouvé Père Sylvain en faisan l'inventaire de
l'église ?
- Je n'ai trouvé aucun livre rouge dans l'église,
pourtant j'ai fait le ménage de fond en comble
Moaki (Martin)
Puis il me vient une idée, il reste une clé sous la statue
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du phoque, ne permettrait elle pas d'ouvrir le coffrefermé avec un cadenas ? Cette possibilité pourrait
nous instruire. Je propose d'ouvrir le coffre.
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur. .
A SUIVRE au 7/8
A ce jour, 18 09 2019, 29 614 lecteurs.
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Libellés :
roman aventure
Pays/territoire :
68720 Heidwiller, France
Suite roman 5/8 d'aventure Etre pour paraitre ( Direction Banquise Groenland )
mirage au dessus des nuages sages n 3
mirage au dessus des nuages sages n 1
suite Direction banquise Groenland 5/8
Toutes les personnes présentes ont écouté le chapitre avec
respect. Cette attention de leur part crée en moi un
bonheur que seule une victoire peu produire, j'en suis fière.
Dans mes doutes ne trotte plus d'ombre contradictoire, une
lumière guide mes intentions comme par enchantement. Bien
sur que j'avais le tract au départ, ça a passé maintenant,
j'ai touché leur âme en leur lissant la saint lecture. Ce
résultat me donne une force hors du commun, merci mon
Dieu de m'avoir fait part de ce pouvoir. Le jeune Mouki
me demande
- Pour quelle raison le pain se multiplie Père Sylvain et
quelle est sa composition ?
- Le pain c'est de la farine de blé qui mélangé à de l'eau,
un peu de sel et de la levure gonfle pour devenir une
miche que l'on appelle du pain. Selon la couleur de
celui-ci la cuisson est parfaite.
laissent à l'oubli une masse vivante, le rat. Mais pour quelle
raison ne vient-il plus a mes pieds ? Cette réponse m'importe
peu, j'ai en compensation récolté la croyance de tout un
village.
Le matin mes habitudes ne sont bouleversé par aucune
mésaventure. Les enfants viennent apprendre leurs leçons
et les hommes sont partie à la chasse. Les femmes travaillent
dans leur habitation. Le hurlement des chiens se laisse
emporter par le vent froid pour résonner dans les fjords.
Il est 17 heures me voilà devant mon poste émetteur radio.
Les nouvelles me fond comprendre qu'il est impossible de
nous livrer car le vent reste maître de la situation par sa
violence. Nous devons élaborer un plan de regroupement
pour pouvoir nous chauffer ensemble dans l'église. On peut
économiser du bois de chauffage. Je fais part de cette formule
a tout le village qui accepte la proposition.
A dix-huit heures toute la tribut d'Inuits se trouve dans
l'église. Cette présence me donne un comportement
triomphateur. J'en suis ému. Je suis parvenu à accomplir
La messe débute comme je l'ai toujours faite avec un
chant de remerciement et une prière. Je site un passage
de la bible où toutes les personnes pardonnent a d'autres
ce qu'ils ont commis de mal mais aussi un remerciement
pour ce qu'ils ont fait de bien. Dans ce passage là je cite
le nom de ce village et de ses habitants. A la fin de la messe
je les remercie grandement pour leur présence et distribue
du pain fraîchement cuite dans le four pendant le sacrement.
Je leur parle de ce que l'avenir nous réservera dans les
prochains temps et qui le regroupement dans l'église sera
la solution pour économiser du bois car le ferry a du mal
a nous livrer, la mer est de glace. Le vent violant empêche
la venu de l'avion .
Personne ne contredit ma proposition à part une personne
Moyaki qui se lève au fond pour me faire cette remarque.
- Le malheur se trouve parmi nous, il nous porte de
nouveau la même rancune comme il y a quelques
années. Sa première remarque est que peu de bois a
pu être ramassé, la seconde c'est ce vent froid qui nous
offrande a la mer.
Sur cette réflexion ce petit homme, hérissé de poiles de
renard blanc quitte rapidement sa place. Il ne désire
continuer d'écouter mes propositions ni l'accord de
l'ensemble du village. Sa mauvaise humeur en est pour
quelque chose car la porte de l'église vibre sous les
claquements violant de cette énergumène. La réaction
qu'il entreprend creuse en moi une déception, je dis même
une peur que remarque entraîne une discorde dans notre
entourage. Je dois rapidement rétablir la barre pour
atténuer la population . Je m'exprime ainsi,
- Mes chères fidèles, je suis ravi de votre présence
dans cette église. Se retrouver c'est vouloir partager
son propre bonheur avec autrui. Certaines personnes
évoquent dans leur parole un mot sens valeur aux yeux
de notre communauté, le malheur. Avec la coordination
de nous tous, notre volonté surpassera les épreuves
aussi bien que la peur. Justement, venons en a cette
révolte, c'est tout simplement la crainte qui l'enivre. Il ne
Il exclame cette faiblesse par des mots sans valeur.
Réfléchissons ensemble sur ce qui l'intrique pour lui venir
en aide. Je vous propose de nous regrouper tous les soirs
à la même heure dans votre église. Comme c'est le
bâtiment qui possède le plus de surface il est sage de
vivre ensemble durant cette période.
l'ensemble de mes fidèles restent sans parole contradictoire
tous se fit à mon raisonnement. Ma prêche porte ses fruits
car je n'ai pas tort. Rien que se retrouver ensemble dans
l'église réchauffe nos cœurs et notre réconfort. Je suis
personnellement envahie par ce phénomène.
- A par la personne qui nous a quitté, tout le village est-il
présent ?
c'est pour le comptage de la population que je dis cela.
- Oui Père Sylvain tout le monde est là.
C'est une personne du premier rang qui me fait part, je
compte et trouve 63 personnes. L'église n'est
pas pleine.
- Vous pouvez vous installer, cherchez-vous affaires.
- Père Sylvain je peux dormir à coté du poste radio
émetteur ?
- Bien entendu tu peux occuper cette place-là.
L'église se vide et quelques minutes plus tard toute la
population est revenu.
Cela fait bien deux semaines que notre cohabitation
forme un groupe homogène. Je fais tous les matins
cuire le pain dans la cuisinière , son odeur nous enivre
a telle point que les villageois raffolent d'un morceau de
cette grande miche partagé avec bonheur. De cette
routine toutes les personnes participent à la coordination
de nos engagements, même Moyaki la personne qui nous
eut fait une opposition.
La météo reste endurcie par cette tempête de vent qui
gèle tout sur son passage. Très borné, Moyaki ne
se laissa intimité par ce froid et partie à la pêche
comme de coutume. Mes cours d'écriture l'intriquaient.
Les chiens de traîneaux sont revenu sent leur maître. Un
l'endroit de sa pêche ils ne retrouvaient que quelques
morceau de son attirail, et relevèrent des traces d'ourses
blanc qui l'eurent agressé.
La tristesse enveloppa les villageois et à leur demande
je fis une messe a sa mémoire.
Comme le bois manque, nous décidions de démonter la
remise en bois du disparu pour en faire du feu. On fit
de même avec les réserves de poissons séché que sa
famille nous rapporte. Nos réserves diminuaient
rapidement car les ourses blancs venaient se servir.
Je fis part de cette attention a la station
Alizé qui me dis que tout est prêt pour l'avion mais la
tempête nous bloque. Plusieurs vaillant chasseurs sont
partie à la chasse et la pêche, ils ne devaient pas
dépasser une heure définie et revenir a l'église. Malgré
notre sécurité, l'ourse fit disparaître des chasseurs. A
ce jour nous ne somme plus que 22 femmes, 23 enfants
et 10 hommes chasseurs. Je me suis pas compté.
Le soir a 17 heures je fait mon exposé sur la situation
- Station Alizé, nous ne somme plus que 22 femmes, 23
enfants et 10 chasseurs.
- De quoi sont ils mort ?
- D'une ourse qui les a agressé, on ne sais pas ci elle a
agit seule ou a plusieurs. Car malgré les fusilles les
chasseurs ont été pris par surprise.
Cette phrase là trotte dans ma tête, a quoi bon implorer
la radio, rien ni fait la patience est notre seul espoir. Une
jeune femme pleure depuis un bout de temps, son unique
enfant de deux ans vient de mourir. Nous voilà plus que
54 personnes. Il fait du moins 40 et le vent continue de
tout bouleverser. Je prie pour les disparues et compati
sa double peine car son compagnon a disparue avec les
chausseurs. J'ai une envie de pouvoir lui venir en aide et
me rendre utile mais rencontre un mur infranchissable de
la chasteté d'un missionnaire promettre fidélité a Dieu.
Je décide de devenir a mon tour un chasseur car
multiplier le pain ne suffit pas il faut aussi multiplier le
poisson. Devoir tuer pour survire, je demande parton a
sortie de chasse en emportant nos fusils. Le jeune Mika
fait partie du groupe. Ce vent froid tétanise nos mains
dans nos moufles de peaux, on a du mal d'atteler les
chiens aux traîneaux. Les moins 40 degrés sont atteint,
mes pieds sont comme raide. J'ai l'impression qu'ils ne
sont plus présents. Le peu de peau visible est gelée et
mes narines sont collées. Mes accompagnateurs frappent
leur corps pour faire circuler le sang. Nous décidons de
se diriger vers la mer en se laissant glisser sur la surface
gelée dans les fjords. Le vent violant ne cesse de nous
enlacer. L’ensemble du groupe fut relié par des cordes
une sécurité qui permet de nous sentir assisté. Le but de
notre expédition est de trouver du phoque car les visites
des ourses sur nos réserves de poisson ont cessé ce qui
indique la venu des phoques. Mon impatience
est traître, je ne mérite le titre de chasseur. Il me tarde a
rebrousser chemin. La nature à ses caprices , il eut
façonné des monticules de glace qui ressemble à des
œuvres d'art . Le tournoiement du vent eut provoqué
imagination. Mon hallucination doit certainement
provenir de mon manque de vitamine. Serais se le
diable qui me joue des tours ? Je le crois bien. Un
chasseur me fait des signes avec ses bras, pour quelle
raison ne parle-t-il pas ? J'ai envie de le questionner
sur ses gestes en criant for pour me faire comprendre
mais, la valeur du silence tient la raison des gestes.
Moaki empoigne son fusil, je me garde de parler et
dirige mon regard dans la direction qu'est pointée son
arme. Rien ne dévisage un animal, tout me parait
uniforme. Le claquement sec du fusil fait soulever un
monticule grisâtre. Du sang jaillit de cette masse en
s'écoulant le long de ce tas de victuailles. Une force
nouvelle transforme nos vies car en un rien de temps
nous voilà près de cet animal qui suffoque dans un
râle continu. Un chasseur tire un nouveau coup de feu
la détonation résonne dans le fjords. Certains
phoques plongent dans la mer et d'autres n'y prêtent
attention. Les chasseurs sortent de leur étuis de long
viande chaude. Une sorte de vapeur s'en échappe. La
viande est rouge sang. Je suppose qu'il y a une bonne
demie tonne de viande de quoi nourrir pendant
quelques jours notre communauté. D'après moi cet
éléphant de mer est un spécimen remarquable. Moaki
me regarde d'un air victorieux puis me tend un morceau
de cette viande fumante,
- Manges Père Sylvain si tu veux vivre et vaincre ta
faim.
Je ne sus répondre et après avoir enlevé mes moufles de
peau, je prends se lambeau de chair, j'ouvre ma bouche
pour pouvoir mordre, mais les muscles de la mâchoire
son endormir par le froid. A ce moment-là, les entrailles
de l'animal apparaissent et le cœur palpite encore
comme les poumons. Suite au percement avec la pointe
de couteau, un sifflement fait diminuer le volume d'air.
Cette vision transmet en moi un soulagement et une
suite Direction banquise Groenland 5/8
Les romans sont des fictions
90
LA MULTIPLICATION DE POISSON ET DU PAINToutes les personnes présentes ont écouté le chapitre avec
respect. Cette attention de leur part crée en moi un
bonheur que seule une victoire peu produire, j'en suis fière.
Dans mes doutes ne trotte plus d'ombre contradictoire, une
lumière guide mes intentions comme par enchantement. Bien
sur que j'avais le tract au départ, ça a passé maintenant,
j'ai touché leur âme en leur lissant la saint lecture. Ce
résultat me donne une force hors du commun, merci mon
Dieu de m'avoir fait part de ce pouvoir. Le jeune Mouki
me demande
- Pour quelle raison le pain se multiplie Père Sylvain et
quelle est sa composition ?
- Le pain c'est de la farine de blé qui mélangé à de l'eau,
un peu de sel et de la levure gonfle pour devenir une
miche que l'on appelle du pain. Selon la couleur de
celui-ci la cuisson est parfaite.
91
Cette nuit-là je remercie Dieu plus d'une fois. Mes habitudeslaissent à l'oubli une masse vivante, le rat. Mais pour quelle
raison ne vient-il plus a mes pieds ? Cette réponse m'importe
peu, j'ai en compensation récolté la croyance de tout un
village.
Le matin mes habitudes ne sont bouleversé par aucune
mésaventure. Les enfants viennent apprendre leurs leçons
et les hommes sont partie à la chasse. Les femmes travaillent
dans leur habitation. Le hurlement des chiens se laisse
emporter par le vent froid pour résonner dans les fjords.
Il est 17 heures me voilà devant mon poste émetteur radio.
Les nouvelles me fond comprendre qu'il est impossible de
nous livrer car le vent reste maître de la situation par sa
violence. Nous devons élaborer un plan de regroupement
pour pouvoir nous chauffer ensemble dans l'église. On peut
économiser du bois de chauffage. Je fais part de cette formule
a tout le village qui accepte la proposition.
A dix-huit heures toute la tribut d'Inuits se trouve dans
l'église. Cette présence me donne un comportement
triomphateur. J'en suis ému. Je suis parvenu à accomplir
92
ce que celui qui ma présidée n'eut réussit.La messe débute comme je l'ai toujours faite avec un
chant de remerciement et une prière. Je site un passage
de la bible où toutes les personnes pardonnent a d'autres
ce qu'ils ont commis de mal mais aussi un remerciement
pour ce qu'ils ont fait de bien. Dans ce passage là je cite
le nom de ce village et de ses habitants. A la fin de la messe
je les remercie grandement pour leur présence et distribue
du pain fraîchement cuite dans le four pendant le sacrement.
Je leur parle de ce que l'avenir nous réservera dans les
prochains temps et qui le regroupement dans l'église sera
la solution pour économiser du bois car le ferry a du mal
a nous livrer, la mer est de glace. Le vent violant empêche
la venu de l'avion .
Personne ne contredit ma proposition à part une personne
Moyaki qui se lève au fond pour me faire cette remarque.
- Le malheur se trouve parmi nous, il nous porte de
nouveau la même rancune comme il y a quelques
années. Sa première remarque est que peu de bois a
pu être ramassé, la seconde c'est ce vent froid qui nous
92
fragilise . Moi je ne vois qu'une solution, faire uneoffrande a la mer.
Sur cette réflexion ce petit homme, hérissé de poiles de
renard blanc quitte rapidement sa place. Il ne désire
continuer d'écouter mes propositions ni l'accord de
l'ensemble du village. Sa mauvaise humeur en est pour
quelque chose car la porte de l'église vibre sous les
claquements violant de cette énergumène. La réaction
qu'il entreprend creuse en moi une déception, je dis même
une peur que remarque entraîne une discorde dans notre
entourage. Je dois rapidement rétablir la barre pour
atténuer la population . Je m'exprime ainsi,
- Mes chères fidèles, je suis ravi de votre présence
dans cette église. Se retrouver c'est vouloir partager
son propre bonheur avec autrui. Certaines personnes
évoquent dans leur parole un mot sens valeur aux yeux
de notre communauté, le malheur. Avec la coordination
de nous tous, notre volonté surpassera les épreuves
aussi bien que la peur. Justement, venons en a cette
révolte, c'est tout simplement la crainte qui l'enivre. Il ne
93
sait sur qui compter ni avec qui reposera se mal profond.Il exclame cette faiblesse par des mots sans valeur.
Réfléchissons ensemble sur ce qui l'intrique pour lui venir
en aide. Je vous propose de nous regrouper tous les soirs
à la même heure dans votre église. Comme c'est le
bâtiment qui possède le plus de surface il est sage de
vivre ensemble durant cette période.
l'ensemble de mes fidèles restent sans parole contradictoire
tous se fit à mon raisonnement. Ma prêche porte ses fruits
car je n'ai pas tort. Rien que se retrouver ensemble dans
l'église réchauffe nos cœurs et notre réconfort. Je suis
personnellement envahie par ce phénomène.
- A par la personne qui nous a quitté, tout le village est-il
présent ?
c'est pour le comptage de la population que je dis cela.
- Oui Père Sylvain tout le monde est là.
C'est une personne du premier rang qui me fait part, je
compte et trouve 63 personnes. L'église n'est
pas pleine.
- Vous pouvez vous installer, cherchez-vous affaires.
94
Le jeune Mika vient près de moi pour me dire,- Père Sylvain je peux dormir à coté du poste radio
émetteur ?
- Bien entendu tu peux occuper cette place-là.
L'église se vide et quelques minutes plus tard toute la
population est revenu.
Cela fait bien deux semaines que notre cohabitation
forme un groupe homogène. Je fais tous les matins
cuire le pain dans la cuisinière , son odeur nous enivre
a telle point que les villageois raffolent d'un morceau de
cette grande miche partagé avec bonheur. De cette
routine toutes les personnes participent à la coordination
de nos engagements, même Moyaki la personne qui nous
eut fait une opposition.
La météo reste endurcie par cette tempête de vent qui
gèle tout sur son passage. Très borné, Moyaki ne
se laissa intimité par ce froid et partie à la pêche
comme de coutume. Mes cours d'écriture l'intriquaient.
Les chiens de traîneaux sont revenu sent leur maître. Un
95
groupe tenta de le retrouver dans ce blizzard. Arrivé surl'endroit de sa pêche ils ne retrouvaient que quelques
morceau de son attirail, et relevèrent des traces d'ourses
blanc qui l'eurent agressé.
La tristesse enveloppa les villageois et à leur demande
je fis une messe a sa mémoire.
Comme le bois manque, nous décidions de démonter la
remise en bois du disparu pour en faire du feu. On fit
de même avec les réserves de poissons séché que sa
famille nous rapporte. Nos réserves diminuaient
rapidement car les ourses blancs venaient se servir.
Je fis part de cette attention a la station
Alizé qui me dis que tout est prêt pour l'avion mais la
tempête nous bloque. Plusieurs vaillant chasseurs sont
partie à la chasse et la pêche, ils ne devaient pas
dépasser une heure définie et revenir a l'église. Malgré
notre sécurité, l'ourse fit disparaître des chasseurs. A
ce jour nous ne somme plus que 22 femmes, 23 enfants
et 10 hommes chasseurs. Je me suis pas compté.
Le soir a 17 heures je fait mon exposé sur la situation
96
critique qui nous entoure.- Station Alizé, nous ne somme plus que 22 femmes, 23
enfants et 10 chasseurs.
- De quoi sont ils mort ?
- D'une ourse qui les a agressé, on ne sais pas ci elle a
agit seule ou a plusieurs. Car malgré les fusilles les
chasseurs ont été pris par surprise.
Cette phrase là trotte dans ma tête, a quoi bon implorer
la radio, rien ni fait la patience est notre seul espoir. Une
jeune femme pleure depuis un bout de temps, son unique
enfant de deux ans vient de mourir. Nous voilà plus que
54 personnes. Il fait du moins 40 et le vent continue de
tout bouleverser. Je prie pour les disparues et compati
sa double peine car son compagnon a disparue avec les
chausseurs. J'ai une envie de pouvoir lui venir en aide et
me rendre utile mais rencontre un mur infranchissable de
la chasteté d'un missionnaire promettre fidélité a Dieu.
Je décide de devenir a mon tour un chasseur car
multiplier le pain ne suffit pas il faut aussi multiplier le
poisson. Devoir tuer pour survire, je demande parton a
97
Dieu. Je propose ma candidature pour la prochainesortie de chasse en emportant nos fusils. Le jeune Mika
fait partie du groupe. Ce vent froid tétanise nos mains
dans nos moufles de peaux, on a du mal d'atteler les
chiens aux traîneaux. Les moins 40 degrés sont atteint,
mes pieds sont comme raide. J'ai l'impression qu'ils ne
sont plus présents. Le peu de peau visible est gelée et
mes narines sont collées. Mes accompagnateurs frappent
leur corps pour faire circuler le sang. Nous décidons de
se diriger vers la mer en se laissant glisser sur la surface
gelée dans les fjords. Le vent violant ne cesse de nous
enlacer. L’ensemble du groupe fut relié par des cordes
une sécurité qui permet de nous sentir assisté. Le but de
notre expédition est de trouver du phoque car les visites
des ourses sur nos réserves de poisson ont cessé ce qui
indique la venu des phoques. Mon impatience
est traître, je ne mérite le titre de chasseur. Il me tarde a
rebrousser chemin. La nature à ses caprices , il eut
façonné des monticules de glace qui ressemble à des
œuvres d'art . Le tournoiement du vent eut provoqué
98
des cristaux qui agglutiné font travailler notreimagination. Mon hallucination doit certainement
provenir de mon manque de vitamine. Serais se le
diable qui me joue des tours ? Je le crois bien. Un
chasseur me fait des signes avec ses bras, pour quelle
raison ne parle-t-il pas ? J'ai envie de le questionner
sur ses gestes en criant for pour me faire comprendre
mais, la valeur du silence tient la raison des gestes.
Moaki empoigne son fusil, je me garde de parler et
dirige mon regard dans la direction qu'est pointée son
arme. Rien ne dévisage un animal, tout me parait
uniforme. Le claquement sec du fusil fait soulever un
monticule grisâtre. Du sang jaillit de cette masse en
s'écoulant le long de ce tas de victuailles. Une force
nouvelle transforme nos vies car en un rien de temps
nous voilà près de cet animal qui suffoque dans un
râle continu. Un chasseur tire un nouveau coup de feu
la détonation résonne dans le fjords. Certains
phoques plongent dans la mer et d'autres n'y prêtent
attention. Les chasseurs sortent de leur étuis de long
99
couteaux, sans tarder ils lacèrent cette masse deviande chaude. Une sorte de vapeur s'en échappe. La
viande est rouge sang. Je suppose qu'il y a une bonne
demie tonne de viande de quoi nourrir pendant
quelques jours notre communauté. D'après moi cet
éléphant de mer est un spécimen remarquable. Moaki
me regarde d'un air victorieux puis me tend un morceau
de cette viande fumante,
- Manges Père Sylvain si tu veux vivre et vaincre ta
faim.
Je ne sus répondre et après avoir enlevé mes moufles de
peau, je prends se lambeau de chair, j'ouvre ma bouche
pour pouvoir mordre, mais les muscles de la mâchoire
son endormir par le froid. A ce moment-là, les entrailles
de l'animal apparaissent et le cœur palpite encore
comme les poumons. Suite au percement avec la pointe
de couteau, un sifflement fait diminuer le volume d'air.
Cette vision transmet en moi un soulagement et une
penne, je prend le courage pour avaler une bouchée de
cette pauvre bête.
est chaude.
Me fait comprendre le jeune Mika qui dit,
- Il faut faire vite car on retourne sur nos pas, si tu ne
n'en mange pas ta force t'abandonnera.
Je me garde de répondre et avale une bouché de cette
viande fumante. Effectivement se repas rempli le vide
de mon estomac. Je ne peux d'écrire un goût car elle
a celui de la chaire et de poisson. En mordant du
sang dégouline. Les autres entrailles sont distribuées
aux chiens qui se chamaillent pour obtenir une bouchée.
Les quartiers de viande sont répartie sur les traîneaux.
Nous reprenons la glisse a travers un épais brouillard qui
diminue notre visibilité. Je n'ai aucun reperd, sans la
corde qui nous attache je me serais égaré. C'est le chien
de tête qui guide l'ensemble de l'équipage. Le retour me
parut plus rapide, serai ce le fait de ne pas rentrer
bredouilles ?
Le déchargement se fait avec plus de difficulté, la viande
a gelé et c'est collé ensemble. Nos retrouvailles se passent
de joie.
- Père Sylvain a partir de maintenant le repas journalier
est garantie.
- Mais Mika cette viande ne suffira pas pour terminer
l'hiver ?
- Il y en aura d'autres phoques, car cet éléphant de mer
est l'avant garde de la colonie.
Ce soir-là après la messe, une petite fête a lieu. Des danses
de joie enthousiasment le cœur de chacun d'entre nous. Je
suis le même comportement car une transformation se fait
en moi. La jeune femme qui eut perdu son enfant et son mari
trouve dans mes paroles une source de réconfort et de
consolation. Je reconnais que sa tristesse m'a bouleversé
profondément, mon instinct humain en tire des remords
pourtant je ne suis pas responsable de son malheur. Elle
me réserve un entourage continuelle. Sa tristesse a disparu
et son regard reste souriant, elle m'observe sans relâche.
Je me laisse séduire par elle et répond par un sourire. Cette
action me rendit joyeux. Cette sensation inconnu a ce jour
pensées et récolte un doute sur ma vocation. Je ne suis
plus le même par plusieurs facteurs , le premier c'est
d'avoir participé à la chasse et le second de me laisser
entraîner par le sourire d'une femme. Je crois que j'ai
pêché mon Dieu. Cette réflexion ne vient pas a bout de
mes intentions, le diable est sur le point de me guider
vers une vision féminine ? Dois-je m'en méfier ?
Une force guide mon subconscient et éloigne mon
intention d'abandonner. La vision féminine empiète mes
intentions. Je ne trouve pas de contre courant qui évite
son regard ni même son frottement continuel. Je me
rappelle du discoure qu'un prêtre eut fait au séminaire,
- Méfiez-vous des femmes elles ont le diable dans leur
sang et arrive par une ruse quelconque à vous
détourner de votre droit chemin.
Il doit avoir raison, mais de là a suivre ses indications
laissent mes intentions pervers. Des danses suivent et
l'accompagnement d'ustensiles de cuisine donna le la
de cette ritournelle. Mais, dans le poste émetteur je peux
A peine me suis-je placé devant le poste qu'une foule de
petit curieux m'entourent. Je trifouille sur les touches
et fois promener les aiguilles du cadran. Un mélange
de sons de grincements et de sifflement étourdi nos
oreilles. Puis suit un ensemble de musique nous entraîne
dans des rythmes endoctrinant. Cette église est devenu
un lieu festif, une salle de fête.
Le temps est un ressort, une fois détendu il nous traîne
vers le sommeil qui abaisse nos paupières. Je constate
qu'une anomalie se passe dans le comportement des
couples. Les couples changent de partenaire. La jeune
Mayka a pris place sous la couverture en peau de mon
lit. Elle a étalé ses vêtements sur un banc. Les enfants
son endormis et de nombreux petits rire féminins se
distinguent à plusieurs endroits de l'église. Mais que
ce passe-t-il donc ? Je suis tout gêné sur leur
comportement et trouve cela choquant. Ce qui me
frappe le plus c'est qu'une occupe mon lit. D'une voix
timide je lance cette question,
Elle hoche ses épaules tous en me lançant un sourire
amical. N'a-t-elle pas comprit ce que je viens de lui
demander ?
- Mayka je dors toujours seul.
- Il ne faut pas rester seul cela te donne froid, je
suis là pour te réchauffer, tu es devenu un grand
chasseur maintenant.
Que dois-je faire mon Dieu, cette remarque me
trouble. Je ressens une honte, un complexe et bien
d'autres réactions inconnues à ce jour. Dans
l'ensemble de l'église aucun luminaire n'est témoin
de nos agissements, le noir couvre tout évènement.
J'enlève mes habits que je place sur le coffre en bois
éloigné de mon lit. Mes yeux ont du mal à le
distinguer. Dans les moments de mon déplacement
mes pensées deviennent sombres et contradictoire.
J'hésite, dois-je me coucher dans mes couvertures
de peaux ? Et que dira plus tard mon parrain
l'archevêque de mon diocèse ? Vis a vis de notre
confiance que m'accorde les villageois. Il faut que
je suive mes intentions. Mon pied touche le bord
du lit, il ne reste plus que, je me laisse entraîner et
soulève la couverture de peau pour découvrir la
forme d'un corps de femme nue. Cette apparition
me fait abaisser mes paupières, j'ai honte. Je me
place dans la couverture en peau et rencontre une
chaleur humaine et réconfortante. La largeur du
lit est telle qu'il reste peu de place pour deux
personnes. Malgré cela le me garde de venir en
contacte avec Mayka. Le sommeil n'a pas trouvé
preneur sur ma personne ni de Mayka.
La chaleur humaine produit 5 degrés dans l'église
et a l'extérieure le blizzard souffle encore. Je
rallume le fourneau pour cuire mon pain qui a
gonflé dans la nuit. D'autres hommes sont réveillé
ils se lavent avec de l'eau non chauffé. Je regarde
sur ma montre et remarque que la journée est bien
entamée. Cela ne m'est jamais arrivé, que s'est il
Il est 17 heures, le moment de contacter la station
Alizé. Je mets en fonction la radio émetteur prend
mes écouteurs et change de place l'aiguille pour
me trouver sur la bonne longueur d'onde.
- Station Alizé m'entendez vous, Station Alizé
m'entendez vous, ici Station Sylvain.
- La station Alizé vous reçois 5 sur 5, avez vous
de bonne nouvelle ?
- Après une bonne chasse tout le monde est
revenu, il n'y eut pas d'agression d'ourse. On
a fais une bonne chasse.
- Station Sylvain avez-vous rencontré des
éléphants de mer ?
- Station Alizé nous venons d'en tuer un, il fut
temps car les victuailles venaient a manquer.
- Station Sylvain, avec la venue des éléphants
de mer, la météo va s'arranger, nous allons
livrer votre demande par avion.
- Station Sylvain nous avons repère des
naviguent sous le pavions Européens.
A coté de moi le jeune Mika écoute attentivement
notre discutions, je n'ai plus à résumer ma
correspondance et lui pose ,
- Mika que dis tu de tous cela ?
- La vie va reprendre comme dans le passé, le
débâcle cédera la place a l'été et notre joie
aussi.
- Qu'entends-tu par la joie aussi ?
- Les gros navires de pêche n'appareillent pas
loin de notre village , nous leur rendrons
visite avec nos kayaks et nous recevrons de
nombreux cadeaux.
- Pour quelle raison t'apportent-ils des cadeaux ?
- Ci leur présence se fait par ici c'est que la vie
reprend dans la mer. La pêche a la baleines reprend
et des colonie de phoques s'installeront vers le
sud de notre crique. De la viande fraîche a volonté.
Les explications éclairent certain de mes doutes, je
me demande, que vont nous t ils nous réserver ? Les
nouvelles vont vite, car en un rien de temps toute la
tribut se réjouit de l'arrivée des navires de pêche.
A la messe du soir, le silence n'est plus une coutume, les
femmes se sont regroupé dans une partie de l'église, et
les enfants au centre et les hommes dans un autre coin
sur la droite. Des chuchotements coupent l'importance
de mes prêches. Je me tourne vers ces fidèles en chahut.
- Chères frères et chère sœur, de bonne nouvelles sont
proche du village. Grâce a notre patience l'avenir
nous réserve une victoire, celle d'entamer une suite
de réussite. Pour le moment le vent ne s'est pas encore
éloigné ni le froid. Que Dieu nous protège tous.
Lorsque mon discoure se termine un vrai remua ménage
se fait. Les personnes discutent a haute voix.
suite au 6/8
Auteur, Jean Jacques Mutz écrivain amateur
100
- Père Sylvain mange la viande aussi longtemps qu'elleest chaude.
Me fait comprendre le jeune Mika qui dit,
- Il faut faire vite car on retourne sur nos pas, si tu ne
n'en mange pas ta force t'abandonnera.
Je me garde de répondre et avale une bouché de cette
viande fumante. Effectivement se repas rempli le vide
de mon estomac. Je ne peux d'écrire un goût car elle
a celui de la chaire et de poisson. En mordant du
sang dégouline. Les autres entrailles sont distribuées
aux chiens qui se chamaillent pour obtenir une bouchée.
Les quartiers de viande sont répartie sur les traîneaux.
Nous reprenons la glisse a travers un épais brouillard qui
diminue notre visibilité. Je n'ai aucun reperd, sans la
corde qui nous attache je me serais égaré. C'est le chien
de tête qui guide l'ensemble de l'équipage. Le retour me
parut plus rapide, serai ce le fait de ne pas rentrer
bredouilles ?
Le déchargement se fait avec plus de difficulté, la viande
a gelé et c'est collé ensemble. Nos retrouvailles se passent
101
comme une fête car tous l'ensemble de la tribut sourientde joie.
- Père Sylvain a partir de maintenant le repas journalier
est garantie.
- Mais Mika cette viande ne suffira pas pour terminer
l'hiver ?
- Il y en aura d'autres phoques, car cet éléphant de mer
est l'avant garde de la colonie.
Ce soir-là après la messe, une petite fête a lieu. Des danses
de joie enthousiasment le cœur de chacun d'entre nous. Je
suis le même comportement car une transformation se fait
en moi. La jeune femme qui eut perdu son enfant et son mari
trouve dans mes paroles une source de réconfort et de
consolation. Je reconnais que sa tristesse m'a bouleversé
profondément, mon instinct humain en tire des remords
pourtant je ne suis pas responsable de son malheur. Elle
me réserve un entourage continuelle. Sa tristesse a disparu
et son regard reste souriant, elle m'observe sans relâche.
Je me laisse séduire par elle et répond par un sourire. Cette
action me rendit joyeux. Cette sensation inconnu a ce jour
102
me transforme, que m'arrive t'il ? Je me plonge dans mespensées et récolte un doute sur ma vocation. Je ne suis
plus le même par plusieurs facteurs , le premier c'est
d'avoir participé à la chasse et le second de me laisser
entraîner par le sourire d'une femme. Je crois que j'ai
pêché mon Dieu. Cette réflexion ne vient pas a bout de
mes intentions, le diable est sur le point de me guider
vers une vision féminine ? Dois-je m'en méfier ?
Une force guide mon subconscient et éloigne mon
intention d'abandonner. La vision féminine empiète mes
intentions. Je ne trouve pas de contre courant qui évite
son regard ni même son frottement continuel. Je me
rappelle du discoure qu'un prêtre eut fait au séminaire,
- Méfiez-vous des femmes elles ont le diable dans leur
sang et arrive par une ruse quelconque à vous
détourner de votre droit chemin.
Il doit avoir raison, mais de là a suivre ses indications
laissent mes intentions pervers. Des danses suivent et
l'accompagnement d'ustensiles de cuisine donna le la
de cette ritournelle. Mais, dans le poste émetteur je peux
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trouver de la musique ?A peine me suis-je placé devant le poste qu'une foule de
petit curieux m'entourent. Je trifouille sur les touches
et fois promener les aiguilles du cadran. Un mélange
de sons de grincements et de sifflement étourdi nos
oreilles. Puis suit un ensemble de musique nous entraîne
dans des rythmes endoctrinant. Cette église est devenu
un lieu festif, une salle de fête.
Le temps est un ressort, une fois détendu il nous traîne
vers le sommeil qui abaisse nos paupières. Je constate
qu'une anomalie se passe dans le comportement des
couples. Les couples changent de partenaire. La jeune
Mayka a pris place sous la couverture en peau de mon
lit. Elle a étalé ses vêtements sur un banc. Les enfants
son endormis et de nombreux petits rire féminins se
distinguent à plusieurs endroits de l'église. Mais que
ce passe-t-il donc ? Je suis tout gêné sur leur
comportement et trouve cela choquant. Ce qui me
frappe le plus c'est qu'une occupe mon lit. D'une voix
timide je lance cette question,
104
- Mais que fais-tu là ?Elle hoche ses épaules tous en me lançant un sourire
amical. N'a-t-elle pas comprit ce que je viens de lui
demander ?
- Mayka je dors toujours seul.
- Il ne faut pas rester seul cela te donne froid, je
suis là pour te réchauffer, tu es devenu un grand
chasseur maintenant.
Que dois-je faire mon Dieu, cette remarque me
trouble. Je ressens une honte, un complexe et bien
d'autres réactions inconnues à ce jour. Dans
l'ensemble de l'église aucun luminaire n'est témoin
de nos agissements, le noir couvre tout évènement.
J'enlève mes habits que je place sur le coffre en bois
éloigné de mon lit. Mes yeux ont du mal à le
distinguer. Dans les moments de mon déplacement
mes pensées deviennent sombres et contradictoire.
J'hésite, dois-je me coucher dans mes couvertures
de peaux ? Et que dira plus tard mon parrain
l'archevêque de mon diocèse ? Vis a vis de notre
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Dieu je devient impure, renoncer c'est perdre laconfiance que m'accorde les villageois. Il faut que
je suive mes intentions. Mon pied touche le bord
du lit, il ne reste plus que, je me laisse entraîner et
soulève la couverture de peau pour découvrir la
forme d'un corps de femme nue. Cette apparition
me fait abaisser mes paupières, j'ai honte. Je me
place dans la couverture en peau et rencontre une
chaleur humaine et réconfortante. La largeur du
lit est telle qu'il reste peu de place pour deux
personnes. Malgré cela le me garde de venir en
contacte avec Mayka. Le sommeil n'a pas trouvé
preneur sur ma personne ni de Mayka.
La chaleur humaine produit 5 degrés dans l'église
et a l'extérieure le blizzard souffle encore. Je
rallume le fourneau pour cuire mon pain qui a
gonflé dans la nuit. D'autres hommes sont réveillé
ils se lavent avec de l'eau non chauffé. Je regarde
sur ma montre et remarque que la journée est bien
entamée. Cela ne m'est jamais arrivé, que s'est il
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passé ?Il est 17 heures, le moment de contacter la station
Alizé. Je mets en fonction la radio émetteur prend
mes écouteurs et change de place l'aiguille pour
me trouver sur la bonne longueur d'onde.
- Station Alizé m'entendez vous, Station Alizé
m'entendez vous, ici Station Sylvain.
- La station Alizé vous reçois 5 sur 5, avez vous
de bonne nouvelle ?
- Après une bonne chasse tout le monde est
revenu, il n'y eut pas d'agression d'ourse. On
a fais une bonne chasse.
- Station Sylvain avez-vous rencontré des
éléphants de mer ?
- Station Alizé nous venons d'en tuer un, il fut
temps car les victuailles venaient a manquer.
- Station Sylvain, avec la venue des éléphants
de mer, la météo va s'arranger, nous allons
livrer votre demande par avion.
- Station Sylvain nous avons repère des
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chasseurs de baleines sur notre radar, ilsnaviguent sous le pavions Européens.
A coté de moi le jeune Mika écoute attentivement
notre discutions, je n'ai plus à résumer ma
correspondance et lui pose ,
- Mika que dis tu de tous cela ?
- La vie va reprendre comme dans le passé, le
débâcle cédera la place a l'été et notre joie
aussi.
- Qu'entends-tu par la joie aussi ?
- Les gros navires de pêche n'appareillent pas
loin de notre village , nous leur rendrons
visite avec nos kayaks et nous recevrons de
nombreux cadeaux.
- Pour quelle raison t'apportent-ils des cadeaux ?
- Ci leur présence se fait par ici c'est que la vie
reprend dans la mer. La pêche a la baleines reprend
et des colonie de phoques s'installeront vers le
sud de notre crique. De la viande fraîche a volonté.
Les explications éclairent certain de mes doutes, je
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garde une méfiance sur l'arrivée des navires de pêche etme demande, que vont nous t ils nous réserver ? Les
nouvelles vont vite, car en un rien de temps toute la
tribut se réjouit de l'arrivée des navires de pêche.
A la messe du soir, le silence n'est plus une coutume, les
femmes se sont regroupé dans une partie de l'église, et
les enfants au centre et les hommes dans un autre coin
sur la droite. Des chuchotements coupent l'importance
de mes prêches. Je me tourne vers ces fidèles en chahut.
- Chères frères et chère sœur, de bonne nouvelles sont
proche du village. Grâce a notre patience l'avenir
nous réserve une victoire, celle d'entamer une suite
de réussite. Pour le moment le vent ne s'est pas encore
éloigné ni le froid. Que Dieu nous protège tous.
Lorsque mon discoure se termine un vrai remua ménage
se fait. Les personnes discutent a haute voix.
suite au 6/8
Auteur, Jean Jacques Mutz écrivain amateur
le roman est en cour de construction des changements
peuvent suivre.
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